Étang de Thau

grande lagune au sud-ouest de la ville de Sète sur la côte méditerranéenne, France

L'étang de Thau (en occitan : Estanh de Taur), appelé aussi lagune de Thau ou encore bassin de Thau, est une lagune d'eau saumâtre du sud de la France et le plus grand plan d'eau de la région Occitanie. Elle a une superficie d'environ 7 500 hectares et une profondeur moyenne de cinq mètres, le point le plus profond étant la source de la Vise, aussi appelée trou de la Bisse, qui atteint la profondeur de 32 m. L'appellation « étang », utilisée pour désigner la lagune, provient de la traduction littérale du terme occitan estanh. Bénéficiant d'une biodiversité particulière et riche, la lagune est notamment connue pour ses colonies d'hippocampes mouchetés[1],[2].

Étang de Thau / Lagune de Thau
Image illustrative de l’article Étang de Thau
L'étang de Thau vu depuis le mont Saint-Clair à Sète.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Subdivision SèteVoir et modifier les données sur Wikidata
Géographie
Coordonnées 43° 24′ 21″ N, 3° 37′ 23″ E
Type lagune
Superficie 75 km2
Longueur 19 kmVoir et modifier les données sur Wikidata
Largeur 5 kmVoir et modifier les données sur Wikidata
Altitude m
Profondeur
 · Maximale
 · Moyenne

32 m
m
Volume 340 millions de m3
Hydrographie
Alimentation Canal du Rhône à Sète et VèneVoir et modifier les données sur Wikidata
Émissaire(s) Méditerranée
Îles
Nombre d’îles 2
Île(s) principale(s) Rocher de Roquerols et Île de Thau
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Étang de Thau / Lagune de Thau
Géolocalisation sur la carte : Hérault
(Voir situation sur carte : Hérault)
Étang de Thau / Lagune de Thau
L'étang de Thau depuis Mèze au lever du soleil, avec vue sur Sète.

Sa grandeur et ses profondeurs, qui la distinguent des autres lagunes de la région, s'expliquent par la géomorphologie du secteur ; il est le synclinal d'un plissement dont l'anticlinal est la montagne de la Gardiole, au Nord-Est.

La lagune est reliée à la mer Méditerranée par des graus à Marseillan (le Pisse Saumes) et à Sète.

Géographie

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Situation.

L'étang de Thau est une lagune séparée du golfe du Lion par un cordon de sable littoral reliant le volcan d'Agde au mont Saint-Clair à Sète. Il se prolonge à l'est par les étangs des Eaux-Blanches et l'étang d'Ingril de Frontignan, aujourd'hui partiellement comblé. À l'ouest, on trouve l'étang et le marais du Bagnas, propriété du Conservatoire du littoral et réserve ornithologique protégée.

Phare des Onglous[3] au débouché du canal du Midi dans l'étang de Thau.

Au lieu-dit « les Onglous », dans la commune de Marseillan, le canal du Midi débouche dans l'étang de Thau ce qui relie de ce fait la lagune au port de Sète et à la mer Méditerranée. Le canal du Rhône à Sète la relie au Rhône à partir du quartier de la Peyrade, sur la commune de Frontignan.

Conchyliculture dans l'étang de Thau.
L'étang de Thau depuis le mont Saint-Clair à Sète.
Le cordon littoral entre Sète et Marseillan avec à droite l'étang de Thau.
Vue de l'étang de Thau et de la montagne de Sète.
L'étang de Thau depuis une plage de Mèze. Sète est sur la ligne d'horizon. Janvier 2022.

La profondeur moyenne de la lagune est de 4,50 m, mais on trouve des fonds de 10 m et un tiers des fonds est à plus de 5,50 m. La profondeur maximum est de 30 m[4] au lieu de la Vise.

