Élodie Godin

joueuse française de basket-ball

Élodie Godin
Image illustrative de l’article Élodie Godin
En finale de la Coupe de France 2015.
Fiche d’identité
Nationalité Drapeau de la France France
Naissance (38 ans)
Cherbourg[1]
Taille 1,90 m (6 3)
Situation en club
Club actuel Bourges
Numéro 33
Poste Pivot
Carrière universitaire ou amateur
2000-2001
2001-2003
Centre fédéral de Toulouse
Centre fédéral
Carrière professionnelle *
SaisonClubMoy. pts
2003-2004
2004-2005
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
2010-2011
2011-2012
2012-2013
2013-2014
2014-2015
2015-2016
2016-2017
2017-2018
2018-2019
2019-2020
2020-2021
2021-2022
2022-2023
Bourges
Bourges
Bourges
Valenciennes
USK Prague
Tarente
Tarente
Tarente
Tarente
Schio
Schio
Montpellier
Montpellier
Montpellier
Bourges
Bourges
Bourges
Bourges
Bourges
Bourges
08,1
07,4
08,1
08,2
05,2
08,6
07,1
07,3
09,9
04,7
10,6[2]
07,1
06,5
07,1
06,8
05,7
05,3
04,0
03,8[3]
05,5
Sélection en équipe nationale **
2003-2012 France (118 sél)490[4]
Carrière d’entraîneur
2017 Pays-Bas (assistante)

* Points marqués dans chaque club dans le cadre de la saison régulière du championnat national.
** Points marqués pour l’équipe nationale en match officiel.

Élodie Godin, née le à Cherbourg[1] (Manche), est une joueuse de basket-ball française, évoluant au poste d’intérieure.

Cette intérieure française est vite devenue une pièce maîtresse du jeu intérieur de l’Équipe de France. Avec celle-ci, elle remporte le championnat d'Europe 2009, deuxième titre européen des Bleues. En club, elle a remporté deux titres de championne de France, avec les deux grands clubs français de Bourges et Valenciennes, et deux titres consécutifs de championne d'Italie avec le club de Taranto Cras Basket.

Joueuse de collectif, intraitable en défense (« Je ne suis pas une scoreuse mais au-delà de ça, je suis forte en défense et je prends des rebonds importants. C'est un rôle que j'ai endossé très jeune et qui me convient[5] »), elle s'est aussi affirmée en attaque : « Au cours de ces dernières années, j'ai progressé sur mon tir à mi-distance, donc [mon coach à Schio] me demande de jouer un peu plus pour moi. Mais c'est vrai que je regarde avant tout la dernière passe plutôt que le tir (...) Je n'ai pas la technique d'une Sandrine Gruda ou d'autres joueuses intérieures mais je joue sur le physique, je me bats sur tous les ballons en défense et mon corps en ressent les séquelles[5]

Biographie modifier

Carrière en clubs modifier

C'est en suivant son frère ainé qu'elle commence le basket-ball à l'âge de dix ans. Elle signe dans le petit club de Sainte Eulalie (Gironde), où elle évolue pendant trois ans avant d'opter pour un autre club régional, Tresses. Elle y joue deux saisons avant de rejoindre le centre fédéral de Toulouse. Elle accède à l'Institut national du sport, de l'expertise et de la performance (INSEP) pour évoluer avec l'équipe du centre fédéral[6].

Après deux saisons, elle signe un premier contrat professionnel en rejoignant l'un des clubs qui dominent le basket-ball féminin français, Bourges Basket pour trois ans. « C’était une décision très réfléchie car Bourges est une équipe qui avait tout gagné, l’Euroligue et championnat de France, mais l’équipe avait complètement changé. Il y avait beaucoup de jeunes joueuses, un gros potentiel mais il y avait tout de même un espace disponible pour moi afin d’avoir du temps de jeu »[7]. Dès sa première saison, elle obtient des statistiques intéressantes en Euroligue 2003-2004 : sa moyenne de points est de 8,8, tandis que sa moyenne au rebond est de 9,1, dont 3,7 sur le plan offensif, ce qui la place au second rang de l'Euroligue, derrière Maria Stepanova[8]. En février, elle est même nommée meilleure joueuse de la semaine en Euroligue pour un double double, 10 points et 12 rebonds, 2 interceptions et un contre lors d'une victoire 80 à 63 face à Sopron[9]. Bourges termine sa campagne européenne face au club de MiZo Pécs, vainqueur en deux manches 62 à 58 puis 85 à 84 en quart de finale. Sur la scène française, Bourges s'incline en deux manches, 58 à 52 puis 79 à 56, face aux championnes d'Europe de Valenciennes. La saison d'Élodie Godin est récompensée d'un titre de meilleure espoir du championnat de France.

