Abderrahmane Zniber

Dr Abderrahmane Zniber (1918 à Salé-1983 à Casablanca), en arabe : عبد الرحمان زنيبر, est un résistant, homme politique et nationaliste marocain, l'un des premiers médecins titulaire d'un doctorat de médecine au Maroc et le premier ambassadeur du Maroc en Chine.

Abderrahmane Zniber
عبد الرحمان زنيبر
Illustration.
Dr. Abderrahmane Zniber recevant ses lettres de créance des mains du roi du Maroc Hassan II sous le regard de Hajj Ahmed Balafrej, ministre des affaires étrangères, en 1961
Fonctions
Ambassadeur du Royaume du Maroc en Chine
[1]
(3 ans)
Monarque Hassan II
Prédécesseur Poste créé
Successeur Abdellatif Filali
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Salé, Maroc
Date de décès (à 64 ans)
Lieu de décès Casablanca, Maroc
Nationalité marocaine
Conjoint Khadija Seffar
Entourage Mehdi Ben Barka, El Mehdi Benaboud
Diplômé de Université de Montpellier
Profession Médecin, diplomate, casque bleu (ONUC), homme politique

Abderrahmane Zniber

Biographie

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Jeunesse et formation d'un des premiers médecins du Maroc

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Abderrahmane Zniber, fils de Mohammed Ben Brahim Ben Hajji Zniber, est né le 18 août 1918 au sein d'une ancienne famille patricienne d'origine andalouse établie à Salé depuis plusieurs siècles. Le Dr Abderrahmane Zniber appartient à la branche des Hajji Zniber, l'une des sept branches de la famille Zniber de Salé. Il compte parmi ses ancêtres directs Mohammed Ben Hajji Ben Kacem Zniber, mort en 1780 (1194 de l'Hégire), Cadi de Salé, khatib à la Grande Mosquée de Salé, écrivain et poète. Plusieurs de ses manuscrits nous sont parvenus dont Nayl al-buchra wa as-sa'ada al-kubra[2] conservé à la Bibliothèque nationale du royaume du Maroc et à la bibliothèque de la Fondation du roi Abdul-Aziz Al-Saoud.

Le père d'Abderrahmane, Mohammed Ben Brahim Zniber mort en 1930[3] était katib (secrétaire) au Ministère des habous puis Nadir des habous (Administrateur et conservateur des fondations pieuses) à Safi ensuite Nadir des Grands Habous (al-Ahbas al-Kobra) à Marrakech en 1917[4] et enfin Nadir des habous de Sidi Frej à Fès[5]. L'oncle d'Abderrahmane, Ahmed Ben Hajj Brahim Zniber dit "az-Zit" mort en 1957 ou 1962 et enterré à Médine, était un négociant, cheikh al-mounchidin (Cheikh des psalmodieurs) et spécialiste des panégyriques soufis à Salé[5],[6],[7].

Abderrahmane Zniber effectue ses études secondaires au Lycée Gouraud, ancêtre du Lycée Descartes, à Rabat. C'est un élève brillant qui figure souvent en tête des classements et des concours de l'établissement dont les palmarès et résultats sont publiés dans la presse[8].

Abderrahmane Zniber rejoint l'université de Montpellier en novembre 1938. Son départ est même annoncé dans la presse locale[9]. Il fait alors partie de la première promotion de docteurs en médecine du Maroc[10]. Il est aussi le premier docteur en médecine de Salé[11]. Parmi ses camarades de promotion marocains à Montpellier figurent un certain nombre de nationalistes et futurs hauts responsables dont le ministre d'État Moulay Ahmed Alaoui, l'ambassadeur à Paris Abdellatif Benjelloun, ses compatriotes de Salé El Mehdi Ben Aboud premier ambassadeur aux États-Unis ou encore le premier docteur en pharmacie de Salé Larbi Hassar (1918-2010)[12]. Sa thèse de doctorat présentée en 1946 a pour titre La Pyrétothérapie par le propidon intraveineux en thérapeutique articulaire[13].

Jeune, Abderrahmane Zniber préside le Club littéraire de Salé fondé en 1927 et réunissant les jeunes nationalistes de l'intelligentsia de Salé qui se situait à Dar Kabbaj dans le quartier de Cherratine dans la médina avant de se réunir dans une demeure près de Sidi Kacem Ghlid à Bab Hsayen. Parmi les autres présidents du club on peut citer Mohammed Hassar, Abdelkrim Bouallou ou encore Abou Bakr Sbihi[14]. Le club organisait plusieurs conférences thématiques dont l'une sur le cancer donnée par Abderrahmane Zniber[15].