Le volume des eaux de la lagune est de 340 millions de m3. Elle alimentée par[5] :

  • les eaux de pluie : 48 millions de m3/an ;
  • les eaux de ruissellement de ruisseaux (Vène, Aygues Vaques, Joncas, Pallas, etc.) : 30 millions de m³/an ; ces eaux peuvent amener de possibles pollutions de natures diverses ;
  • le canal du Midi débouche dans la lagune ;
  • les eaux de source sous-marine de la Vise au large de Balaruc-les-Bains : 9 millions de m3/an ;
  • les eaux de la Méditerranée par l'intermédiaire des graus de Pisse-Saumes et de la Quinzaine à Marseillan-Plage et des canaux de Sète : entre 0,75 et 3,7 millions de m3/jour. La marée de la Méditerranée bien que faible fait ressentir son influence ; d'autre part, le niveau de l'eau baisse par vent du nord, et monte lorsque souffle le vent de la mer.

La température de l'eau varie entre °C et 24 °C.

La salinité évolue au cours de l'année (faible de février à juin, plus forte de juillet à janvier). Les eaux de la lagune sont bien oxygénées.

Administrativement, la lagune est partagée entre les huit communes héraultaises riveraines : Sète, Frontignan, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Loupian, Mèze et Marseillan.

Hydrographie

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L'Étang de Thau est alimenté en eau douce par de nombreux cours d'eau, d'ouest en est en voici la liste :

La Lagune de Thau est également alimentée en eau douce par des sources :

L'Étang de Thau est aussi alimenté en eau de mer par des graus, d'ouest en est en voici la liste :

  • Le Grau de Pisse-Saumes à Marseillan.
  • Le Canal des Quilles à Sète.
  • Le Canal de la Bordigue à Sète.

Activités

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Aquaculture

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La direction des Affaires maritimes est l'organisme public chargé du fonctionnement et du contrôle des activités économiques sur la lagune.

L'étang de Thau est un lieu d'activités économiques telles que la production d'huîtres et de moules. Environ 600 établissements conchylicoles y sont installés, produisant plus de 12 000 tonnes d'huîtres par an, et employant environ 2 000 personnes. La pollution des eaux pèse sur leur activité entraînant parfois des interdictions de commercialisation des huîtres et moules comme ce fut le cas pour la première fois du au [6].

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Un appontement sur la lagune. Juillet 2017.

La navigation des bateaux fluviaux est autorisée uniquement sur le tracé du chenal fluvial qui a été mis en place. Exception faite des bateaux transportant des passagers qui sont interdits, sauf à vide. La vitesse réglementaire doit être inférieure à 25 nœuds sur une grande partie de la lagune, et inférieure à 5 nœuds près de la côte[7].

Seuls les navires d'activités professionnelles, pêche et conchyliculture sont autorisés à mouiller dans la lagune. De même, la circulation est interdite aux embarcations rapides à moteurs ainsi que la pratique d'activités sportives tractées comme du ski nautique, etc. exception faite entre le 1er mai et le pour la pratique du ski nautique avec un seul bateau dans une zone bien définie[7].

Des lotissements conchylicoles qui ont été mis en place sont réservés aux professionnels et aux exploitants. La baignade et la plongée y sont interdites. Seuls les « navires maritimes professionnels de transport de passagers, détenteurs d’une autorisation délivrée par le directeur départemental des affaires maritimes » sont également autorisés à naviguer dans les lotissements. Les navires de plaisance ont obligation d'emprunter les couloirs transversaux[7].

En complément de ce zonage, a été également mise en place une zone avec un axe d'écopage pour des hydravions bombardiers d'eau dans la lutte contre les incendies[7].

Tourisme et impact environnemental

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Le tourisme est fortement représenté autour de l'étang de Thau. Le nombre de nuitées autour du Bassin de Thau est estimé autour de 12 millions.

La présence de certains sites est un moteur pour le tourisme. On peut citer en particulier :

On peut noter la présence de plusieurs types de tourisme tels que :

  • le tourisme thermal, qui dans la commune de Balaruc-les-Bains représente 60 000 personnes (curistes et accompagnants de curistes), ce qui en fait la deuxième station thermale de France et la première de Méditerranée ;
  • les activités nautiques et de plaisance avec plus de 1 600 bateaux de plaisance en 2005, et plus de 10 clubs de voile et centres nautiques.

