Ébréon

commune française du département de la Charente

Ébréon est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ébréon
Ébréon
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Jean-Guy Guyon
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16122
Démographie
Gentilé Ébréonais
Population
municipale
138 hab. (2021 en évolution de −10,39 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 18″ nord, 0° 01′ 55″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 118 m
Superficie 10,05 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Ébréon
Géolocalisation sur la carte : France
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Ébréon
Géolocalisation sur la carte : Charente
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Ébréon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ébréon

Ses habitants sont les Ébréonais et les Ébréonaises[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Ébréon est une commune du Nord-Charente située à 5 km au nord d'Aigre, le chef-lieu de son canton.

Le bourg est aussi à 9 km au sud de Villefagnan, 13 km de Mansle, 16 km de Ruffec et 34 km d'Angoulême[2].

La commune est traversée par la D 19, route d'Aigre à Villefagnan, et le bourg est situé à 0,6 km à l'ouest de cette route. Il est desservi par la D 31 qui va à Tusson à l'est et Saint-Fraigne à l'ouest, et qui rejoint la D 737, route d'Angoulême à Aigre et Chef-Boutonne[3].

La gare la plus proche est celle de Luxé à 8 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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Ébréon compte deux hameaux, qui sont la Potonnière juste à côté du bourg à l'est et au carrefour de la route de Villefagnan, et Baunac (ou Beaunac sur les cartes anciennes) au nord[3].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes d’Ébréon
Souvigné
Saint-Fraigne Ébréon Tusson
Aigre

Géologie et relief

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Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Le Kimméridgien et Oxfordien terminal au nord-est occupent plus particulièrement la surface communale (Jurassique supérieur). Des alluvions récentes du Quaternaire occupent les vallées ainsi que des colluvions sous forme de grèzes au sud du bourg[4],[5],[6].

Le sol est karstique, et une carrière de pierre est située au sud de la commune dans la forêt de Tusson.

Le relief de la commune est celui d'un plaine ondulée bordée par une vallée à l'ouest, d'une altitude moyenne de 90 m. Le point culminant est à une altitude de 118 m, situé sur la limite au sud-est dans la forêt de Tusson. Le point le plus bas est à 69 m, situé sur la limite sud-ouest le long du ruisseau de Siarne. Le bourg est à 90 m d'altitude[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Ébréon.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Siarne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le ruisseau de Siarne limite la commune à l'ouest. C'est un affluent de l'Aume et un sous-affluent de la Charente. Ruisseau intermittent en amont depuis la commune de Brettes, il est alimenté par des sources au niveau du hameau de Siarne, comme la fontaine de Charroux, mais aussi par un court affluent naissant à la Font des Marais et passant au pied du bourg, où on trouve aussi la fontaine du Clard[3].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Ébréon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,2 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), forêts (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %), zones humides intérieures (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Ébréon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ébréon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 13,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 111 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 38 sont en aléa moyen ou fort, soit 34 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

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Les formes anciennes sont Ebredonus villaris au IXe siècle[20], Ebreone en 1302[21].

L'origine du nom d'Ébréon remonterait à un nom de personne gaulois Eburo-[22] avec le suffixe gaulois -dunum, forteresse, ce qui correspondrait à *Eburodunum, « forteresse d'Eburus »[23],[24],[Note 1].

La commune a été créée Ebreons en 1793, et elle est devenue Ébréon en 1801[25].

Histoire

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Une chapelle construite vers le XIIIe siècle a existé à Baunac. Elle a été détruite avant 1741[26]. Il y existait aussi un cimetière du haut Moyen Âge et une vingtaine de sarcophages y ont été découverts en 1884[27].

Hasard des archives, un parchemin du concernant Ébréon a été localisé dans les archives municipales de Valenciennes (département du Nord). Il concerne un dénombrement de fief effectué par François Richart, écuyer, seigneur de Champérambault[Note 2], par-devant Geoffroy de Beauchamp, écuyer, seigneur de Souvigné.