Premier comité du Mouvement national marocain en France à la fin de la guerre au sein de l'Association musulmane constituée à Montpellier. Il s'agit également de la première promotion marocaine de la faculté de médecine et de pharmacie de Montpellier en 1945. On voit notamment au centre Abderrahmane Zniber assis (3e à partir de la gauche), Larbi Hassar assis (1er en partant de la gauche), Moulay Ahmed Alaoui assis (2e en partant de la gauche), El Mehdi Benaboud debout (2e en partant de la gauche), Abdellatif Benjelloun debout (2e en partant de la droite).

Carrière et engagement pour l'indépendance au sein du Mouvement national

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Très tôt engagé dans le mouvement national marocain à côté d'autres résistants Slaouis et membres de la famille Zniber, il est épinglé par les services de renseignements de la Résidence générale. Il est même victime d'une tentative d'assassinat dans les années 1940. L'ODAT, milice française contre les cellules nationalistes clandestines distribua un tract où figurait une liste de Français (traîtres à ses yeux) et Marocains à abattre mentionnant le Docteur Abderrahmane Zniber, l'historiographe et médecin Delanoë ou encore Mehdi Ben Barka[16].

En 1943, il fait partie de la Chambre marocaine du Conseil du gouvernement. Il est signataire des premiers documents officiels préparant la rupture avec le Protectorat français aux côtés de Mehdi Ben Barka, de Mohamed Zeghari, de Ahmed Bahnini et de Mohamed Lyazidi[17]. Sur ces cinq personnalités, seul le nom d'Abderrahmane Zniber ne figure pas parmi la liste des signataires du Manifeste de l'indépendance du 11 janvier 1944 porté par le parti de l'Istiqlal. Pour l'historien marocain Mostafa Bouaziz, Abderrahmane Zniber a été "écarté" de cette liste, chose que l'historien soulève lors d'un colloque organisé par la revue Amal lors duquel l'historien Mohamed Hajji met la lumière sur le manifeste de l'indépendance oublié du Parti démocratique de l'indépendance. Abderrahmane Zniber, qu'il qualifie d'"esprit libre", était pour une union des différentes sensibilités politiques au sein du Mouvement national et était au-dessus des querelles partisanes[10]. En effet, plusieurs nationalistes et résistants importants ne figurent pas parmi les 58 signataires du Manifeste de l'indépendance du 11 janvier 1944 signé principalement par les partisans de l'Istiqlal, soit parce qu'ils étaient absents ou en exil, soit pour avoir exprimé leur désaccord avec la vision du Parti de l'Istiqlal dans un contexte de rivalité puis de quasi-guerre fratricide entre le Parti de l'Istiqlal d'Allal El Fassi et la Haraka al-Qawmiyya futur Parti démocratique de l'indépendance (PDI) ou Parti de la Choura et de l'Istiqlal de Mohamed Hassan Ouazzani. Il existe quatre autres manifestes de l'indépendance, la mémoire collective n'ayant retenu que celui du Parti de l'Istiqlal du 11 janvier 1944, dont les deux autres plus importants sont ceux du 14 février 1943 publié par les nationalistes de la zone nord espagnole et celui du 13 janvier 1944 du PDI[18].

Le Dr Abderrahmane Zniber participe également en tant que médecin militaire à l'opération de maintien de la paix au Congo sous l’égide de l’ONU ((ONUC) en 1960 dans le contexte des tensions opposant les partisans de Moïse Tshombé et Patrice Lumumba.

Abderrahmane Zniber avait également la réputation d'un médecin philanthrope. Tout comme le "bon docteur" El Mehdi Ben Aboud[19] à son retour à Salé après avoir été ambassadeur aux États-Unis, il continuera à recevoir les patients dans son cabinet à Salé et à soigner les nécessiteux parfois à titre gratuit. L'historien marocain Mostafa Bouaziz le compte parmi les acteurs du Mouvement national tombés dans l'oubli et qu'il qualifie de "marginalisés de l'Histoire du Maroc" à l'instar de Saïd Hajji et d'autres Slaouis[18].

Le premier ambassadeur du Maroc en Chine

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Dr Abderrahmane Zniber premier ambassadeur du Maroc en Chine reçu par Mao Zedong vers 1962

Les relations diplomatiques entre le Maroc et la Chine datent de 1958. Abderrahmane Zniber effectue un premier voyage en Chine en compagnie de Mehdi Ben Barka dans le cadre de la délégation marocaine envoyée par le roi Mohammed V. Les deux hommes sont reçus par Mao Zedong à Pékin en 1959[20],[21]. Il est reçu par le roi Mohammed V à son retour de Chine.

En 1962, il devient le premier ambassadeur du Maroc indépendant en Chine. Le Dr Abderrahmane arrive à Pékin le 4 septembre 1962. Il rencontre Chu Teh le 28 septembre 1962. Il remet ses lettres de créances au président Liu Shaoqi le 30 avril 1962 en tant que "premier ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire"[22]. Abderrahmane Zniber était un ami de Zhou Enlai ministre des affaires étrangères puis Premier ministre du Conseil des affaires de l'État de la république populaire de Chine[23]. Il contribuera à préparer la visite de Zhou Enlai au Maroc lors de sa tournée africaine. Zhou Enlai sera reçu chaleureusement par le roi Hassan II le 27 décembre 1963[24].

Dans le cadre de sa mission, il rencontre le roi du Cambodge Norodom Sihanouk en 1963[25],[26].

L'ambassadeur Abderrahmane Zniber rentre à Rabat en 1965. Zhou Enlai effectuera une visite privée d'adieu chez Abderrahmane Zniber le 9 février 1965. L'ambassadeur quitte Pékin le 17 février 1965 et arrive à Casablanca le 28 mars 1965 après 39 jours de croisière de Hong-Kong à Marseille.

Plusieurs de ses compatriotes originaires de Salé lui succèderont en tant qu'ambassadeurs du Maroc en Chine à l'instar de Kacem Zhiri entre 1972 et 1974[27],[28], de Abderrahim Harakat entre 1975 et 1988 et de Abderrahman Bouchaara entre 1988 et 1994[29].

Dr Abderrahmane Zniber continuera par la suite à entretenir des relations avec la Chine. Il sera à nouveau accueilli à Pékin en compagnie de son épouse en octobre 1979 et s'entretiendra notamment avec Tan Zhenlin (en) vice-président du Comité permanent de l'Assemblée nationale populaire[30]. Le couple se rendra notamment à Shanghai, Nankin, Wuhan et Chongqing[31].

Vie familiale et descendance

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Abderrahmane Zniber est l'époux de Khadija Seffar. "Madame l'ambassadrice" raconte ses souvenirs en Chine et les liens d'amitié qui les liaient, son mari et elle, à Zhou Enlai dans un entretien accordé en 2013 à la revue Diplomatica à l'occasion d'un numéro spécial célébrant les 55 ans des relations diplomatiques sino-marocaines[32]. Durant son séjour en Chine, Khadija Seffar Zniber a rencontré plusieurs grandes personnalités chinoises dont Zhou Enlai, le maréchal Chen Yi, Deng Xiaoping ou le président Mao Tsé-Tung qu'elle a rencontré à quatre reprises. Elle garde également un souvenir ému de Zhou Enlai, ministre chinois des affaires étrangères : « Il mangeait chez nous comme avec sa propre famille. Il aimait d'ailleurs le couscous sucré tfaya, qu'il mangeait toujours avec... des baguettes! »[32].

Khadija Seffar et son fils cadet Amal Zniber accordent également un long entretien télévisé à la chaîne nationale marocaine SNRT à l'occasion des 60 ans des relations sino-marocaines et seront reçus par S.E. M. Li-Li, ambassadeur chinois à Rabat.

Le frère du Dr Abderrahmane, Larbi Zniber (1917-1986), époux d'Oum Al Izz Sbihi, était interprète. Il fut collaborateur du vizir Abdallah Sbihi fils du Pacha de Salé Mohammed Ben Tayeb Sbihi puis membre du cabinet de Mbarek Bekkaï, Pacha de Sefrou puis premier chef de gouvernement du Maroc indépendant[33].

Abderrahmane Ben Mohammed Ben Brahim Ben Hajji Zniber et son frère Larbi Zniber sont aussi neveux de Tahar Ben Brahim Ben Hajji Zniber, le père de l'homme d'affaires et viticulteur Brahim Zniber leur cousin.