La saison suivante, Bourges échoue en quart de finale de l'Euroligue, toujours face aux Hongroises de Pecs, en trois manches. Godin présente des statistiques de 8 points, 8,1 rebonds en 25,1 minutes[10]. En France, elle remporte pour la seconde année consécutive le titre de meilleure espoir. Bourges échoue face à Valenciennes en finale du championnat, trois manches à zéro, puis du tournoi de la Fédération. Par contre, Bourges met fin à la domination hexagonale des Valenciennoises en remportant la Coupe de France sur le score de 74 à 49. Élodie Godin, avec 17 points et 9 rebonds, est élue meilleure joueuse de la finale[11].

En mars 2006, elle figure parmi les joueuses qui représentent la sélection européenne lors du premier EuroLeague Women All-Star Game. Lors de cette rencontre, où elle est accompagnée d'une autre Française Sandra Le Dréan, elle marque 4 points et capte 5 rebonds en 15 minutes dans une victoire 86 à 67 des européennes[12]. Durant cette même saison 2005-2006, elle termine à la quatrième place des rebondeuses en Euroligue, avec une moyenne de 9 prises par rencontres[13]. Après une seconde place lors du premier tour, Bourges élimine le Wisła Cracovie, puis échoue lors de la manche décisive, disputée à Bourges, face à Brno sur le score de 70 à 69. Lors de cette rencontre, Godin marque 11 points et capte 12 rebonds, ajoutant 2 contres en 29 minutes[14].

En récompense de son excellente saison précédente, elle est choisie, en janvier 2007, en quatrième position lors de l'élection pour le titre de FIBA Europe Women's Young Player of the year 2006 (meilleure jeune joueuse européenne de l'année), titre remporté par sa compatriote Sandrine Gruda[15].

Après trois saisons avec les Berruyères, Godin rejoint le grand rival de Valenciennes qui lui propose notamment un contrat plus lucratif[5]. En Euroligue, le club échoue en deux manches lors du huitième de finale face au CSKA Samara, 85 à 75 puis 76 à 70. Lors de cette saison européenne, ses statistiques sont de 5,2, 5 rebonds en 21,3 minutes[16].

À l'issue de cette saison, elle rejoint sa compatriote Sandra Le Dréan au club de Prague. Ses statistiques avec son nouveau club sont de 5,2 points, 5 rebonds en 21,3 minutes. En ligue tchèque, sa moyenne de points est de 7,2[17]. Toutefois, insatisfaite de son temps de jeu, elle décide changer de club : « C’était un choix de carrière qui a été catastrophique pour moi. Mais avec du recul cette année m’a appris énormément sur moi-même, sur la confiance, le doute[7]. » « Je regrette mon année à Prague, parce que je l'ai vraiment mal vécue, je n'étais pas bien et à la limite d'arrêter le basket. Mais grâce à cette aventure, j'ai trouvé Tarente et peut-être que sans mon passage à Prague, je ne me serais jamais retrouvée en Italie[5]. »

