Ça commence à Vera Cruz

film de Don Siegel, sorti en 1950

Ça commence à Vera Cruz (titre original : The Big Steal) est un film américain réalisé par Don Siegel, sorti en 1949.

Ça commence à Vera Cruz
Description de cette image, également commentée ci-après
Affiche publicitaire
Titre original The Big Steal
Réalisation Don Siegel
Scénario Histoire :
Richard Wormser
The Road to Carmichael's
Scénario :
Geoffrey Homes)
Gerald Drayson Adams
Acteurs principaux
Sociétés de production RKO Radio Pictures
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Film policier
Thriller
Film noir
Durée 71 minutes (h 11)
Sortie 1949

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Synopsis

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Le lieutenant Duke Halliday (Robert Mitchum) débarque à Vera Cruz. Le capitaine Blake (William Bendix) a échoué à l'arrêter à bord du bateau, sous l'accusation d'avoir volé à l'armée de l'argent de la paie. Halliday recherche le vrai voleur, Jim Fiske, pour prouver son innocence. Fiske est aussi recherché par la charmante Jane (Jane Greer), qu'il a escroquée de 2000 dollars. Associés bon gré mal gré, Duke et Jane, qui parle espagnol, se lancent à la poursuite de Fiske sur les routes mexicaines, suivi par Blake, qui ne parle pas un mot d'espagnol, tous sous la surveillance ironique de l'Inspecteur Général Ortega, qui joue au chat qui laisse fuir la souris pour qu'elle le mène à son repaire ...

Fiche technique

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  • Titre : Ça commence à Vera Cruz
  • Titre original : The Big Steal
  • Réalisation : Don Siegel

Distribution

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Acteurs non crédités

À noter

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  • « Nous avons fait (ce film) uniquement parce que Robert Mitchum était en prison pour usage de stupéfiants, et que le studio devait prouver qu’il l’employait légitimement. Toutes les fins de scène étaient tournées avec William Bendix sans feuilles aux arbres, parce que Mitchum était absent et que c'était l’hiver. Tous les débuts de scène furent filmés à son retour et sous de denses frondaisons. On a attendu Bob avec impatience, mais quand il s’est montré, ce fut en toute beauté. Nous étions là, au Mexique, dans le pays de la marijuana, mais lui, par un étrange esprit de contradiction, est arrivé complètement saoul de tequila, et il est tombé comme une masse, ivre mort. Il a fallu attendre qu’il se dessoûle pour commencer. Vous ne devez pas juger ce film à un très haut niveau. Son standard est modeste. Nous sommes allés au Mexique, et on s’y est amusé, un point c’est tout » (Don Siegel)

Notes et références

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Liens externes

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