Même si l'activité touristique génère un chiffre d'affaires de 275 millions d'euros, elle est aussi responsable de certains impacts sur l'environnement de l'étang de Thau. On constate en effet des destructions du milieu aquatique qui sont dues à :

  • à l'introduction d'espèces invasives qui détruisent les herbiers de Posidonies ;
  • aux mouillages des bateaux de plaisance ;
  • à la présence de macro-déchets ;
  • à la présence en grand nombre de déchets laissés par les touristes (sac plastiques, bouteilles et autres...).

La mise en place de mesures de protection telles que le classement de la lagune en zone Natura 2000 et l'élaboration de documents d'aménagement tels que le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux) rédigé par le Syndicat mixte du bassin de Thau permet d'espérer une meilleure gestion et une meilleure protection de cet espace.

Qualité de l'eau

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En raison des plus de 1 200 ha de conchyliculture de la lagune (1er centre conchylicole pour la méditerranée), cette eau fait l'objet d'un suivi par Ifremer[8].

Le milieu est fermé et riche en nutriments et sédiments riche en matière organique, source de CO2 et de méthane, ce qui rend la lagune vulnérable à des crises régulières de dystrophisation pouvant conduire à une anoxie mortelle pour une part importante des coquillages élevés dans la lagune[9], en été principalement. Localement ces crises sont dénommées Malaïgues[10],[11],[12],[13],[14].

Selon Ifremer, la température de l'eau de la lagune a monté de °C en 25 ans seulement (de 1975 à l'an 2000), alors que la température de l'air augmentait et que les précipitations diminuaient[8]. Ce réchauffement accentue l'évaporation qui a également conduit à une augmentation de la salinité de l'eau[8].

Biodiversité

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La lagune abrite également de nombreuses espèces animales.

Aigrette au bord de l'étang de Thau.

Oiseaux :

Une riche faune marine (méduses, poissons, Hippocampe à long nez, algues…).

L'étang de Thau est un milieu fragile qu'il faut protéger de la pression du monde moderne (urbanisation croissante, pollutions d'origine diverses).

Le canal du Midi rejoint l'étang de Thau à Marseillan.
L'étang de Thau et la montagne de Sète (et une course de voiliers sur la lagune).
  • Ports de plaisance :
  • Ports de pêche et de conchyliculture à :
    • Sète : le Barrou, la Pointe Courte
    • Bouzigues
    • Mèze : le Mourre blanc (plus grand port conchylicole de Méditerranée[15])
    • Marseillan
    • Loupian

Syndicat mixte du bassin de Thau

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Situé dans le département de l'Hérault, le Syndicat Mixte du Bassin de Thau[16] a été créé en 2005[17] pour coordonner les politiques sur le territoire de Thau. La mission de cette structure de gestion agissant à l'échelle globale du bassin est de protéger l'étang de Thau. Il regroupe deux intercommunalités et quatorze communes.

Présentation

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Le syndicat mixte regroupe sensiblement les mêmes acteurs que ceux présents géographiquement sur le bassin versant de l'étang de Thau, à deux exceptions près :

  • les communes de Pinet, Pomerols, Cournonsec et Montagnac, situées au moins partiellement sur le bassin versant, mais non membres du syndicat :
  • les communes de Vic-la-Gardiole et de Mireval, membres du syndicat, bien que situées hors du bassin hydrographique[18].

Les communes membres du syndicat sont les suivantes :

Communes Maire Population municipale légale 2019 en vigueur au
Sète François Commeinhes 43 858
Frontignan Michel Arrouy 23 028
Mèze Thierry Baëza 12 307
Marseillan Yves Michel 7 734
Balaruc-les-Bains Gérard Canovas 6 991
Gigean Marcel Stoecklin 6 507
Poussan Florence Sanchez 5 993
Villeveyrac Christophe Morgo 3 859
Vic-la-Gardiole Magali Ferrier 3 373
Mireval Christophe Durand 3 310
Montbazin Josian Ribes 2 934
Balaruc-le-Vieux Norbert Chaplin 2 648
Loupian Alain Vidal 2 191
Bouzigues Cédric Raja 1 643

Le SMBT est présidé par François Commeinhes, maire de Sète.

