L'Alcyon (torpilleur)

navire français
(Redirigé depuis Alcyon (1926))

Le torpilleur L’Alcyon est un torpilleur français de la série des 1 500 tonnes appartenant à la classe L'Adroit. Lancé en 1926, il participe à la Seconde Guerre mondiale avant d'être désarmé en 1948.

L'Alcyon
illustration de L'Alcyon (torpilleur)
Ruban de bachi d'un matelot de L'Alcyon.

Type Navire
Histoire
A servi dans  Marine nationale
Pavillon des forces navales françaises libres Forces navales françaises libres
Commanditaire Marine nationale française
Constructeur Forges et chantiers de la Gironde
Quille posée [1]
Lancement [2]
Armé
Statut 1948 : retiré du service
Équipage
Équipage 7 officiers
12 officiers mariniers
115 quartiers-maîtres et matelots
Caractéristiques techniques
Longueur 107,2 m
Maître-bau 9,9 m
Tirant d'eau 4,24 m
Déplacement 1 378 t[3]
À pleine charge 1 900 t
Propulsion 2 hélices
3 chaudières du Temple
2 turbines à vapeur Zoelly
Puissance 34 000 ch
Vitesse 33 nœuds (61 km/h)
Caractéristiques militaires
Armement 4 canons de 130 mm/40
2 canons de 37 mm AA
2 x 2 mit. de 13.2 mm
2 grenadeurs de sillage
2 mortiers
2 × 3 TLT de 550 mm
Rayon d'action 2 150 milles marins (3 981,8 km) à 14 nœuds (26 km/h)
Pavillon France

Caractéristiques

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Toutes les unités de la classe L'Adroit ont été modernisées à la fin des années 1930 : remplacement du canon de 75 mm/50 et des 2 mitrailleuses 8 mm/80 par 2 canons de 37 mm modèle 1925 et 4 mitrailleuses de 13,2 mm. En 1940 tous, sauf La Railleuse, qui a subi une explosion le , et L'Adroit, coulé le , ont vu la pièce n°3 de 130 mm débarquée. En 1943, L'Alcyon, le Fortuné, le Basque et le Forbin sont modernisés : suppression d'un affût triple de tubes lance-torpilles de 550 mm, ajout d'un canon antiaérien de 40 mm Bofors Mk 1/2 et de 4 à 6 canons antiaériens de 20 mm Oerlikon Mk 4, d'un radar et d'un sonar.

Histoire

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L’Alcyon est mis en chantier le à Bordeaux, aux Forges et chantiers de la Gironde. Lancé le , il est admis au service actif le .

L’Alcyon combat à Casablanca lors de l'opération Torch et échappe au massacre. Après sa modernisation en Afrique du Nord (artillerie antiaérienne modernisée, installation d'un radar et d'un sonar...) il poursuit le combat pour la libération au côté des Alliés. Il est retiré du service le .

Sources

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Bibliographie

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Notes et références

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Liens externes

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