Westerwaldlied est une célèbre marche militaire composée par Joseph Neuhäuser en 1932 pour l'armée allemande, à l'époque la Reichswehr. Les paroles ont été écrites plus tard, cette fois pour la Wehrmacht, le chant a été également incorporé au répertoire de la Légion étrangère presque aussitôt.
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Le chant glorifie la beauté du Westerwald (terme qui signifie « forêt de l’ouest »), région d’Allemagne située entre Francfort et Cologne, délimitée par quatre fleuve et rivières : la Lahn, le Sieg, le Rhin et la Dill.
Heute wollen wir marschieren
Einen neuen Marsch probieren
In dem schönen Westerwald
Ja da pfeift der Wind so kalt.
Aujourd'hui nous voulons marcher,
Essayer une nouvelle marche
À travers le beau Westerwald,
Oui, là où siffle le vent si froid.
Refrain (bis)
Oh du schöner Westerwald
Über deinen Höhen pfeift der Wind so kalt
Jedoch der kleinste Sonnenschein
Dringt tief in’s Herz hinein.
Oh, toi, beau Westerwald
Par-dessus tes collines siffle le vent si froid,
Pourtant, le plus petit rayon de soleil
Pénètre au plus profond de notre cœur.
Seconde strophe
Und die Gretel und der Hans
Geh’n am Sonntags gern zum Tanz
Weil das Tanzen Freude macht
Und das Herz im Leibe lacht.
Et Gretel et Hans
Vont volontiers danser le dimanche
Parce que danser donne de la joie
Et fait rire le cœur dans la poitrine.
Refrain (bis)
Oh du schöner Westerwald
Über deinen Höhen pfeift der Wind so kalt
Jedoch der kleinste Sonnenschein
Dringt tief in’s Herz hinein.
Oh, toi, beau Westerwald
Par-dessus tes collines siffle le vent si froid,
Pourtant, le plus petit rayon de soleil
Pénètre au plus profond de notre cœur.
troisième strophe
Ist das Tanzen dann vorbei
gewöhnlich Gib’s Keilerei
Und den Bursch’ den das nicht freut
Ja man sagt der hat kein Schneid.
Et quand la danse est finie,
Il y a d'habitude la bagarre
Et du gars à qui ça ne plait pas,
On dit : « il n'a pas de cran… »
Refrain (bis)
Oh du schöner Westerwald
Über deinen Höhen pfeift der Wind so kalt
Jedoch der kleinste Sonnenschein
Dringt tief in’s Herz hinein.
Oh, toi, beau Westerwald
Par-dessus tes collines siffle le vent si froid,
Pourtant, le plus petit rayon de soleil
Pénètre au plus profond de notre cœur.