1634 en philosophie
L’année 1634 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :
Chronologies
1631 1632 1633 1634 1635 1636 1637 Décennies : 1600 1610 1620 1630 1640 1650 1660 Siècles : XVe XVIe XVIIe XVIIIe XIXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
Événements
modifierPublications
modifier- Johann Heinrich Alsted : Rudimenta linguae latinae, Gyulafehérvár.
- Marin Cureau de La Chambre : Nouvelles pensées sur les causes de la lumière, du desbordement du Nil et de l'amour d'inclination (1634)
- Jacques Gaffarel : Nihil, ferè nihil, minus nihilo : seu de ente, non ente, et medio inter ens et non ens, positiones XXVI, Venise, Pinelli, 1634. Rien, presque rien, moins que rien : de l'être, du non-être et du milieu entre l'être et le non-être en 26 thèses traduit du latin par Marianne Goevry, Paris, Sens & Tonka, 2001 ;
- Marie de Gournay :
- Œuvres complètes : Les advis ou Les présens de la demoiselle de Gournay ; T. Du Bray, 1634 Lire en ligne sur Gallica
- Les Advis ou les Presens (ajoute à L'Ombre : Discours sur ce livre à Sophrosine, Oraison du Roy à S. Louys durant le siège de Rhé, Première delivrance de Casal, De la témérité et la traduction du VIe livre de l'Énéide).
- Marin Mersenne :
- Questions inouïes et question harmoniques.
- Questions morales, théologiques et mathématiques.
- Les mécaniques de Galilée.
- Jean de Silhon : De l'immortalité de l'âme (1634)