Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles

édifice religieux belge

La collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles est une église romane située dans la ville de Nivelles en Belgique.

Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles
Image illustrative de l’article Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles
Présentation
Protection Icône du bouclier bleu apposé sur un immeuble classé de la Région wallonne Patrimoine classé (1936, no 25072-CLT-0006-01)
Icône du bouclier bleu apposé sur un immeuble classé de la Région wallonne Patrimoine exceptionnel (2013, à l'exception de l'avant-corps, no 25072-PEX-0001-03)
Géographie
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Province Drapeau de la province du Brabant wallon Province du Brabant wallon
Ville Nivelles
Coordonnées 50° 35′ 51″ nord, 4° 19′ 25″ est
Géolocalisation sur la carte : Brabant wallon
(Voir situation sur carte : Brabant wallon)
Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles
Géolocalisation sur la carte : Belgique
(Voir situation sur carte : Belgique)
Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles

Elle est l'une des plus anciennes, des plus grandes et des plus cohérentes églises romanes subsistantes. Elle est consacrée en 1046 en présence d'Henri III empereur du Saint-Empire romain germanique et de l'évêque de Liège Wazon.

Historique

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Tour de la collégiale vers 1900 (carte postale).
Mausolée d'Albert-François et Ferdinand-François de Trazegnies.
Reliques de sainte Gertrude, œuvre de Colar de Douai et de Jakemon de Nivelles, projet de Jakemon de Anchen. 1272-1298. Copie du Musée Poushkin. L’œuvre originale en argent a été détruite lors des bombardements allemands de Nivelles en 1940.

Cinq églises successives, bâties du VIIe au Xe siècle ont précédé l'église romane. Sous la nef principale de celle-ci, un sous-sol archéologique permet d'en visiter les ruines. La première église mérovingienne, bâtie vers 650, abrite les caveaux funéraires de la première communauté religieuse de l'abbaye de Nivelles. La dernière église, carolingienne, contient la tombe d'Ermentrude, petite-fille de Hugues Capet.

Après un incendie, la communauté religieuse fondée par sainte Gertrude bâtit, de 992 à 1046, l'église actuelle. Par son plan bicéphale, elle appartient au style roman rhénan de tradition ottonienne : l'édifice comporte deux transepts et deux chœurs opposés[1]. Les dimensions sont importantes : plus de 100 m d'un chœur à l'autre, 25 m de large au vaisseau, plus de 44 m au transept oriental. La pointe du clocher culmine à 50 m.

Aujourd'hui, l’église est devenue paroissiale : les bâtiments conventuels ont disparu dans les bombardements allemands lors de la Campagne des 18 jours en mai 1940 durant la Seconde Guerre mondiale.

La restauration de la collégiale est l'un des chantiers les plus célèbres et les plus controversés de Simon Brigode ; celui-ci parvient à imposer la construction d'un pastiche de clocher roman, qui n'avait jamais existé comme tel, en lieu et place de la flèche gothique, détruite en 1940, qui témoignait de sept-cents ans d'histoire[2].

L'architecte applique ainsi le concept d'unité de style, introduit par Eugène Viollet-le-Duc, en rétablissant un état roman ottonien de l'église qui, conformément à la définition de Viollet-le-Duc, « peut n'avoir jamais existé à un moment donné »[3]. Ce concept du XIXe siècle a été invalidé par la Charte internationale sur la conservation et la restauration des monuments et des sites, dite charte de Venise de 1964, qui dit que « les apports valables de toutes les époques à l'édification d'un monument doivent être respectés, l'unité de style n'étant pas un but à atteindre au cours d'une restauration[4]. »

Le choix de la restauration du clocher résulte d'une consultation populaire avec les habitants de Nivelles, auxquels trois maquettes furent proposées : l'une présentant une reconstruction à l'identique de la tour carrée du XVIIe siècle et de la flèche métallique de 1863, la seconde présentant un avant-corps sans tour et la troisième proposant l'édification d'un clocher octogonal de style roman selon le principe d'unité stylistique de l'ensemble. Cette dernière proposition obtint la majorité des suffrages[5].

Abbesse, princesse et princesse-abbesse

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Tombes mérovingiennes du 7e siècle, crypte archéologique
  • L'abbesse sainte Gertrude décède en 659, et gît en la chapelle funéraire dédiée à Saint-Pierre.
  • Himiltrude est la première épouse de Charlemagne, dont la descendance, une fille (Amaudru) et un fils (Pépin le Bossu). Himiltrude est inhumée dans la nécropole sous la collégiale de Nivelles.
  • La princesse Ermentrude, vers l'an 1000, inhumée à Nivelles, décédée à l'âge de 2 ans. Elle est la petite-fille d'Hugues Capet, roi des Francs.
  • La princesse-abbesse Marguerite de Haynin, est née Marie-Marguerite en 1562, fille de Jean de Haynin, chevalier, seigneur de Hainin Wambrechies et Lesquin, et d'Anne d'Ongnies, sœur d'Adrien, gouverneur de Lille. Entrée le 31 août 1594 au noble Chapitre de Nivelles comme chanoinesse, elle est ensuite élue abbesse séculière. Testant le 10 novembre 1623[6], elle décède à Nivelles le 6 décembre 1623[7].