Elle s'engage alors dans le championnat italien pour évoluer avec le club de Tarente, rejoignant une autre Française Audrey Sauret. Le club évolue en Eurocoupe et atteint la finale. « [L]es Italiens sont très accueillants, je ne connaissais rien de l’Italie avant d’y arriver, la langue, la culture (...) mais je peux dire que j’adore vraiment ce pays (...) Ma relation avec les joueuses italiennes était vraiment super. J’avais la chance de vraiment maîtriser la langue italienne ce qui m’a aidé énormément[18]. » Le club italien est battu par les Turques de Galatasaray sur le score de 82 à 61, rencontre où Godin marque 14 points et capte 4 rebonds[19]. Sur la saison, ses statistiques sont de 8,6 points, 7,9 rebonds en 29,1 minutes[20]. « Je suis arrivée une semaine avant le premier match officiel, mais j’avais déjà l’impression de connaître cette équipe depuis longtemps. Audrey Sauret y est pour beaucoup (...) Je pense que le niveau du championnat italien est un peu inférieur au championnat français. Mais le danger du championnat italien et que tout le monde peut battre tout le monde. Contrairement à la France, en Italie le secteur intérieur est vraiment très faible, ils ont donc un jeu parfois plus rapide et beaucoup plus de shoot à l’extérieur et drive[18]. » Le club italien remporte le second titre de champion d'Italie de son histoire, en battant en finale club de Basket Femminile Venezia Reyer. Les statistiques de Élodie Godin en Championnat d'Italie de basket-ball féminin sont de 7,3 points, 8,2 rebonds en 26,2 minutes[21].

Lors de la saison 2009-2010, elle évolue de nouveau avec le club de Tarente. Elle remporte un nouveau titre, la Supercoupe d'Italie, contre le Club Atletico Faenza Pallacanestro. En fin de saison, le club remporte un second titre de champion d'Italie consécutif. Ses statistiques sont de 7,1 points, 5,6 prises en 23,2 minutes[22]. En Euroligue, le club italien échoue en huitième de finale face au club turc de Fenerbahçe. Les statistiques de Godin sur cette saison européenne sont de 7,3 points, 6,9 rebonds en 26,8 minutes[23].

Pendant la saison 2011-2012, elle remporte avec son club de Tarente la coupe d'Italie face à Schio, puis le championnat, le quatrième de l'histoire de son club. Tarante étant en période d'incertitude financière[5], elle signe pour le club rival de Famila Schio[24]. En 2012-2013, elle aide Schio à remporter le championnat italien (6,5 points, 8,9 rebonds et 2,3 interceptions)et à atteindre la finale à huit de l'Euroligue (4,7 points et 6,8 rebonds), ce qui la décide à prolonger son séjour à Schio l'année suivante[25].

En , elle remporte la coupe d'Italie avec Schio et est élue MVP de la finale en ayant marqué 15 points et pris 8 rebonds[26].

Après sept saisons à l'étranger, elle rejoint la France à Montpellier. « Ils ont un bon projet qui m’intéresse. Me rapprocher de ma famille et amis aussi. Et surtout un nouveau challenge. Bourges est champion de France depuis un moment j’aimerai vraiment être championne de France à nouveau après 7 années (...)Je suis contente de retrouver le championnat français qui est selon moi un des meilleurs en Europe. Je suis aussi ravie de retrouver tout simplement mon pays[27]. » Quittant l'Italie sur un dernier titre de champion Famila Schio[28], ses moyennes en Euroligue sont de 10,6 points et 9,2 rebonds[29].

En 2015-2016, Montpellier remporte la Coupe de France et le championnat de France face à Bourges[30].

Au terme de la saison 2016-2017 (7,9 points, 7,3 rebonds de moyenne), elle s'engage avec le club rival de Bourges[31] : « J’ai commencé à Bourges et c’est la meilleure façon de terminer ma carrière (...) [Je pense apporter] mon expérience. J’ai vécu beaucoup de choses, j’ai joué à l’étranger, j’ai gagné des titres et presque toute ma vie j’ai joué des finales[32]. »

Carrière en sélection nationale modifier

Avec les sélections nationales, elle dispute le championnat d'Europe cadettes en 1999, tournoi où elle ne joue que deux rencontres et où les Bleuettes remportent une médaille de bronze. Lors de l'édition suivante de cette compétition, en 2001, les Françaises remportent le titre européen en battant en finale la Russie sur le score de 68 à 66. Godin, avec des statistiques de 8,4 points et 12 rebonds en 25,3 minutes, finit à la première place du classement des rebonds.