Missions

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Le territoire de Thau représente un patrimoine environnemental fragile, où coexistent des activités industrielles, touristiques, de pêche et d'agriculture. En vue d'assurer une démarche globale dans la gestion du territoire et de répondre aux enjeux démographiques, fonciers, économiques et environnementaux auxquels il est confronté[19], le syndicat mixte a été créé en prolongement d'un plan opérationnel d’un contrat s'inscrivant dans un schéma de mise en valeur de la mer adopté en France en 1995[20].

Ses missions principales visent à protéger la lagune de Thau et assurer un avenir responsable au territoire. En pratique, son rôle consiste à organiser l'aménagement du territoire en veillant aux impacts sur l'environnement et l'eau en particulier.

Il se revendique comme un véritable outil d'ingénierie territoriale : diagnostic, élaboration, suivi, évaluation d'outils de planification.

Il pilote ou assure la gestion de différents outils administratifs :

  • schéma de cohérence territorial du bassin de Thau (SCOT) et son volet maritime ;
  • schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) ;
  • Natura 2000 de Thau ;
  • contrat de gestion intégrée du territoire de Thau.

Il assure par ailleurs la gestion des déchets conchylicoles et développe une plateforme de gestion environnementale destinée à assurer la prévention, l'alerte et le suivi des pollutions pouvant affecter les coquillages produits dans la lagune de Thau. Ce programme, intitulé Contrat Qualité de la lagune de Thau, est un programme d'action multi partenarial qui concerne l'ensemble du bassin versant de Thau[21].

Démarche

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La participation de la population, et la mise en place de nombreux partenariats est l'une des caractéristiques de fonctionnement revendiquée tant par le syndicat que par ses partenaires[22].

Toutefois, après 8 ans de fonctionnement devant aboutir à l'adoption du SCOT, ce dernier fait l'objet de controverses en 2013, en raison d'un projet de création d'un Hinterland, destiné à servir de base logistique arrière au port de Sète. Des réserves et contestations émanent aussi bien des membres du syndicat mixte[23], d'institutionnels[24],[25] que d'une partie la population[26].

Natura 2000

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Le lido de Thau.
Autre vue du lido de Thau.

Le syndicat mixte est depuis 2009 la « structure porteuse » gérant les deux principaux sites Natura 2000, les « herbiers de l’étang de Thau » et 8 « étang de Thau et Lido de Sète à Agde », sous la coordination d'un comité de pilotage présidé par le maire de Marseillan. Le périmètre est plus restreint que celui du SCOT, et concerne les communes concernées de Balaruc les Bains, Balaruc le Vieux, Bouzigues, Loupian, Mèze, Marseillan, Sète, Frontignan et Poussan[27].


