Économie de l'Arabie saoudite
L'économie de l'Arabie saoudite repose principalement sur son industrie pétrolière, qui a bouleversé l'histoire économique du pays. Ainsi, depuis 1938, Dhahran (ville située à l'est de l'Arabie Saoudite le long du golfe Persique) est devenue la capitale du pétrole arabe.
Économie de l'Arabie saoudite | |
Quartier financier du roi Abdallah à Riyad | |
Monnaie | Riyal saoudien (SAR)
1$ US$ = 3,75 SAR (28 août 2018)[1] |
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Année fiscale | calendaire |
Organisations internationales | OPEP, OMC G20 |
Statistiques | |
Produit intérieur brut (parité nominale) | 683,8 milliards de US$ (2021, est.) |
Produit intérieur brut en PPA | 1 774 milliards de US$ (2021, est.) |
Rang pour le PIB en PPA | 17e par tête : 22e |
Croissance du PIB | - 0,7 % (2017, est.) |
PIB par habitant en PPA | 54 800 US$ (2017, est.) |
PIB par secteur | agriculture : 2,6 % industrie : 44,2 % services : 53,2 % (2017, est.) |
Inflation (IPC) | - 0,9 % (2017, est.) |
Pop. sous le seuil de pauvreté | N/A |
Indice de développement humain (IDH) | 0,875 (très élevé ; 35e) (2021)[2] |
Population active | 13,8 millions (2017 est.)[3] note: 10,7 millions ne sont pas saoudiens[4] |
Population active par secteur | agriculture : 6,7 % industrie : 21,4 % services : 71,9 % (2005, est.)[4] |
Taux de chômage | 5,8 % (2017, est.) (population totale)[4] |
Principales industries | production de pétrole brut, raffinage du pétrole, produits pétrochimiques de base, ammoniac, gaz industriels, hydroxyde de sodium (soude caustique), ciment, engrais, plastiques, métaux, réparation de navires commerciaux, réparation d’avions commerciaux, construction |
Commerce extérieur | |
Exportations | 231,3 milliards de US$ (2017, est.) |
Biens exportés | pétrole et produits pétroliers 90 % (2012, est.) |
Principaux clients | en 2017 : Japon 12,2 % |
Importations | 136,8 milliards de US$ (2017, est.) |
Biens importés | machines et équipement, produits alimentaires, produits chimiques, véhicules à moteur, textiles |
Principaux fournisseurs | en 2017 : Chine 15,4 % |
Finances publiques | |
Dette publique | 17,3 % du PIB (2017, est.) |
Dette extérieure | 212,9 milliards de US$ (2017, est.) |
Recettes publiques | 185,6 milliards de US$ (2017, est.) |
Dépenses publiques | 246,9 milliards de US$ (2017, est.) |
Déficit public | 8,8 % du PIB (2017, est.) |
Sources : https://www.cia.gov/the-world-factbook/countries/saudi-arabia |
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À l'opposé, l'agriculture de l'Arabie saoudite n'a cessé de décroître depuis les années 1960 avant de bénéficier des aides gouvernementales.
En , au sommet de Hong Kong, le pays est devenu le 149e membre de l'Organisation mondiale du commerce[5].
Historique
modifierLa découverte de pétrole en mars 1938 transforme le pays sur le plan économique.
L'Arabie saoudite est membre de l'OPEP. Entre 1977 et 1981, le revenu national provenant directement des revenus du pétrole dépasse à lui seul les 300 millions de dollars par jour, nourrissant de milliards de dollars la politique d'investissement des dirigeants du pays. Ces investissements se concrétisent en des plans quinquennaux, par l'intermédiaire de l'attribution de budgets d'État, culminant lors du second plan couvrant la période 1975-1980, où 195 milliards de dollars sont attribués et permettent la construction de 28 barrages, 4 ports, 175 000 nouvelles maisons, 24 000 km de routes et l'aéroport de Jeddah qui fut le plus grand du monde jusqu'à l'ouverture de l'aéroport de Riyad.