Les enfants d'Abderrahmane sont : Moncef Zniber docteur en chirurgie générale, Amal Zniber et Layla Zniber, premier médecin cardio-pédiatre du Maroc, épouse de Si Mohammed Hajoui et mère de Hakim Hajoui (en) (1983-), ambassadeur du Maroc à Londres depuis 2020.

Madame l'ambassadrice Khadija Seffar, épouse du Dr Abderrahmane Zniber, et son fils Amal Zniber reçus par S.E. M. Li-Li ambassadeur chinois à Rabat à l'occasion du 60e anniversaire des relations sino-marocaines en 2018
Hakim Hajoui (en) (1983-), ambassadeur du Maroc à Londres depuis 2020, petit-fils du Dr Abderrahmane Zniber

Notes et références

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  1. « bo_2779 »
  2. (ar) Mohammed Ben Hajji Ben Kacem Zniber, نيل البشري ، والسعادة الكبرى, t. 1, Salé, manuscrit,‎ 18e siècle, 472 p. (lire en ligne)
  3. Mohammed Hajji, Encyclopédie des personnalités du Maroc موسوعة أعلام المغرب, vol. 10,‎ (lire en ligne), p. 3687
  4. Résidence générale de la République française au Maroc, Rapport mensuel d'ensemble du protectorat, (lire en ligne), A22
  5. a et b (ar) Jean Cousté (trad. Abu al-Kacem Achach), Bouyoutat Madinat Sala (Les Maisons de Salé) [« Les Grandes Familles indigènes de Salé »], Imprimerie officielle de Rabat, diffusion de la bibliothèque Sbihi, (lire en ligne), p. 80
  6. Abdelaziz Benabdeljalil, « Ahmed Ben Ibrahim Zniber Salawi » in Maalama, vol. 14, 2001, p. 4723
  7. Abdellatif Benmansour, Maǧmūʿ azǧāl wa tawāšīḥ wa ašʿār al-mūsīqā al-andalusiyya al-maġribiyya al-maʿrūf bi-l-ḥāyik, 1397H./1977, p. 467
  8. "Palmarès du Lycée Gouraud", in journal Maroc-Matin, 12 juillet 1935 (Lien : https://bibliotheque-numerique.diplomatie.gouv.fr/ark:/12148/bpt6k5082784x/f2.image.r=abderrahmane%20zniber?rk=21459;2)
  9. "SALÉ : Dans le monde musulman AU DEPART Le jeune Si Abderrahman Zniber ancien élève du lycée Gouraud, vient de rejoindre Montpellier où il se rend pour suivre les cours de la Faculté de médecine […]", in journal L'Echo du Maroc du 22 novembre 1938, p. 5 (Lien : https://bibliotheque-numerique.diplomatie.gouv.fr/ark:/12148/bpt6k9376109d/f5.image.r=abderrahmane%20zniber)
  10. a et b « Les Manifestes de l'Indépendance… », sur Zamane, (consulté le )
  11. (ar) Abou Bakr (Boubker) Kadiri, Mes mémoires dans le Mouvement national marocain [« مذكراتي في الحركة الوطنية المغربية »], vol. 2,‎ (ISBN 9789954014028, lire en ligne), p. 121
  12. Mohammed Jamal Zniber, Une vie de pharmacien: témoignage, Espace santé, (lire en ligne), p. 7
  13. Si Abderrahman Zniber, La Pyrétothérapie par le propidon intraveineux en thérapeutique articulaire... : thèse de médecine de l'université de Montpellier, (lire en ligne)
  14. (ar) Muḥammad Bin-ʻAyyād, La route de la liberté : Petite histoire de Salé du temps de la lutte du Roi et du peuple 1912-1956 : التاريخ الصغير لمدينة سلا :ايام كفاح الملك والشعب 1912-1956 [« طريق الحرية التاريخ الصغير لمدينة سلا :ايام كفاح الملك والشعب 1912-1956 »],‎ (lire en ligne), p. 59
  15. Abderraouf Hajji et Mohammed Hajji, Saïd Hajji : Naissance de la Presse Marocaine Nationale, Lebonfon Incorporated, (ISBN 9780973223613, lire en ligne), p. 605
  16. M'hammed Aouad et Maria Awad, Les Trente Glorieuses ou l'Age d'or du Nationalisme Marocain : 1925-1955 Témoignage d'un compagnon de Mehdi Ben Barka, p. 301
  17. René Gallissot et Jacques Kergoat, Mehdi Ben Barka : de l'indépendance marocaine à la Tricontinentale, Karthala, (ISBN 9782865377565, lire en ligne), p. 67
  18. a et b « L’histoire dérange… mais elle nous éclaire », sur Zamane, (consulté le )
  19. « Le bon docteur Benaboud », sur Zamane, (consulté le )
  20. Nasser Bouchiba, Histoire des Relations entre le Maroc et la Chine (1958-2018), Dar Attaouhidi, , 343 p. (ISBN 9789920645379, présentation en ligne)
  21. Photographie d'El Mehdi Ben Barka et du Dr Abderrahmane Zniber reçus par Mao Zedong en 1959 réalisée par l'agence Xinhua et publiée par le sinologue Nasser Bouchiba, auteur de Histoire des Relations entre le Maroc et la Chine (1958-2018), sur son blog. (Lien : https://nasserbouchiba.com/blog/)
  22. "55 ans de relations d'amitié et de coopération Maroc-Chine : Histoire commune et futur prometteur", revue Diplomatica, dir. de la publication Abdelati Habek, numéro spécial, Numéro 59, 2013, p. 7, (ISSN 1114-9442) (Lien : https://issuu.com/diplomatica/docs/d59w)
  23. United States. Central Intelligence Agency, Daily Report, Foreign Radio Broadcasts, (lire en ligne), chap. 102-103
  24. Peking Review, vol. 7, (lire en ligne), chap. 1, p. 30-33
  25. Banque nationale du Cambodge, Bulletin mensuel, vol. 9, (lire en ligne), p. 9, 12
  26. Société d'expansion technique et économique, Revue générale du caoutchouc et des plastiques, vol. 40, Setco, (lire en ligne), p. 1540
  27. « -SM. nomme M. Kacem Zhiri ambassadeur en chine », sur www.maparchives.ma (consulté le )
  28. « M. Kacem Zhiri présente ses lettres de créances », sur www.maparchives.ma (consulté le )
  29. « BIOGRAPHIE DU NOUVEL AMBASSADEUR DE SM LE ROI EN CHINE POPULAIRE », sur www.maparchives.ma (consulté le )
  30. United States. Foreign Broadcast Information Service, Daily Report: People's Republic of China, vol. 201-212, U.S. Foreign Broadcast Information Service, (lire en ligne)
  31. British Broadcasting Corporation. Monitoring Service, Summary of World Broadcasts: The Far East, vol. 3, Monitoring Service of the British Broadcasting Corporation, (lire en ligne), A-42
  32. a et b (en) « Spécial Maroc Chine by Fondation Diplomatique », sur issuu.com, (consulté le )
  33. Achour Bekkaï Lahbil, Si Bekkai: rendez-vous avec l'histoire, A. Bekkaï Lahbil, (ISBN 9789981630017), p. 58

