Élections générales espagnoles de 1986
Les élections générales espagnoles de (en espagnol : Elecciones generales de España de 1986, désignées sous le numéronyme 22-J) se tiennent le dimanche afin d'élire les 350 députés et 208 sénateurs de la IIIe législature des Cortes Generales.
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Élections générales espagnoles de 1986 | ||||||||||||||
350 sièges du Congrès des députés (Majorité absolue : 176 sièges) 208 sièges du Sénat (sur 254) | ||||||||||||||
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Type d’élection | Élections législatives | |||||||||||||
Corps électoral et résultats | ||||||||||||||
Population | 38 467 850 | |||||||||||||
Inscrits | 29 117 613 | |||||||||||||
Votants | 20 524 858 | |||||||||||||
70,49 % 9,5 | ||||||||||||||
Votes exprimés | 20 202 919 | |||||||||||||
Votes blancs | - | |||||||||||||
Votes nuls | 321 939 | |||||||||||||
Parti socialiste – Felipe González | ||||||||||||||
Voix | 8 901 718 | |||||||||||||
44,06 % | 4,3 | |||||||||||||
Députés élus | 184 | 18 | ||||||||||||
Sénateurs élus | 124 | 10 | ||||||||||||
AP – Manuel Fraga | ||||||||||||||
Voix | 5 247 677 | |||||||||||||
25,97 % | 0,5 | |||||||||||||
Députés élus | 105 | 2 | ||||||||||||
Sénateurs élus | 63 | 11 | ||||||||||||
CDS – Adolfo Suárez | ||||||||||||||
Voix | 1 861 912 | |||||||||||||
9,22 % | 6,3 | |||||||||||||
Députés élus | 19 | 17 | ||||||||||||
Sénateurs élus | 3 | 3 | ||||||||||||
CiU – Miquel Roca | ||||||||||||||
Voix | 1 014 258 | |||||||||||||
5,02 % | 1,3 | |||||||||||||
Députés élus | 18 | 6 | ||||||||||||
Sénateurs élus | 8 | 3 | ||||||||||||
Congrès des députés | ||||||||||||||
Sénat | ||||||||||||||
Président du gouvernement | ||||||||||||||
Sortant | Élu | |||||||||||||
Felipe González PSOE |
Felipe González PSOE | |||||||||||||
infoelectoral.mir.es | ||||||||||||||
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Le scrutin est marqué par une hausse de l'abstention, tandis que le Parti socialiste ouvrier espagnol de Felipe González, au pouvoir depuis quatre ans, recule tant au Congrès des députés qu'au Sénat, tout en conservant ses majorités absolues. La Coalition populaire de Manuel Fraga reste la principale force de l'opposition et le Centre démocratique et social de l'ancien président du gouvernement Adolfo Suárez se positionne comme troisième parti du pays. Bien que circonscrite à la seule Catalogne, Convergence et Union de Miquel Roca totalise plus de 5 % des voix au niveau national.
Un mois après la tenue des élections, Felipe González est réinvesti comme président du gouvernement et forme son deuxième exécutif.
Contexte
modifierMode de scrutin
modifierConvocation des élections
modifierLe scrutin est convoqué par un décret royal, sur proposition du président du gouvernement et après délibération du conseil des ministres. En cas de dissolution anticipée, le décret organisant celle-ci dispose également la convocation des élections[1].
Les élections se tiennent entre le 54e et 60e jour qui suit la publication du décret de convocation, celle-ci devant intervenir 24 jours avant l'expiration du mandat des assemblées — sauf dissolution anticipée[2].
Les élections générales précédentes ayant eu lieu le , le mandat de quatre ans des deux assemblées devait se conclure le . Le décret de convocation des élections ne pouvait pas être publié après le et celles-ci devaient être convoquées entre le et le . Le , le président du gouvernement Felipe González signe le décret de dissolution des chambres ; publié le lendemain, il convoque les électeurs 60 jours après[3].
Pour le Congrès des députés
modifierLe Congrès des députés (Congreso de los Diputados) est la chambre basse du Parlement espagnol, les Cortes Generales. Il se compose de 350 députés (diputados), élus pour un mandat de quatre ans au suffrage universel et au scrutin proportionnel d'Hondt dans 52 circonscriptions qui correspondent aux provinces d'Espagne ainsi qu'aux communes de Ceuta et Melilla par tous les citoyens espagnols âgés d'au moins 18 ans jouissant de leurs droits civils et politiques.