En 2013, les revenus des exportations pétrolières (pétrole brut et dérivés) du pays s'élevaient à 312,7 milliards de dollars selon l'OMC[6], tandis que le montant des exportations du secteur manufacturier se chiffraient a 56,4 milliards de dollars[6]. Au fil des années la part des exportations de pétrole brut dans le PIB a baissé, passant de 34 % du PIB en 2000 à 21 % en 2012[7].
L'industrie pétrochimique est le 2e secteur économique du pays dans les exportations, faisant de l’Arabie saoudite le 11e fournisseur de produit pétrochimique du monde[8].
L'exploitation et l'exportation du pétrole ont fortement développé l'activité économique de la côte nord-est du pays, autour de Dammam, Khobar et Dhahran avec le port de Jubail, ainsi que la côte sur la Mer rouge (Djeddah, Yanbu)[9].
Fort de la manne pétrolière, les dépenses publiques n'ont cessé d'augmenter dans les années 2000 notamment pour assurer « la cohésion sociale »[10].
La forte baisse des cours du pétrole en 2015, dans un contexte où les ventes de pétrole représentent encore 80 % des recettes, ne reste pas sans effets sur l'économie du pays. Ainsi, l'Arabie saoudite est contrainte de réaliser sa première émission de dette depuis 2007. Du côté des économies, le gouvernement envisage de réduire les subventions à l'énergie qui équivalent à 8 % du PIB, mesure peu populaire[10]. Elle annonce ainsi un déficit à hauteur de plus de 20 % de son PIB. Si ce déséquilibre se poursuivait, les importantes réserves financières du pays pourraient être épuisées d'ici 2020[11].
Le taux de croissance économique de l'Arabie saoudite s'établit à 0,2 % en 2019, et le taux de chômage à 12,5 %. Le déficit budgétaire atteint 50 milliards de dollars en 2020, soit 6,4 % du PIB, en dépit d'une baisse des dépenses[12]
En 2022, les investissements étrangers en Arabie saoudite sont désespérément faibles et certaines entreprises réduisent leurs activités ou retardant les projets de croissance qu'ils avaient promis. En 2020, les investissements directs étrangers en Arabie saoudite s'élevaient à 5,4 milliards de dollars, soit moins de la moitié de ce qu'il y a une décennie et bien en dessous du pays prévu 19 milliards de dollars. En 2021, ils étaient en voie de 6 milliards de dollars. En outre, ce chiffre ne tient pas compte de la vente aux investisseurs étrangers d'une participation de 12,4 milliards de dollars dans une société de pipeline de pétrole saoudien[13],[14].
Secteur énergétique
modifierSecteurs non pétroliers
modifierDans les années 1950, l'industrie manufacturière s'est développée par la conjonction de quatre facteurs : l'expansion et la diversification des activités pétrolières et de la main-d'œuvre industrielle, la croissance rapide de la population et de la demande intérieure, la disponibilité croissante du capital tant privé que gouvernemental, l'implantation de plus en plus fréquente de compagnies étrangères sous la forme de coentreprises avec des partenaires saoudiens - parfois avec le gouvernement.
Les décennies qui suivirent virent une augmentation du nombre, de la taille et de la diversité des unités de production : alimentaire industriel, papiers et matières plastiques, confection ou encore mobilier de bureau. Après 1970, vinrent s'ajouter des produits comme les peintures, les systèmes à air climatisé, les bâtiments préfabriqués en aluminium, les barres de fer et d'autres produits utilisant le pétrole ou le gaz en tant qu'énergie de base. Parmi ces derniers, les engrais, les produits de la pétrochimie et de la chimie minérale et les produits dérivés du soufre. Néanmoins, le pays manque toujours d'industries de pointes dans des domaines variés comme l'électronique, l'informatique ou l'optique.
Souffrant d'une insuffisance structurelle de main-d'œuvre locale qualifiée et d'expérience en matière technologique, l'Arabie saoudite s'est longtemps adressée à des contractants étrangers pour l'exécution de projets industriels le plus souvent livrés clefs en main. Pour nombre de ces projets, le contrat s'étendait au-delà de la livraison et comprenait la maintenance et même souvent l'exploitation par le constructeur. Cependant, les programmes d'éducation et de formation professionnelle à l'initiative des contractants étrangers et du gouvernement saoudien ont accru le nombre de techniciens qualifiés autochtones, le gouvernement ayant d'autre part mis en place en 1982 une politique de « saoudisation » des entreprises destinée à y augmenter le pourcentage de Saoudiens. Cette politique se manifeste par la nomination d'un président et d'un directeur général saoudien à l'Aramco.