Architecture

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Le chevet.
L'abside.
Le croisillon sud du transept.
Le croisillon sud du transept.

Architecture extérieure

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Église de style ottonien

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Commencée à l'époque ottonienne vers 992, l'église est consacrée en 1046[8].

L'église présente un haut chevet plat prolongé par une abside semi-circulaire qui, bien que de proportions non négligeables, semble petite en comparaison. Le chevet plat, percé de quelques trous de boulin, présente trois petites fenêtres cintrées à sa base. Plus haut, il est percé d'un triplet composé de trois hautes fenêtres cintrées. Le pignon du chevet plat laisse apparaître des poutres de bois en forme de ferme de charpente. L'abside semi-circulaire, couverte d'un toit d'ardoises conique, présente une fenêtre basse, alignée sur celles du chevet plat, et une minuscule baie cintrée haut placée, presque sous la corniche.

Poutres en forme de ferme du pignon du chevet.
Transept et Pignon de Saint-Pierre
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La façade du croisillon sud du transept est rythmée par quatre puissants pilastres qui, prenant appui sur le soubassement, s'élancent vers le pignon. Ces pilastres, et les arcades qui les surmontent, font saillie par rapport au plan de la façade du transept et encadrent trois hautes baies en plein cintre. Le pignon du croisillon, appelé « Pignon de Saint-Pierre », présente une remarquable ornementation sculptée qui date de la seconde moitié du XIIe siècle[1],[8] et a fait l'objet d'une restauration adroite dans les années 1960[1].

Le « Pignon de Saint-Pierre ».

Cette décoration est constituée d'un étagement de cinq niveaux d'arcades aveugles dont le fond est peint dans une couleur sang de bœuf qui tranche agréablement avec la couleur grise des moellons. Le premier niveau de cette décoration est composée de baies flanquées de colonnettes, au fût lisse ou sculpté de motifs en zigzag et au chapiteau en forme de dé, supportant des arcs en plein cintre à double ébrasement. La niche centrale, plus grande que les autres, abrite un bas-relief en remploi[8] représentant Saint-Pierre assis.

Le deuxième niveau, très différent, comporte huit paires de baies géminées à colonnettes, chapiteau en dé et arc cintré. Le troisième niveau est orné de deux triplets de trois baies à arc en mitre, encadrant une composition centrale faite d'une paire de baies cintrées regroupées sous un arc de décharge unique. Le quatrième niveau, quant à lui, est orné de deux paires de baies géminées et le dernier d'une seule.

À tous les niveaux, sauf le premier, les écoinçons des arcs (cintrés ou en mitre) sont ornés de petits arcs en mitre. Le pignon du transept est également percé de nombreux trous de boulin (trous destinés à ancrer les échafaudages).

Détail de la décoration du pignon de Saint-Pierre.

Massif occidental de style roman tardif

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L'avant-corps occidental.
Le clocher octogonal.
La contre-abside.
La contre-abside vue de face.
Le Jacquemart.

À l'ouest, l'église présente un puissant massif occidental (ou avant-corps) édifié à l'époque romane tardive (vers 1160-1170) à l'emplacement du « Westbau » de l'édifice carolingien antérieur[8].

Ce massif occidental, qui confère à la collégiale Sainte-Gertrude sa silhouette typique, est édifié en pierres de taille assemblées en appareil irrégulier ; il est constitué de quatre éléments :

  • Un massif barlong.
  • Une abside occidentale ou « contre-abside ».
  • Un clocher octogonal.
  • Deux tourelles latérales.
Massif barlong
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Le massif barlong (c'est-à-dire « allongé transversalement ») présente cinq registres de hauteurs inégales, séparés par de puissants cordons de pierre. Le registre inférieur est percé de deux porches cintrés disposés de part et d'autre de la contre-abside. Le deuxième registre est percé de deux baies tréflées tandis que le troisième niveau est aveugle. Le quatrième registre est percé de nombreuses baies géminées à colonnettes disposées sur deux niveaux, le cinquième et dernier registre présente quant à lui une ornementation composée de sept groupes de trois baies.

