9e division de cavalerie (France)

9e division de cavalerie
Image illustrative de l’article 9e division de cavalerie (France)
Cavaliers du 3e régiment de dragons (9e brigade de dragons, 9e division de cavalerie) début août 1914.

Création
Dissolution
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Division de cavalerie
Rôle Cavalerie
Guerres Première Guerre mondiale
Batailles 1914 - Bataille de la Marne
(Bataille des Marais de Saint-Gond)
1914 - première bataille de l’Aisne
1914 - bataille d’Ypres

La 9e division de cavalerie est une division de cavalerie de l'armée de terre française qui a participé à la Première Guerre mondiale.

Création et différentes dénominations modifier

  •  : formation de la 9e division de cavalerie
  •  : dissolution

Les chefs de corps modifier

La division est commandée du au par le général Jean de l'Espée[1],[2].

Composition modifier

9e division de cavalerie (9e, 10e et 11e Régions) (Tours)

  • 1re brigade de cuirassiers (Tours)
5e régiment de cuirassiers (Tours)
8e régiment de cuirassiers (Tours)
  • 9e brigade de dragons (Nantes)
1er régiment de dragons (Luçon)
3e régiment de dragons (Nantes)
  • 16e brigade de dragons (Rennes)
24e régiment de dragons (Rennes)
25e régiment de dragons (Angers)
  • Éléments organiques divisionnaires
Infanterie : 9e groupe cycliste du 25e bataillon de chasseurs à pied (Saint-Mihiel)
Artillerie : 4e groupe (10e et 11e batteries à cheval) du 33e régiment d’artillerie de campagne (Angers)
Génie : Sapeurs cyclistes du 6e régiment du génie (Angers)
Groupe d'automitrailleuses et autocanons : 8e GAMAC

Historique modifier

1913 modifier

La division est créée par décret du [3].

1914 modifier

  • 29 et  : participation à la bataille de la Meuse
  • 6 au  : engagement dans la bataille de la Marne
6 au bataille des Marais de Saint-Gond.
7 -  : combat de Sommesous.
10 -  : combat de Mailly-le-Camp. À partir du , poursuite par Châlons-sur-Marne et Suippes jusqu'à Auberive-sur-Suippe.
1er -  : combats de Voormezeele et de Saint-Éloi.
6 -  : combats de Pilckem, de Langemarck et de Boesinghe.
  • -  : retrait du front ; repos au sud-ouest de Wormhout, puis à partir du vers Frévent (éléments en secteur vers Aix-Noulette du jusqu'au ).

1915 modifier

1916 modifier

  • - 1er juin : retrait du front, stationnement vers Tantonville.
  • 1er juin : dissolution

Affectation organique modifier

Notes et références modifier

  1. « Cote LH//1615/58 », base Léonore, ministère français de la Culture
  2. AFGG t. X-2, p. 1059.
  3. Pierre Guinard, Jean-Claude Devos et Jean Nicot, Inventaire des archives de la Guerre : Série N 1872-1919, vol. 1 : Introduction, guide des sources, bibliographie, Troyes, Imprimerie La Renaissance, (lire en ligne), p. 31-32 & 113

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier