Émile St-Onge
Biographie
modifierÉmile St-Onge a surtout œuvré, par le biais de nombreux articles dans les journaux (The Gleaner/La Source de Huntingdon, Le Soleil et Le St-François de Salaberry-de-Valleyfield) à la promotion de l'histoire du Suroît, principalement du Haut-Saint-Laurent et de Beauharnois-Salaberry. Il était un militant de la défense de langue française, de l'enseignement de l'histoire, du respect du drapeau québécois, et de l'indépendance du Québec[1],[2]; et un syndicaliste au sein de l'Alliance de la Fonction publique du Canada.
Il a construit dans les années 1970, le barrage St-Onge dans le hameau de Trout-River à Elgin au Québec[1],[3],[4],[5].
Il reçoit en 2003 la médaille de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et est décrit par Jean Dorion comme "l'exemple même du patriote" [2],[1].
Notes et références
modifier- Mario Pitre, « Décès d'Émile St-Onge », Le Soleil, Valleyfield, (lire en ligne)
- Patrice Laflamme, « Émile St-Onge récipiendaire de la médaille de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal », La Source, Huntingdon, , p. 15
- Commission de toponymie du Québec, « Barrage St-Onge », sur Topos sur le web (consulté le )
- Mario Pitre, « Un barrage nommé en l'honneur d'un Campivallensien », Le Soleil, Valleyfield,
- Patrice Laflamme, « Un nouveau nom pour le barrage sur la rivière à la Truite », La Source, Huntingdon, , p. 15