31 février

date fictive

Le 31 février est une date imaginaire du calendrier, présente à ce titre dans plusieurs œuvres de (science-)fictions souvent nimbées de fantastique et/ou de « mystère(s) » voire d’humour.

Pierre tombale dans le cimetière de l’église de la Vieille Mission à Upper Sandusky, Ohio (États-Unis).

Exemples modifier

Littérature modifier

  • Le 31 février, de Julian Symons (éditions Plon, coll. « Nuit Blanche », no 11, année 1950, roman traduit de l'anglais The 31st of February par Henriette de Sarbois).
  • Le 32 juillet, par Kurt Steiner (éditions Fleuve noir, coll. « Anticipation », no 146, année 1959) et ses dates plus ou moins à l'image du 31 février.
  • Un certain 31 février et autres nouvelles singulières, de Henri Maisongrande (éditions Charles Corlet, coll. « Runes », 1994 (ISBN 2-85480-600-X)).
  • XXe ciel.com, œuvre graphique (bande dessinée en grande partie) d'Yslaire, en quatre tomes et une introduction dans lesquels ce quantième imaginé pour février (des années 1917, 1942, 1989 — date de publication du dernier numéro de la revue tout aussi imaginaire « Le XXe Ciel » —, 1997, 1998 et 1999 du XXe siècle) fait partie de plusieurs dates de 31 fictives (les 31 avril, 31 juin, 31 septembre, 31 novembre, à rapprocher néanmoins de dates du projet de calendrier universel), contribuant ainsi à son étrangeté historico-fantastico-psychanalytique.

Télévision voire cinéma modifier

The Thirty-First of February (Le trente-et-un février), quinzième épisode de la série télévisée The Alfred Hitchcock Hour (1962-1965).

Radio en ligne modifier

Artifice informatique utilisé par « Radio France » dans ses grilles de programmes, ayant renvoyé en réalité directement vers la page de programmes d'un d'une même année.

Notes et références modifier

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « February 31 » (voir la liste des auteurs).

Voir aussi modifier

Humour modifier

À rapprocher d'expressions courantes comme :