Contrairement au fameux massif barlong auvergnat qui possède deux toits en appentis de part et d'autre de la naissance du clocher, le massif barlong de la collégiale Sainte-Gertrude est couvert d'une simple toiture en bâtière.

Le massif occidental.
Clocher octogonal
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Le massif barlong est surmonté d'un puissant clocher octogonal, construit lors de la restauration menée durant les années 1970-1980 sur un projet des architectes Simon Brigode et M. Ladrière[8].

Il comporte deux registres, l'un aveugle et l'autre très orné. Les huit faces du clocher sont délimitées par des colonnettes surmontées de chapiteaux en forme de dés. Chacune d'elles est ornée de bandes lombardes et percée d'une paire de fenêtres géminées à colonnettes et abat-sons surmontée d'un oculus. Le clocher est surmonté d'une courte flèche couverte d'ardoises.

Contre-abside
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La contre-abside originale est remplacée en 1662 par un portail baroque qui est démonté et remonté dans le parc de la Dodaine en 1972 pour céder la place à une restitution de la contre-abside romane lors de la restauration menée durant les années 1970-1980[8].

Cette abside occidentale vient s'adosser au massif barlong pour terminer de belle façon l'église à l'ouest. Elle présente trois registres étagés au-dessus d'un puissant soubassement en saillie et séparés l'un de l'autre par de s cordons de pierre. Prenant appui sur le premier registre orné de bandes lombardes et de lésènes, le deuxième registre s'orne d'arcades à colonnettes qui confèrent à la contre-abside un bel élan vertical. Le troisième et dernier registre de la contre-abside est orné d'une galerie naine composée de triplets de baies cintrées surmontés de modillons sculptés tantôt géométriques et tantôt anthropomorphes.

Galerie naine de la contre-abside.
Tourelles et jacquemart
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Les derniers éléments constitutifs du massif occidental sont les deux hautes tourelles qui flanquent le massif barlong au nord et au sud. La tourelle sud porte le fameux jacquemart appelé Jean de Nivelles, un automate en laiton doré de 2 mètres de haut qui date de 1400 environ et qui a été déplacé en 1617 de l'ancien hôtel de ville vers cette tourelle[8]. Ces tourelles comportent six niveaux séparés par des cordons de pierre : un premier niveau orné de bandes lombardes et de lésènes, quatre niveaux percés de simples meurtrières et enfin un sixième niveau dont la décoration est très semblable à celle du clocher (baies géminées à colonnettes, arcatures lombardes et modillons).

Architecture intérieure

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Nef de la collégiale Sainte-Gertrude à Nivelles.

Claudine Ronnay-Docmans écrit dans Le Patrimoine majeur de Wallonie :

« À l'intérieur de l'église, plus encore qu'à l'extérieur, on est saisi par l'ampleur des volumes et la rigueur des articulations orthogonales. L'axe médian s'affirme par la succession des trois arcs diaphragmes qui scandent le vaisseau ; emportant le regard au-delà des croisées de transept vers l'un ou l'autre chœur. Sous un plafond plat, le vaisseau règne entre deux files de neuf piliers reliés par de grands arcs en plein cintre. Un cordon continu court le long des murs gouttereaux sous l'enfilade de deux fois quatre baies cintrées. La même ordonnance mais en réduction, caractérise les bas-côtés. Ici, le plafond initial a été remplacé, à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle ; par des voûtes sur nervures en pierre bleue, dont les clés sont peintes aux armes des abbesses. Le plafond de la nef se poursuit au-dessus des croisées des deux transepts, dont les bras ont été couverts de voûtes sur nervures au XVIIe siècle. Les chapelles au plan carré qui y sont greffées sont voûtées d'arêtes. [...] Ce cadre évoque irrésistiblement la splendeur des liturgies ottoniennes, telles que nous les connaissons pour l'abbaye d'Essen en Allemagne[9]  »