Investissant les pétrodollars de la rente de l'or noir qui semblait ne jamais s'arrêter de croître, les Saoudiens construisirent dans les années 1970 deux cités industrielles et portuaires, al-Jubayl sur la côte du Golfe et Yanbu, au bord de la mer Rouge. Construites aux extrémités de la route du pétrole, ces nouvelles oasis développèrent en priorité les industries à forte consommation énergétique ou fabriquant des produits dérivés des hydrocarbures : outre les raffineries, la pétrochimie et la chimie lourde, les engrais, les plastiques bruts ou sous forme de produits manufacturés, l'acier et les produits en métal dominent l'activité. La construction entièrement intégrée de ces cités incluait, à proximité des sites industriels, la présence de services et de secteurs résidentiels à l'architecture ultramoderne.
À l'aube des années 1990, l'industrie représentait 9 % du PNB. Des mesures incitatives de la part du gouvernement attirèrent à la fois le capital local et les investisseurs étrangers. Une agence gouvernementale, la SABIC (Saudi Arabian Basic Industries Corporation) fut ouverte en 1976 afin de développer l'industrie lourde dans les domaines de la pétrochimie et de l'acier, investissant 37 milliards de dollars (bilan en 1993), 23 000 usines ayant été créées.
L'agriculture en Arabie saoudite qui dans les années 1990 avait réussi à obtenir l'autonomie alimentaire du royaume verra sa production de blé disparaître pour limiter la surconsommation des faibles ressources hydrauliques du pays[15].
Le prince héritier Mohammed Ben Salmane, conseillé par des cabinets américains, entend remplacer une partie de la rente pétrolière par une rente financière. Il s’agirait de vendre 5 % du capital de Saudi Arabian Oil Company (Aramco), la plus grande compagnie pétrolière du monde, pour 2 000 milliards de dollars, et d'investir cet argent dans des activités à l'étranger. Son projet s'inscrit dans une perspective libérale (compétitivité, ouverture économique et privatisation)[16].
Incitations à l'investissement étranger
modifierUn nouveau code d'investissement adopté en 2000 a créé la SAGIA (Saudi General Investment Authority), qui est dotée d'une compétence d'attribution très générale pour tout ce qui touche à l'investissement dans le royaume, y compris l'investissement étranger (à l’exception du secteur des hydrocarbures). La nouvelle institution instruit les demandes et délivre les licences d’investissement. La SAGIA a ouvert des « comprehensive service centers » - sortes de bureaux interministériels d'information et de liaison - chargés de faciliter les démarches administratives des investisseurs, notamment étrangers. Depuis sa création en et jusqu’à mi-, la SAGIA a délivré plus de 2 400 licences d’investissements étrangers (3 378 licences délivrées au total si l’on tient compte de la période précédant la création de la SAGIA et donc l’intervention du ministère des finances) pour un montant global de plus de 18 milliards de dollars, mais les investissements tardent à se concrétiser.
Tout projet d’investissement est donc sujet à l’octroi d’une licence délivrée par la SAGIA. Le montant minimum d’investissement étranger est fixé à un niveau élevé dans le cadre du nouveau code : 6,7 millions de dollars dans le secteur agricole, 1,3 million de dollars dans le secteur industriel et 0,5 million de dollars dans les autres secteurs. Compte tenu du monopole de négoce réservé aux seuls citoyens saoudiens - qui interdit à tout ressortissant étranger d’être titulaire d’actions, par nature négociables, notamment dans le cadre d’une société anonyme - les sociétés étrangères ne peuvent, en pratique, que constituer des filiales de droit saoudien sous forme de Sàrl.
Malgré l’adoption d’un nouveau code plus attractif, on relève encore certaines restrictions en termes de participations étrangères : une liste « négative » exclut encore certains secteurs de l’investissement étranger. Adoptée le et révisée le , cette liste comprend, outre l'amont pétrolier (exploration, forage et production) dont on savait qu'il resterait fermé au capital étranger du fait de son exclusion du processus d'ouverture du secteur des hydrocarbures saoudien (« Gas Initiative »), et les activités diverses (investissements immobiliers et services aux pèlerins) pouvant être menées dans le périmètre des deux villes saintes de La Mecque et Médine (exclues pour des raisons religieuses) :
- la santé (infirmerie, sages-femmes, quarantaines, physiothérapie, centres anti-poison, banques de sang, pharmacies). Il y a obligation de s’associer à un ressortissant saoudien du secteur médical disposant d’une licence d’exercice ;
- les transports (terrestres et aériens notamment) ;
- les télécommunications (à l’exception depuis février 2003 des services de télex, de télégraphe, d’échange de données électroniques, de télécopie, de V-Sat, de satellite mobile, de courrier électronique et de traitement de données). La participation étrangère limitée à 49 % et absence à court terme d’ouverture aux investissements étrangers des services de télécommunications fixe et mobile) ;
- la pêche ;
- la distribution (gros comme détail). Ce secteur n'est ouvert que sous forme de franchises aux sociétés étrangères, à condition que leur participation soit inférieure à 49 % du capital de l’entreprise ;
- les services aux armées (confection d'uniformes, restauration collective, production d'équipements) ;
- l'impression et la publication d'ouvrages (en partie) ;
- des activités diverses comme la production d'explosifs, le courtage dans le secteur immobilier, les services de recrutement et de placement, les services audiovisuels ou encore les services de transmission par satellite.
La décision d’ouvrir le secteur de l’assurance aux investissements étrangers, une fois la loi-cadre publiée, a été prise en . Cette loi a été publiée au Journal officiel saoudien le 22 août et applicable depuis le . Des restrictions continuent à être appliquées dans le secteur des services professionnels (participation étrangère limitée à 75 % du capital), de la banque (participation étrangère limitée à 40 % du capital), de la distribution.
L'Arabie saoudite s’intègre dans un ensemble régional – dans les secteurs ouverts, les investisseurs étrangers sont désormais traités de la même façon que les investisseurs nationaux pour l’accès aux aides et incitations publiques : prêts à taux nul du Saudi Industrial Development Fund, exemption totale de droits de douane sur certains produits à l’importation et des taxes à l’exportation, exemption au moment du démarrage de l’activité de droit de douane sur les machines et matières premières non disponibles localement, mise à disposition de terrains à des tarifs préférentiels et mise en place de mesures de protection tarifaires pour les nouvelles productions. Des discriminations subsistent, notamment en matière fiscale.
Principales entreprises
modifierRang | Entreprise / compagnie | Capitalisation boursière (milliards de $) en |
Secteur |
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1 | Saudi Basic Industries Corporation (SABIC) | 74.0 | chimie |
2 | Al Rajhi Banking and Investment Co | 27.7 | banque |
3 | Saudi Telecom Co | 18.1 | télécom |
4 | Saudi Electricity Co | 14.8 | énergie |
5 | Saudi Arabian Fertilizers Co | 12.1 | chimie |
6 | Samba Financial Group | 10.5 | banque |
7 | Etihad Etisalat Co | 9.9 | télécom |
8 | Riyad Bank | 9.4 | banque |
9 | Saudi British Bank | 7.9 | banque |
10 | Banque Saudi Fransi | 7.5 | banque |
Source : Gulf Business, , page 63.
Main d’œuvre
modifierAu premier trimestre 2013, la population active est estimée selon les autorités saoudiennes à 11,286 millions de personnes (9,591 millions d'hommes, 1,695 millions de femmes)[3]. 80 % de celle-ci est composé d'étrangers.
La population étant composée début 2013 de 7,5 à 8 millions de travailleurs étrangers selon des chiffres officiels. Le nombre des clandestins est estimé à deux millions sur 29 millions d'habitants. On suppute qu'ils constituent peut-être jusqu’à 40 % de la population du pays.
L'État a pris la décision de limiter la proportion de travailleurs immigrés à 20 % de la population, la mise en application de cette décision a démarré en 2013. Un tel pourcentage ramènerait leur nombre aux environs de 4 millions[17].
En , une vague d'expulsions d'immigrés clandestins a touché 900 000 personnes depuis le début de l'année[18],[19] et l'on prévoit un million d'autres expulsions[20].
En 2022, dans le cadre d'un accord signé entre l'Arabie saoudite et l'Éthiopie, Le ministère éthiopien des Affaires étrangères annonce qu'il allait rapatrier environ 100 000 de ses citoyens d'Arabie saoudite au cours des sept à onze mois à venir. Selon l'Organisation internationale pour les Migrations (OIM), 750 000 Ethiopiens résident dans le royaume saoudien, dont quelque 450 000 sont entrés de manière illégale. Au cours des quatre années écoulées, l'Arabie saoudite a renvoyé environ 352 000 Ethiopiens chez eux[21].
Urbanisme
modifierDivers projets immobiliers ou urbanistiques :
Notes et références
modifier- « Convertir Riyal saoudien (SAR) et Dollar US (USD) : Calculatrice De Conversion… », sur coinmill.com (consulté le ).
- (en) « Human Development Reports | Specific country data | SAU » [« Rapports sur le développement humain | Données spécifiques par pays | SAU »], sur hdr.undp.org, Programme des Nations unies pour le développement, (consulté le ).
- (en) « Saudi Labour Force (15 Years and Over) By Sex », sur Département central des statistiques et information, (consulté le )
- « Arabie saoudite sur CIA factbook » (consulté le ).
- « L'Arabie Saoudite à l'OMC », sur wto.org (consulté le ).
- « OMC - Ressources - Commerce des marchandises et services commerciaux », sur wto.org (consulté le ).
- (en) « Euler Hermes: GCC economic growth to reach 4% this year, UAE to grow 3.5% in 2013 and 4% in 2014 », AME info,
- (en) ‘Kingdom heading to become international hub for petrochemicals’, arabnews.com, 23 octobre 2013
- Romain Aby, « Géopolitique de l’Arabie saoudite : les infrastructures pétrolières et gazières », Diploweb.com,
- L'Arabie Saoudite rattrapée par la baisse des cours du pétrole, latribune.fr, 18 septembre 2015
- Pétrole: alerte sur les finances de l'Arabie saoudite, lefigaro.fr, 25 novembre 2015
- « Arabie: déficit budgétaire en hausse en 2020, à 50 milliard de dollars », sur zonebourse.com,
- « Pourquoi les entreprises américaines tournent le dos à l’Arabie saoudite », sur L’Opinion (consulté le )
- (en) « U.S. Businesses Sour on Saudi Arabia in Blow to Crown Prince’s Growth Plans », sur The Wall Street Journal (consulté le )
- David Rigoulet-Roze, « Et maintenant, l’Arabie saoudite confrontée à la disparition de son agriculture pour avoir abusé de ses ressources en eau »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Atlantico, (consulté le )
- Jean-Pierre Sereni, « Mirages économiques saoudiens - Un plan de développement bâti sur du sable », sur Orient XXI,
- « Riyad a-t-il raison d’expulser ses travailleurs immigrés ? », sur Courrier international
- « Arabie: 180.000 sans-papiers expulsés », sur Le Figaro, (consulté le )
- « Arabie saoudite : des milliers d'immigrés illégaux se rendent à la police »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Libération, (consulté le )
- « L'Arabie saoudite va expulser plus d’un million d’immigrés illégaux », sur rfi.fr, (consulté le )
- Début du rapatriement d'environ 100.000 Ethiopiens d'Arabie Saoudite, tv5monde.com, 30 mars 2022
Annexes
modifierArticles connexes
modifier- Histoire économique de l'Arabie saoudite
- Économie du Moyen-Orient
- Liste d'entreprises saoudiennes
- Énergie en Arabie saoudite
- Modon, Saudi Industrial Property Authority (SIPA)
- Liste des aires urbaines du Moyen-Orient
Liens externes
modifier
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) Site officiel du ministère de l'Économie et de la Planification
- (en) sourcewatch.org
- (en) arabianbusiness.com arabianbusiness.com
- (en) zawya.com
- (en) gulfbusiness.com gulfbusiness.com
- (en) site de Motivate Publishing (Dubai), éditeur de Gulf Business.