Notes et références

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  1. CPIE Bassin de Thau - Hippocampe de Thau, c’est quoi ? : « L’étang lagunaire de Thau est l’un des rares endroits en Europe où l’on trouve une population importante d’hippocampes, essentiellement des hippocampes mouchetés, Hippocampus guttulatus. Le projet-pilote Hippo-THAU a été lancé fin 2005 dans le cadre du programme national EnQuête d’Hippocampes afin d’entamer, dans la lagune de Thau, une première étude sur les hippocampes des côtes françaises. »
  2. France Info - Hérault : l'étang de Thau, le royaume des hippocampes - 10/05/2019 : «L'hippocampe moucheté de l'étang de Thau, dans l'Hérault, est une espèce fascinante à préserver.»
  3. Les Archives nationales conservent, sous la cote CP/F/14/17516/6, pièce 58, une planche de cinq figures relatives à l'étude pour la tourelle des Onglous datant de 1900.
  4. Forum des Observateurs et Gestionnaires des Etangs Méditerranéens (« FOGEM »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  5. « Bouzigues »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Musée de l'étang de Thau
  6. À la suite de la proposition de résolution d'ouverture d'une commission d'enquête sur l'étang de Thau le 20 décembre 1989 à l'Assemblée nationale, la Commission des lois est saisie au fond le 5 avril 1990 et nommera rapporteur François Massot qui produira son rapport d'enquête n°1339 le 10 mai de la même année.
  7. a b c et d [PDF]ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 55/2009 RÉGLEMENTANT LE MOUILLAGE ET LA CIRCULATION DES NAVIRES ET ENGINS SUR L'ÉTANG DE THAU et la carte des zones de l'étang de Thau
  8. a b et c Hamon, P. Y. (2002). Modifications physico-chimiques dans l'étang de Thau de 1965 à 2000.
  9. Tournier, H., Audabram, D., Landrein, S., & Deslous-Paoli, J. M. (1990). L'oxygène dans l'étang de Thau, contribution à l'étude de risque de≪ malaïgue≫. Ifremer DRO 90.02 EM/SETE, 27.
  10. Pichot, P., Juge, C., & Guillou, J. L. (1990). La «malaïgue» de l’été 1990 dans l’étang de Thau. Rapport Interne Ifremer Sète/90.01.
  11. Frisoni, G. F., & Cepja, A. M. (1989). La malaïgue dans les étangs littoraux du Languedoc-Roussillon. Rapport Cepralmar, 48.
  12. Amanieu, M., Baleux, B., Guelorget, O., & Michel, P. (1975). Étude biologique et hydrologique d’une crise dystrophique (malaïgue) dans l’étang du Prévost à Palavas (Hérault). Vie Milieu, 25(2), 175-204.
  13. Tournier, H., Hamon, P. Y., & Arnaud, P. (1979). Développement de la malaïgue en 1975 dans l’étang de Thau. Rapport Commission international Mer Méditerranée, 25-26.
  14. Tournier, H., Audabram, D., Landrein, S., Deslous Paoli, J. M., & Juge, C. (1990). L'oxygène en été dans l'étang de Thau. Contribution à l'étude du risque de malaïgue. Année 1989.
  15. « Une bourriche d’huîtres du Mourre Blanc », sur midilibre.fr (consulté le )
  16. « Syndicat Mixte du Bassin de Thau », sur smbt.fr (consulté le )
  17. Lucette Laurens, « L’agriculture ordinaire des espaces écologisés : entre controverses et idéalisation », Belgeo », Belgéo, 2 | 2021,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/belgeo.48630, lire en ligne)
  18. Syndicat Mixte du Bassin de Thau document de présentation non daté sur ec.europa.eu, p. 26, consulté le 1er décembre 2013.[PDF]
  19. Syndicat Mixte du Bassin de Thau document de présentation non daté sur ec.europa.eu, p. 21-23, consulté le 1er décembre 2013.[PDF]
  20. « Etang de Berre - Etang de Thau : retour d’expérience de 20 ans de gestion intégrée », (consulté le )
  21. « PRESSE - HÉRAULT : Le Syndicat Mixte du Bassin de Thau sur Thau TV », sur Hérault Tribune (consulté le )
  22. Maurel 2008
  23. « Bassin de Thau : un Scot et des couacs », sur MidiLibre.fr, (consulté le )
  24. « L'hinterland du port de Sète à Poussan a-t-il du plomb dans l'aile ? », sur MidiLibre.fr, (consulté le )
  25. « Le Scot de Thau "bloqué" en préfecture », sur MidiLibre.fr, (consulté le )
  26. Christine Thumerel, « #Hinterland : les opposants font un sitting devant le syndicat mixte du Bassin de #Thau - Journal La Marseillaise », (consulté le )
  27. Document d’Objectifs des sites Natura 2000 de Thau Tome 1. DREAL Languedoc-Roussillon, Syndicat mixte du bassin de Thau, Sète, 2011, www.languedoc-roussillon.developpement-durable.gouv.fr/ p. 15; 25-30 [PDF]

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Parc à moules de Bouzigues.

Liens externes

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