Mobilier de la collégiale

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  • Trente-deux stalles en chêne et leurs pupitres, de style Renaissance, réalisés pour les chanoinesses de Sainte-Gertrude et terminées en 1566, constituent un véritable ensemble architectural[10],[11].
  • On doit une partie du mobilier de la collégiale au célèbre artiste Laurent Delvaux :
    Chaire de vérité (1772).
    • Chaire de vérité de la collégiale (1772), en marbre et bois, avec Jésus et la Samaritaine conversant au puits de Jacob. Les trois médaillons illustrent les paraboles du semeur, de l'enfant prodigue et du père de famille. La superstructure de style baroque et les décors de la cuve et des escaliers de tendance Louis XVI se côtoient harmonieusement en un ensemble impressionnant. Laurent Delvaux est assisté de Philippe Lelièvre (sculpteur ornemaniste) et de Nicolas Bonnet (menuisier)[12].
    • Retable de la conversion de Paul sur le chemin de Damas, 1735, remarquable sculpture en chêne reflétant l'attitude dynamique du personnage. Il vient de l'ancienne église Saint-Paul de Nivelles[13].
    • Statue en chêne (vers 1750) de la bienheureuse Itte Idoberge, mère de Sainte Gertrude et fondatrice de l'abbaye de Nivelles.
    • Statue en chêne du bienheureux Pépin de Landen, père de Sainte Gertrude, vers 1750[14].
    • Quatre statues en chêne : Saint-Pierre, portant les clés du paradis, le coq du reniement à ses pieds ; Saint-Paul qui tient en main le glaive de son martyre ; Saint-André appuyé sur la croix en X de son martyre et Saint Jacques le Majeur représenté en pèlerin avec la gourde, les coquilles et le bâton[15].
    • Chaire de vérité en chêne de l'ancienne église des Carmes, dont le groupe sculpté figure le prophète Élie au désert, nourri par l'ange, vers 1740-1745[16].
    • Agneau de l'Apocalypse, allongé sur le livre aux sept sceaux, bois peint en blanc, vers 1760[14].
    • Sculptures en chêne de deux allégories figurant la Force et la Prudence, coiffant la porte méridionale, 1739[17].

Notes et références

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  1. a b et c Yves Boyen, La route du Roman Païs, Fédération touristique de la province de Brabant, imprimeur Dewarichet, 1986, p. 12-14.
  2. Anne Van Loo (dir.), « Simon Brigode », dans Dictionnaire de l'architecture en Belgique de 1830 à nos jours, Anvers, Fonds Mercator, , p. 181.
  3. Eugène Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle, Tome 8, 1854 à 1868
  4. Article 11 de la Charte. Version française intégrale de la Charte de Venise sur le site de l'ICOMOS
  5. Donnay-Rocmans 1979, p. 57.
  6. Société archéologique de l'arrondissement de Nivelles, Annales de la Société archéologique de l'arrondissement de Nivelles - Tome III, Nivelles, Guignardé, (lire en ligne), p. 52
  7. Sa pierre sépulcrale est représentée dans un manuscrit de la Bibliothèque Royale, série G, manuscrit 1536, planche XLI.
  8. a b c d e f et g Le Patrimoine monumental de la Belgique, Wallonie 2, Brabant, Arrondissement de Nivelles, Pierre Mardaga éditeur, 1998, p. 356 à 359
  9. Le Patrimoine majeur de Wallonie, p. 44 et 45
  10. Restaurées dans la 2e moitié du XXe siècle par l'ébéniste Christian Patriarche
  11. Cheron et Duyckaerts 1984, p. 4-5
  12. Cheron et Duyckaerts 1984, p. 15-16
  13. Cheron et Duyckaerts 1984, p. 16
  14. a et b Cheron et Duyckaerts 1984, p. 13
  15. Cheron et Duyckaerts 1984, p. 14
  16. Cheron et Duyckaerts 1984, p. 16
  17. Cheron et Duyckaerts 1984, p. 13

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Claudine Donnay-Rocmans, La collégiale Saint-Gertrude de Nivelles, CACEF-Duculot, coll. « Wallonie, art et histoire » (no 41), , 72 p. (ISBN 2-8011-0262-8) — l'ouvrage comporte 16 pages d'illustrations hors texte en fin de volume.
  • Alain Jacobs, Laurent Delvaux : Gand 1696 - Nivelles 1778, Paris, Arthena, 1999,, 603 p. (ISBN 978-2-903239-24-4).
  • Marcel Cheron et Étienne Duyckaerts, Le mobilier de la Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles, Nivelles, Maison du tourisme roman païs, , 19 p.
  • Alphonse Mottart, « Les travaux effectués au XVIIe siècle à l'avant-corps de la collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles d'après les sources d'archives », Bulletin de la Commission royale des Monuments et des Sites, Bruxelles, Commission royale des Monuments et des Sites, vol. VIII,‎ , p. 293-316, (lire en ligne [PDF]).
  • Alphonse Mottart, « L'abside occidentale de la collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles dans le cadre des absides rhénanes », Bulletin de la Commission royale des Monuments et des Sites, Bruxelles, Commission royale des Monuments et des Sites, vol. VIII,‎ , p. 317-353, (lire en ligne [PDF]).
  • Isabelle Verhoeven, « Nivelles - Collégiale Sainte-Gertrude », Bulletin de la Commission royale des monuments, sites et fouilles, Commission royale des Monuments et des Sites, t. 18,‎ 2004-2005, p. 27-31, (lire en ligne [PDF]).

Articles connexes

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Liens externes

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