Conditions de candidature
modifierLes candidatures doivent être présentées à la commission électorale de circonscription entre le 15e et le 20e jour — tous deux inclus — qui suivent la publication du décret de convocation des élections[4].
Peuvent soumettre une candidature[5],[6] :
- les partis politiques et leurs fédérations, inscrits au registre des associations politiques ;
- les coalitions de partis ou de fédérations, constituées auprès de la commission électorale provinciale dans les 10 jours suivant la publication du décret de convocation ;
- un groupe de 1 % des électeurs inscrits sur les listes électorales de la circonscription.
Les candidatures sont publiées le 22e jour suivant la convocation du scrutin, et celles admises à participer au scrutin sont proclamées par les commissions électorales de circonscription le 27e jour qui suit la publication du décret de convocation[7].
Répartition des sièges
modifierSeules les listes ayant recueilli au moins 3 % des suffrages valides — incluant les bulletins blancs[8] — peuvent participer à la répartition des sièges à pourvoir dans une circonscription, qui s'organise en suivant différentes étapes[9] :
- les listes sont classées en une colonne par ordre décroissant du nombre de suffrages obtenus ;
- les suffrages de chaque liste sont divisés par 1, 2, 3... jusqu'au nombre de députés à élire afin de former un tableau ;
- les mandats sont attribués selon l'ordre décroissant des quotients ainsi obtenus.
Lorsque deux listes obtiennent un même quotient, le siège est attribué à celle qui a le plus grand nombre total de voix ; lorsque deux candidatures ont exactement le même nombre total de voix, l'égalité est résolue par tirage au sort et les suivantes de manière alternative[9].
À Ceuta et Melilla, le scrutin se tient de facto selon les règles du scrutin uninominal majoritaire à un tour : est proclamé élu le candidat ayant remporté le plus grand nombre de voix[9].
Députés par circonscription
modifierL'article 68 de la Constitution dispose que « [Pour le Congrès des députés], la circonscription électorale est la province. Les populations de Ceuta et de Melilla sont représentées, chacune, par un député. La loi fixe le nombre total des députés, assignant une représentation minimale à chaque circonscription et répartissant les autres sièges proportionnellement à la population. »[10] Conformément à l'article 162 de la loi organique relative au régime général (LOREG), chaque province dispose au minimum de deux députés, les 248 sièges restants étant attribués en fonction de la population de chaque circonscription et répartis entre elles par le décret de convocation des élections[11].
Circonscriptions | Députés |
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Barcelone, Madrid ( 1) | 33 |
Valence ( 1) | 16 |
Séville | 12 |
Alicante ( 1), Biscaye | 10 |
Asturies ( 1), Cadix ( 1), La Corogne, Malaga ( 1) | 9 |
Murcie, Pontevedra, Saragosse | 8 |
Cordoue, Grenade, Guipuscoa, Las Palmas ( 1) | 7 |
Badajoz ( 1), Baléares, Jaén ( 1), Santa Cruz de Tenerife ( 1) | 6 |
Almería, Cáceres, Cantabrie, Castellón, Ciudad Real, Gérone, Huelva, León ( 1), Lugo, Navarre, Ourense, Tarragone, Tolède, Valladolid | 5 |
Alava, Albacete, Burgos, Lérida, La Rioja, Salamanque, Zamora | 4 |
Ávila, Cuenca ( 1), Guadalajara, Huesca, Palencia, Ségovie, Soria, Teruel | 3 |
Ceuta, Melilla | 1 |
Pour le Sénat
modifierLe Sénat (Senado) est la chambre haute des Cortes Generales. Il se compose d'un nombre variable de sénateurs (senadores)[12] :
- 208 élus pour un mandat de quatre ans au suffrage universel et au scrutin majoritaire plurinominal dans 58 circonscriptions qui correspondent à 47 provinces d'Espagne, aux communes de Ceuta et Melilla et aux îles de Grande Canarie, Majorque, Tenerife, Fuerteventura, La Gomera, El Hierro, Ibiza-Formentera, Lanzarote, La Palma et Minorque ;
- au moins 17 élus par les assemblées des communautés autonomes, auxquels s'ajoute pour chaque territoire un sénateur supplémentaire pour chaque tranche d'un million d'habitants.
Chaque circonscription élit quatre sénateurs, sauf Grande Canarie, Majorque et Tenerife, qui en élisent trois ; Ceuta et Melilla, qui en élisent deux ; et Fuerteventura, La Gomera, El Hierro, Ibiza-Formentera, Lanzarote, La Palma et Minorque, qui n'en élisent qu'un.
Conditions de candidature
modifierLes conditions de candidature sont les mêmes qu'au Congrès des députés, à ceci près que chaque candidature est individuelle pour le vote et le dépouillement, mais elles peuvent être présentées sous forme de liste pour la campagne électorale[13].
Répartition des sièges
modifierDans les circonscriptions disposant de trois ou quatre sénateurs, chaque électeur vote pour un nombre de candidats inférieur d'un au nombre total de sièges à pourvoir. Dans celles comptant un ou deux sénateurs, chaque votant s'exprime en faveur d'un ou deux candidats respectivement. Dans chaque circonscription, sont proclamés élus les candidats ayant remporté le plus grand nombre de suffrages, jusqu'à ce que tous les sièges soient pourvus[14].
Campagne
modifierPrincipales forces politiques
modifierRésultats
modifierParticipation
modifierHoraire | 1982 | 1986 | Différence |
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à 14 h | 39,75 % | N/A | |
à 18 h | 62,81 % | 56,73 % | 6,08 |
à 20 h | 79,97 % | 70,93 % | 9,04 |
final[c] | 79,97 % | 70,49 % | 9,48 |
Au Congrès des députés
modifierTotal national
modifierParti ou coalition | Voix | % | +/- | Sièges | +/- | ||
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Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) | 7 601 985 | 37,63 | 3,19 | 163 / 350 | 14 | ||
Parti des socialistes de Catalogne (PSC) | 1 299 733 | 6,43 | 1,09 | 21 / 350 | 4 | ||
Total Parti socialiste ouvrier espagnol | 8 901 718 | 44,06 | 4,28 | 184 / 350 |
18 | ||
Alliance populaire (AP) | 4 664 350 | 23,08 | 0,95 | 69 / 350 | 18 | ||
Parti démocrate populaire (PDP) | 21 / 350 | 7 | |||||
Parti libéral (PL) | 12 / 350 | 12 | |||||
CP-Centristes de Galice (CdG) | 502 405 | 2,49 | Nv | 1 / 350 | 1 | ||
CP-Union du peuple navarrais (UPN) | 80 922 | 0,40 | 0,04 | 2 / 350 | |||
Total Coalition populaire (CP) | 5 247 677 | 25,97 | 0,51 | 105 / 350 |
2 | ||
Centre démocratique et social (CDS) | 1 861 912 | 9,22 | 6,34 | 19 / 350 |
17 | ||
Convergence démocratique de Catalogne (CDC) | 1 014 258 | 5,02 | 1,33 | 13 / 350 | 4 | ||
Union démocratique de Catalogne (UDC) | 5 / 350 | 2 | |||||
Total Convergence et Union (CiU) | 18 / 350 |
6 | |||||
Parti communiste d'Espagne (PCE) | 811 592 | 4,02 | 0,74 | 4 / 350 | 1 | ||
Parti communiste des peuples d'Espagne (PCPE) | 1 / 350 | 1 | |||||
Fédération progressiste (FP) | 1 / 350 | 1 | |||||
Parti socialiste unifié de Catalogne (PSUC) | 123 912 | 0,61 | 0,15 | 1 / 350 | |||
Total Gauche unie (IU) | 935 504 | 4,63 | 0,59 | 7 / 350 |
3 | ||
Parti nationaliste basque (EAJ-PNV) | 309 610 | 1,53 | 0,36 | 6 / 350 |
2 | ||
Union populaire (HB) | 231 722 | 1,15 | 0,14 | 5 / 350 |
3 | ||
Bureau pour l'unité des communistes (MUC) | 229 695 | 1,14 | Nv | 0 / 350 |
|||
Parti réformiste démocratique (PRD) | 194 538 | 0,96 | Nv | 0 / 350 |
|||
Gauche basque (EE) | 107 053 | 0,53 | 0,05 | 2 / 350 |
1 | ||
Parti andalouciste (PA) | 94 008 | 0,47 | 0,07 | 0 / 350 |
|||
Gauche républicaine de Catalogne (ERC) | 84 628 | 0,42 | 0,24 | 0 / 350 |
1 | ||
Coalition galicienne (CG) | 79 972 | 0,40 | Nv | 1 / 350 |
1 | ||
Parti socialiste des travailleurs (PST) | 77 914 | 0,39 | 0,10 | 0 / 350 |
|||
Parti aragonais régionaliste (PAR) | 73 004 | 0,36 | Abs | 1 / 350 |
1 | ||
Regroupements indépendants des Canaries (AIC) | 65 664 | 0,33 | Nv | 1 / 350 |
1 | ||
Union valencienne (UV) | 64 403 | 0,32 | Abs | 1 / 350 |
1 | ||
Parti des communistes de Catalogne (PCC) | 57 107 | 0,28 | 0,05 | 0 / 350 |
|||
Autres listes | 572 532 | 2,83 | – | 0 / 350 |
11 | ||
Bulletins blancs | 121 186 | 0,60 | – | 0 / 350 |
|||
Suffrages exprimés | 20 202 919 | 98,43 | |||||
Votes nuls | 321 939 | 1,57 | |||||
Total | 20 524 858 | 100 | – | 350 | |||
Abstention | 8 592 755 | 29,51 | |||||
Inscrits / participation | 29 117 613 | 70,49 |
Par circonscription
modifierAu Sénat
modifierParti | Élus | +/- | ||
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Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) | 116 / 208 | 9 | ||
Parti des socialistes de Catalogne (PSC) | 8 / 208 | 1 | ||
Total Parti socialiste ouvrier espagnol | 124 / 208 |
10 | ||
Alliance populaire (AP) | 43 / 208 | 2 | ||
Parti démocrate populaire (PDP) | 11 / 208 | 1 | ||
Parti libéral (PL) | 8 / 208 | 8 | ||
Centristes de Galice (CdG) | 1 / 208 | 1 | ||
Union du peuple navarrais (UPN) | 0 / 208 | 1 | ||
Total Coalition populaire (CP) | 63 / 208 |
11 | ||
Convergence démocratique de Catalogne (CDC) | 7 / 208 | 3 | ||
Union démocratique de Catalogne (UDC) | 1 / 208 | |||
Total Convergence et Union (CiU) | 8 / 208 |
3 | ||
Parti nationaliste basque (EAJ-PNV) | 7 / 208 |
|||
Centre démocratique et social (CDS) | 3 / 208 |
3 | ||
Assemblée de Fuerteventura (AM) | 1 / 208 |
|||
Regroupements indépendants des Canaries | 1 / 208 |
1 | ||
Union populaire (HB) | 1 / 208 |
1 | ||
Gauche républicaine de Catalogne (ERC) | 0 / 208 |
2 | ||
Union du centre démocratique (UCD) | 0 / 208 |
4 | ||
Indépendants | 0 / 208 |
1 | ||
Total | 208 |
Analyse
modifierConséquences
modifierNotes et références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 167. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 42. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Real Decreto 794/1986, de 22 de abril, de disolución del Congreso de los Diputados y del Senado y de convocatoria de elecciones », BOE, art. 3. (version en vigueur : 23 avril 1986) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)] [PDF]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 45. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 44. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 169. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 47. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 96. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)].
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 163. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- Espagne. « Constitution du 27 décembre 1978 », art. 68 [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 162. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 165. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 171. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Espagne. « Ley Orgánica 5/1985, de 19 de junio, del Régimen Electoral General. », BOE, art. 166. (version en vigueur : 20 juin 1985) [lire en ligne (page consultée le 22 février 2021)]
- (es) Ministère de l'Intérieur, « Congreso / Octubre 1982 », sur infoelectoral.mir.es (consulté le ).
- (es) Ministère de l'Intérieur, « Congreso / Junio 1986 », sur infoelectoral.mir.es (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Politique en Espagne
- Cortes Generales ; Gouvernement de l'Espagne
- IIIe législature d'Espagne
- Gouvernement González II
Lien externe
modifier- (es) infoelectoral.mir.es