Agricol d'Avignon
évêque d'Avignon
(Redirigé depuis Agricol (évêque d'Avignon))
Agricol (ou Agricola), né entre 627 et 630 à Avignon et décédé le [1], a été évêque d'Avignon de 660 à sa mort. Saint chrétien, il est fêté le 2 septembre[2].
Agricol d'Avignon
Évêque d'Avignon | |
---|---|
à partir de | |
Saint Magne (en) Vérédème (en) |
Naissance |
Entre et |
---|---|
Décès | |
Activité | |
Père |
Saint Magne (en) |
Étape de canonisation | |
---|---|
Fête |
Histoire et tradition
modifierAgricol serait le fils de saint Magne d’Avignon (en), lui-même évêque.
Quand son père est devenu moine aux îles de Lérins, il devint, en 660, l'évêque de la ville.
Il y aurait fait construire sept églises.
Enterré dans la collégiale Saint-Agricol à Avignon, il fut déclaré, en 1647, patron de la ville par l'archevêque César Argelli[3].
Représentations
modifier- Une statue dans la Cathédrale Notre-Dame-des-Doms d'Avignon.
-
Saint Agricol d'Avignon dans la Cathédrale Notre-Dame-des-Doms d'Avignon
Bibliographie
modifier- Saint Agricol, patron d'Avignon. Notice explicative. Avignon : Impr. de F. Séguin aîné, 1857.
- La Vie de saint Agricol : évêque et patron de la ville d'Avignon / par l'abbé Clément. - Avignon : J. Roberty, 1771, XV-133 p.
- Panegyrique de saint Agricol, citoyen, évêque et patron de la ville d'Avignon, avec des notes sur les actes et le culte de ce saint et sur l'histoire tant sacrée que prophane de la même ville / par Didier Eusebe. Avignon : chez Joseph-Simon Tournel, 1755, 80 p.
- Vie de saint Agricol, citoyen, évêque et premier patron de la ville d'Avignon / par Augustin Canron. Avignon : Aubanel frères, 1861, 104 p.
- Saint Agricol, moine de Lérins, évêque et patron d'Avignon / Paul Terris. Fréjus : impr. de L. Leydet, 1876, 9 p.
Références
modifier- Casimir François Henri Barjavel, Dictionnaire historique, biographique et bibliographique du département de Vaucluse, L. Devillario, (lire en ligne)
- Nominis : Saint Agricol d'Avignon
- Jacques Dupont, Cahiers de l'Association internationale des études françaises, Volume 8, Numéro 8, 1956, page 36