En 2002, l'équipe de France junior, composée en partie des championnes d'Europe cadettes 2001 comme Pauline Krawczyk, Florence Lepron et Fatimatou Sacko, atteint la finale du Championnat d'Europe des 18 ans et moins. Durant cette compétition, Élodie Godin apporte 8,3 points et 8 rebonds en 23,5 minutes.

La saison internationale 2003 d'Élodie Godin commence par le championnat du monde des 21 ans et moins. En 27,25 minutes, elle apporte 8,3 points et 6,5 rebonds à une équipe qui, après une défaite 58 à 47 en demi-finale face aux États-Unis, remporte la médaille de bronze en battant la Croatie 80 à 66. Trois semaines plus tard, elle fait ses débuts avec l'équipe de France lors d'une rencontre face à la Belgique, rencontre où elle inscrit son premier point sous le maillot bleu. Elle convainc l'entraîneur national Alain Jardel de la retenir pour le championnat d'Europe où les Bleues, championnes d'Europe en titre, terminent à la cinquième place après une défaite 79 à 66 face à la Russie en quart de finale. Pour sa première compétition internationale chez les séniores, elle inscrit 4,3 points et capte 6,4 rebonds en 15,3 minutes.

En 2004, elle retrouve les sélections des jeunes en disputant le Championnat d'Europe des 20 ans et moins, compétitions où les Françaises obtiennent une médaille d'argent, battues en finale par la Russie sur le score de 80 à 64. Ses statistiques sur la compétition sont de 11,4 points et 7,4 rebonds en 24,5 minutes. Durant cette même saison, elle retrouve l'équipe de France, participant à la campagne de qualification pour le championnat d'Europe 2005. Les Françaises, avec cinq victoires en six rencontres, se qualifient pour l'Euro.

Lors de cet Euro disputé en Turquie, les Françaises échouent de nouveau face aux Russes en quart de finale, pour terminer une nouvelle fois cinquièmes après deux victoires face à la Pologne, puis la Lettonie. Cette place octroie une place pour le championnat du monde 2006. Pour sa seconde compétition majeure, elle apporte 8,5 points et capte 7,1 rebonds en 23,6 minutes.

Pendant ce Mondial, disputé au Brésil, les Françaises échouent en quart de finale face aux « Opals », surnom des Australiennes, futures championnes du monde, sur le score de 79 à 66. Puis, après deux victoires face à la République tchèque et à la Lituanie, les Françaises terminent à la cinquième place pour la troisième compétition majeure consécutive. Les statistiques de Godin sont alors de 4,7 points et 4,3 rebonds.

La saison suivante, le nouveau sélectionneur Jacques Commères ne retient pas Élodie Godin, lui préférant Isabelle Yacoubou. Elle retrouve les Bleues en 2008. Toutefois, après une seule rencontre disputée, elle n'est pas conservée par Pierre Vincent, le nouveau sélectionneur.

Celui-ci la retient de nouveau pour la préparation au championnat d'Europe 2009 disputé en Lettonie. Pendant celui-ci, les Bleues s'appuyant sur un jeu intérieur important - avec Sandrine Gruda, qui sera nommée dans le meilleur cinq de la compétition, Isabelle Yacoubou, Emmeline Ndongue, Endéné Miyem et Élodie Godin - remportent le titre européen, le second de l'histoire de l'équipe de France après celui de 2001. Élodie Godin, pour son retour sous le maillot bleu, présente des statistiques de 3,3 points, 4,7 rebonds en 11 minutes.

Championne d'Italie 2010, elle est appelée par le sélectionneur national dans la sélection des douze joueuses retenues pour disputer le Mondial 2010[33]. Elle obtient un peu plus de 15 minutes par rencontre, pour des statistiques de 3,4 points, 2,6 rebonds et 0,6 passe[34]. La saison suivante, après avoir fait partie d'une première liste de vingt-neuf joueuses, elle ne figure plus dans la liste des vingt-quatre joueuses en préparation pour le championnat d'Europe 2011 en raison d'une blessure.