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • M'hammed Aouad et Maria Awad, Les Trente Glorieuses ou l'Age d'or du Nationalisme Marocain : 1925-1955 Témoignage d'un compagnon de Mehdi Ben Barka, Rabat, LPL, , 391 p. (ISBN 9981-110-08-6, présentation en ligne), p. 301 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Nasser Bouchiba, Histoire des Relations entre le Maroc et la Chine (1958-2018), Dar Attaouhidi, , 343 p. (ISBN 9789920645379, présentation en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (ar) Jean Cousté (trad. Abu al-Kacem Achach), Bouyoutat Madinat Sala (Les Maisons de Salé) [« Les Grandes Familles indigènes de Salé »], Imprimerie officielle de Rabat, diffusion de la bibliothèque Sbihi, (lire en ligne), p. 80 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • "55 ans de relations d'amitié et de coopération Maroc-Chine : Histoire commune et futur prometteur", revue Diplomatica, dir. de la publication Abdelati Habek, numéro spécial, Numéro 59, 2013, (ISSN 1114-9442) (Lien : https://issuu.com/diplomatica/docs/d59w) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (ar) Muḥammad Bin-ʻAyyād, La route de la liberté : Petite histoire de Salé du temps de la lutte du Roi et du peuple 1912-1956 : التاريخ الصغير لمدينة سلا :ايام كفاح الملك والشعب 1912-1956 [« طريق الحرية

التاريخ الصغير لمدينة سلا :ايام كفاح الملك والشعب 1912-1956 »],‎ (lire en ligne), p. 59 Document utilisé pour la rédaction de l’article

Voir aussi

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