Le ont été déterrées deux cloches dans un jardin. Leur forme allongée et le style des inscriptions les font dater des XIIIe ou XIVe siècle, et elles ont été probablement protégées des razias organisées en 1569 par Jeanne d'Albret et les princes protestants.

L'ancien logis des Marais devait dater du règne de Louis XVI. Dans le dernier quart du XVIe siècle, le seigneur des Marais était Jouin de Massougnes, écuyer et seigneur de Souvigné.

Le logis de Beauregard était au début du XVIe siècle la propriété de Bertrand de Massougnes, et passa par mariage à la maison de Corgnol.

Au XIXe siècle, la principale industrie de la commune était l'élevage des chevaux. La plupart des habitants achetaient de jeunes poulains et les revendaient, après les avoir dressés[28].

Administration

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Créée Ebreons en 1793 elle est devenue Ébréon en 1801[25].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 Bruno Latouche SE Agriculteur
2014 En cours Jean-Guy Guyon    
Les données manquantes sont à compléter.

Fiscalité

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La fiscalité est d'un taux de 11,22 % sur le bâti, 45,21 % sur le non bâti, 5,30 % pour la taxe d'habitation et 12,97 % de taxe professionnelle(chiffres 2007).

La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 138 habitants[Note 3], en évolution de −10,39 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
453540474500544526556554554
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
514483482447450428381340334
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
319324333338327324258251240
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
215185188174176157155160143
2021 - - - - - - - -
138--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 71 hommes pour 70 femmes, soit un taux de 50,35 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,8 
90 ou +
0,0 
11,1 
75-89 ans
18,3 
30,6 
60-74 ans
23,9 
19,4 
45-59 ans
21,1 
12,5 
30-44 ans
15,5 
12,5 
15-29 ans
12,7 
11,1 
0-14 ans
8,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

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Ébréon est une petite commune agricole. L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie négligeable de l'activité agricole. La commune est cependant classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].

Les calcaires et diorites du moulin du Roc sont la seule entreprise.

Il y a un menuisier.

Le tourisme a amené la création d'un gîte rural.

Équipements et services

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Enseignement

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Écoles et collège sont à Aigre. Il existe un circuit de bus pour les écoles maternelle, primaire et l'école privée avec trois arrêts à la Potonnière, Ébréon et Beaunac et un circuit pour le collège avec les trois mêmes arrêts une heure plus tôt.

Autres services

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Ils sont tous à Aigre.

Lieux et monuments

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L'église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens, ancien prieuré, a été reconstruite au XVIIe siècle à la place d'un édifice qui aurait daté du XIIe siècle. Elle est à un vaisseau à plan en croix latine. La flèche est polygonale. L'église a été agrandie en 1870[35].

Le logis de Beauregard, construit au XVIe siècle a été remanié au XVIIIe siècle. Excepté le pigeonnier, les parties agricoles ont été détruites au XIXe siècle[36].

Le logis de Champlambeau, a été construit au XVIIe siècle. Il comporte une grange, une cour et un jardin[37].

Le logis de la Font des Marais, a été construit au XVIIe siècle avec un étage carré comporte une cheminée remarquable. Le jardin et les bâtiments agricoles sont complétés par un pigeonnier[38].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Voir aussi Bellon.
  2. Probablement le lieu-dit actuel de Champlambeau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Ébréon » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale d'Ébréon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Ébréon », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ébréon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Jules de La Martinière, Charte de 868, Archives départementales,
  21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 133,135
  22. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
  23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 257.
  25. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Ancienne chapelle de Beaunac », notice no IA00040786, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. « Cimetière de Beaunac », notice no IA00040953, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  28. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 153-154
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ébréon (16122) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  34. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  35. « L'église Saint-Pierre », notice no IA00040789, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Logis de Beauregard », notice no IA00040787, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Logis de Champlambeau », notice no IA00040788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Logis de la Font des Marais », notice no IA00040790, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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