Elle retrouve l'équipe de France pour la saison 2012. En compétition avec Marielle Amant pour figurer parmi les douze joueuses composant l'équipe[35], elle participe à la qualification des Françaises pour les Jeux olympiques de Londres lors du tournoi préolympique de basket-ball 2012 disputé en Turquie[36]. Ses statistiques lors de ses trois victoires face au Canada, au Mali et à la Corée du sud sont de 3,3 points, 4,7 rebonds et 0,3 passe[37].

Remplaçante engagée, elle marque peu mais son activité au rebond et son sens de la passe en font une équipière très appréciée, souvent décisive comme contre la Grande-Bretagne (8 rebonds, 4 passes). Céline Dumerc dit d'elle « Elle a bien compris son rôle et chapeau parce que, quand elle rentre, elle est percutante, elle est efficace et elle nous aide énormément. Ce n’est pas évident quand on sait que ça s’est joué au dernier moment pour elle. »[38]. Touchée au dos en quarts de finale, elle joue même blessée les deux derniers matchs[39].

Elle annonce ne pas vouloir participer aux compétitions internationales pour l'été 2013 expliquant « J'ai besoin de faire une pause parce que, mentalement et physiquement, je suis fatiguée. J’ai besoin d’être auprès de mes proches pour diverses raisons et j’ai donc décidé de faire un break. Je ne sais pas pour combien de temps[40]. » Plus tard, elle expliquera avoir pris sa retraite internationale « parce que j'ai eu une médaille olympique »[41].

Entraîneuse modifier

En 2017, elle devient entraîneuse adjointe de l'équipe nationale hollandaise[32].

Clubs modifier

Joueuse modifier

Entraîneuse modifier

Palmarès modifier

Équipe de France modifier

Senior modifier

Jeune modifier

Club modifier

Son palmarès dans des compétitions internationales est :

Son palmarès dans des compétitions nationales est :

Distinctions personnelles modifier

  • Meilleure espoir du championnat de France 2004, 2005
  • Meilleure joueuse de la finale de la Coupe de France 2005.
  • Chevalier de l'ordre national du Mérite en 2013[49]
  • MVP de la finale de la Coupe d'Italie 2014

Statistiques personnelles en LFB modifier

Saison
Club
M Min 2Pts 2Pts int. 2Pts Ext. 3Pts LF Rebonds F Fp C PD Int BP Eva Pts
Mo R T % R T % R T % R T % R T % Ro Rd Rt Mo Mo Tot Mo
2005-2006
Bourges
20 27:41 66 144 45.8 50 93 53.8 16 51 31.4 0 2 0.0 30 37 81.1 52 107 159 8.0 2.0 2.1 0.5 1.6 1.4 1.3 13.8 162 8.1
2004-2005
Bourges
29 27:59 79 193 40.9 69 146 47.3 10 47 21.3 0 1 0.0 58 81 71.6 101 159 260 9.0 2.8 3.7 0.5 0.8 1.4 2.1 12.3 216 7.4
2003-2004
Bourges
28 25:25 89 199 44.7 80 165 48.5 9 34 26.5 0 5 0.0 59 85 69.4 94 147 241 8.6 2.4 3.3 0.3 1.0 1.5 1.5 13.3 237 8.5

Notes et références modifier

  1. a et b Cherbourg-Octeville en 2000, puis commune déléguée dans Cherbourg-en-Cotentin depuis 2016.
  2. « Élodie Godin », FIBA (consulté le )
  3. « Élodie Godin », basketlfb.com
  4. JO 2012 inclus. « Élodie Godin », FFBB (consulté le ).
  5. a b c d et e Basketball magazine no 788, février 2013, pages 12 à 15.
  6. (en) « Godin grows up fast with Bourges », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  7. a et b « Portrait », les-confessions.com, (consulté le ).
  8. (en) « Euroleague 2003-2004, statistical leaders, Offensive rebounds », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  9. (en) « Élodie Godin - Euroleague women player of the week », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  10. (en) « Élodie Godin (Bourges Basket) » (consulté le ).
  11. « Coupe de France 2005 Bourges enfin et avec la manière ! », sur www.basquetebol.org (consulté le ).
  12. (en) « Europe 86-67 Rest of the world », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  13. (en) « Euroleague 2005-2006 Statistics Total rebounds », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  14. (en) « Bourges Basket 69-70 Gambrinus », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  15. « Gruda élue Meilleure jeune joueuse 2006 », sur www.basketfrance.com (consulté le ).
  16. (en) « Euroleague 2007 Élodie Godin (US Valenciennes Olympic) », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  17. (en) « Euroleague 2007 Elodie Godin (USK Prague) », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  18. a et b « L’expérience à l’Italienne », les-confessions.com, (consulté le ).
  19. (en) « Galatasaray 82-61 Cras Basket Taranto », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  20. (en) « EuroCup 2009 Elodie Godin (Cras Basket) », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  21. (it) « Lega Basket Femminile 2009 Elodie Godin », sur legabasketfemminile.dataproject-stats.com (consulté le ).
  22. (it) « Lega Basket Femminile 2010 Elodie Godin », sur legabasketfemminile.dataproject-stats.com (consulté le ).
  23. (en) « Euroleague 2010 Elodie Godin (Cras Basket Taranto) », sur www.fibaeurope.com (consulté le ).
  24. « Élodie Godin et Kathy Wambé à Schio », Catch & Shoot, (consulté le ).
  25. « Elodie Godin poursuit l’aventure à Schio », Catch & Shoot, (consulté le ).
  26. « Elodie Godin gagne la Coupe d’Italie et est élue MVP de la finale », Catch & Shoot, (consulté le ).
  27. « the Big Comeback! », les-confessions.com, (consulté le ).
  28. a et b « Famila Schio wins sixth Italian league title », Love Women's Basketball, (consulté le ).
  29. « Lattes Montpellier brings in Jenna O’Hea, Elodie Godin, Valeriane Ayayi, Naomi Halman and Anael Lardy », Love Women's Basketball, (consulté le ).
  30. a et b « Lattes-Montpellier champion de France ! », bebasket.fr, (consulté le ).
  31. « Élodie Godin retrouve Bourges, Kayla Alexander s'en va », leberry.fr, (consulté le ).
  32. a b et c « Élodie Godin de retour au Bourges Basket : « Finir là où j’ai commencé, c’est beau » », leberry.fr, (consulté le ).
  33. « Les 12 Bleues pour le Mondial », Fédération française de basket-ball, (consulté le ).
  34. « 2010 FIBA World Championship for Women - Elodie Godin », sur fiba.com (consulté le ).
  35. « Les 12 joueuses pour le TQO », sur ffbb.com, (consulté le ).
  36. « Les Bleues iront à Londres », sur lequipe.fr, (consulté le ).
  37. « 2012 FIBA World Olympic Qualifying Tournament for Women - Elodie Godin », sur fiba.com (consulté le ).
  38. « Élodie Godin, la soldate reconnue », Ladyhoop, (consulté le ).
  39. « ITW Elodie Godin : « Je voulais jouer même si j’avais mal » », Ladyhoop, (consulté le ).
  40. « Élodie Godin to skip EuroBasket Women 2013 », Love Women's basketball, (consulté le ).
  41. Centre France, « Sports - Isabelle Yacoubou et Élodie Godin racontent les JO 2012, la dernière finale mondiale de l'équipe de France de basket », sur www.leberry.fr, (consulté le )
  42. « Bourges remporte l'Eurocoupe face à Venise », L'Equipe,
  43. Gabriel Pantel-Jouve, « Bourges retrouve le titre de champion de France ! », bebasket.fr, (consulté le ).
  44. « Ligue féminine : Bourges champion de France », L'Equipe,
  45. Sylvain Bourdois Chupin, « Montpellier au bout du suspense », ffbb.com, 2 mai 2013[consulté le=2 mai 2013.
  46. Marc Perais, « Coupe de France : Montpellier avec maitrise pour une seconde coupe consécutive », postup.fr, (consulté le ).
  47. Gaëtan Delafolie, « À l'expérience, Bourges s'offre la coupe une 10e fois », bebasket.fr, (consulté le ).
  48. Arnaud Dunikowski, « Jamais deux sans trois pour Bourges », sur ffbb.com, (consulté le ).
  49. Décret du 31 décembre 2012 portant promotion et nomination.

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :