Alice Brown (écrivaine)

poète, romancière et dramaturge américaine
Alice Brown
Biographie
Naissance
5 décembre 1856 ou 1857
Hampton FallsVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Nationalité
Activité
Romancière, poète, dramaturge, nouvelliste, biographe
Autres informations
Religion
Catholique
Maître
William Wordsworth, Josephine Preston Peabody
Archives conservées par
Université du New Hampshire et Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits (université Yale)
Œuvres principales
Old Crow, Children of Earth, Ellen Prior

Alice Brown, née le ou [note 1] à Hampton Falls dans l'État du New Hampshire et morte le à Boston dans l'État du Massachusetts, est une romancière, nouvelliste, poète, dramaturge et biographe américaine. Elle est avec Sarah Orne Jewett, Rose Terry Cooke et Mary Eleanor Wilkins Freeman, une auteure majeure de la littérature appartenant au mouvement américain dit de « Local Colour ».

Biographie modifier

Jeunesse et formation modifier

Robinson Female Seminary

Alice Brown est la plus jeune des deux enfants de Levi Brown et de Elizabeth Lucas Robinson Brown et leur seule fille. Son père est le petit fils d'une amérindienne, Judith Runnels à qui il ressemble beaucoup. Les ancêtres d'Alice Brown font partie des premières familles implantées dans la Nouvelle Angleterre. Elle passe son enfance au sein de la ferme familiale à proximité de l'océan. Après sa scolarité secondaire, elle est admise au séminaire féminin, le Robinson Female Seminary d'Exeter, située à quatre miles du domicile, qu’elle fait à pied deux fois par jour, sauf en hiver quand le temps ne le permet pas ; elle en sort diplômée en 1876[1],[2],[3],[4].

William Wordsworth.

Durant ses études, Alice Brown se passionne pour Henry David Thoreau, John Milton, Dante Gabriel Rossetti, Alfred Tennyson, John Keats et plus particulièrement William Wordsworth qui sera son inspiration littéraire majeure[5].

Carrière modifier

Les premiers pas modifier

Avec son diplôme Alice Brown obtient des postes d'institutrice dans diverses écoles de campagne du New Hampshire, pour enfin obtenir un poste à Boston en 1880. La même année elle est recrutée pour faire partie du comité de rédaction du Christian Register (en), un hebdomadaire de l'American Unitarian Association[1],[2].

En 1884, Alice Brown publie son premier roman Stratford-By-The-Sea, et en 1885, elle entre au comité de rédaction du magazine pour la jeunesse The Youth's Companion (en) et en 1887, elle publie son second roman Fools of Nature, une étude de mœurs des villageois de la Nouvelle Angleterre[1],[2],[4].

L'amitié avec Louise Imogen Guiney modifier

Louise Imogen Guiney.

En 1886, Alice Brown rencontre Louise Imogen Guiney, c'est le début d'une longue amitié, leurs échanges littéraires et religieux[note 2] marquent son inspiration littéraire[1],[2].

Deux séjours au Royaume-Uni modifier

En 1890, elles se rendent au Royaume-Uni, elle y passent cinq mois, à visiter les campagnes du Shropshire et du Devon, à la recherche des lieux de leurs héros littéraires comme le Roi Arthur ou Lorna Doone célébrés par le romancier Richard Doddridge Blackmore, où les terres des sœurs Brontë ; au fur et à mesure, elles notent leurs pensées et sentiments. Alice Brown publie ses impressions de voyage sous le titre de By Oak & Thorn en 1896[1],[2],[6].

En 1895, Alice Brown et Louise Imogen Guiney font un second voyage au Royaume-Uni, où elles parcourent pendant dix semaines le Pays de Galles, et à nouveau le Shropshire et le Devon[2],[6].

De retour à Boston, elles fondent la Women's Rest Tour Association (en) (WRTA) et son magazine Pilgrim Scrip, pour inciter les femmes à faire du tourisme à l'étranger[note 3]. Alice Brown devient présidente de la WRTA en 1911, charge qu'elle occupe jusqu'à sa mort[2],[6],[4].

La collaboration littéraire modifier

En 1894, Alice Brown coécrit Three Heroines of New England Romance avec Louise Imogen Guiney et Harriet Elizabeth Prescott Spofford, biographies romancée de Priscilla Mullins Alden, d'Agnes Surriage Frankland (en)[7] et de Martha Hilton, trois figures féminines légendaires de l'époque coloniale et de l'ère des Pères pèlerins et qui ont fait l'objet de plusieurs récits notamment pour Priscilla Alden un des personnages principaux de The Courtship of Miles Standish, un poème d'Henry Wadsworth Longfellow. Three Heroines of New England Romance est illustré par le peintre Edmund H. Garrett (en)[8],[9],[10].

En 1895, Alice Brown et Louise Imogen Guiney publient une étude sur la vie du romancier Robert Louis Stevenson, Robert Louis Stevenson: A Study[2],[11].

La reconnaissance littéraire modifier

Mary Eleanor Wilkins Freeman.
Sarah Orne Jewett.
L'auteure du mouvement dit « Local colour » modifier

Avec la publication de ses recueils de nouvelles, Meadow-Grass: Tales of New England Life en 1895 et Tiverton Tales en 1899, Alice Brown est reconnue comme faisant partie des meilleures écrivaines de la Nouvelle-Angleterre, avec Sarah Orne Jewett, Rose Terry Cooke et Mary Eleanor Wilkins Freeman. Ces auteures appartiennent au courant littéraire dit de « couleur locale » caractérisé par la description des personnages, des us et coutumes d'une région, d'un terroir, il s'agit d'un genre littéraire américain qui a pris son essor après la Guerre de Sécession et plus particulièrement chez les auteurs de la Nouvelle Angleterre. Alice Brown, Sarah Orne Jewett, Rose Terry Cooke, Mary Eleanor Wilkins Freeman font partie de ce courant aux côtés de Celia Thaxter, Rowland Robinson (en), Philander Deming et autres[2],[4],[12],[13],[14],[15].

Diversification modifier

En 1896, elle publie son recueil de poèmes The Road to Castaly suivie d'une biographie de Mercy Otis Warren figure de la révolution américaine[2],[11].

En 1904, Alice Brown publie un recueils de nouvelles empreintes de mysticisme et de parapsychologie High Noon[16].

Alice Brown écrit plusieurs nouvelles pour différents magazines et revues qui sont publiés dans deux recueils de nouvelles The County Road en 1906 et Country Neighbors en 1910[2].

La dramaturge modifier

En 1914, Alice Brown aborde un tournant de sa carrière littéraire avec sa pièce Children of Earth: A Play of New England qui remporte le prix Winthrop Ames Prize d'un montant de 10 000 $, la pièce est produite par Winthrop Ames au Booth Theatre de Broadway le . bien que primée, la critique est mitigée, si le Boston Evening Transcript (en), le New-York Tribune, The Dial (en) sont positifs et saluent la justesse des personnages, de la description de la Nouvelle Angleterre, en revanche, d'autres critiques, comme celui du New York Times estime que si le climat de Nouvelle Angleterre est admirablement dépeinte, l'histoire n'est pas convaincante, The Boston Globe l'éreinte qualifiant la pièce de « mascarade grotesque », aussi la pièce s'arrête en au bout de 39 représentations[1],[2],[17],[18].

Alice Brown écrit 9 pièces de théâtre en un seul acte rédigées pour les troupes inspirées par le Little Theatre Movement (en)[19] , pièces qui sont rassemblées pour être publiées en 1921 sous le titre de One Act Plays. Parmi ces pièces, il est à noter The Sugar House qui est montée le au Comedy Theatre (New York City) (en) par la troupe des Washington Square Players (en) et Joint Owners in Spain qui est montée avec d'autres pièces au Waldorf Theatre de Broadway, le [20],[21].

En 1924, elle écrit une autre pièce : Charles Lamb qui ne sera jamais montée. Sa dernière œuvre est une pièce Pilgrim's Progress, un drame en cinq actes publié en 1944 en tirage limité[22].

Une nouvelle inspiration modifier

Josephine Preston Peabody.
Robert Frost.

La thématique de la poésie de Josephine Preston Peabody[23] sa vision optimiste de monde, en accord avec celle d'Alfred Tennyson, animée par la foi en un développement de la conscience spirituelle des humains pouvant s'accorder avec l'univers, selon le loi divine va inspirer les romans d'Alice Brown. Sa nouvelle écriture souligne combien les conventions sociales liées à l'ignorance des hommes empêchent d’accéder à la vérité et à la beauté du vivant, elle croit en une vision cosmique qui unit la vie spirituelle et le vivant. Sa nouvelle inspiration la rapproche du poète Robert Frost qui vient de publier North of Boston, en qui elle voit une âme-sœur[24],[4].

Ses romans décrivent les conflits entre le désir et le devoir, l'amour et le mal qui se résolvent au bout d'une tension dramatique. Dans cette veine sont à retenir Margaret Warrener, publié en 1901, My Love and I publié en 1912, romans qui décrivent la quête de l'amour comme idéal de rédemption. Les épreuves, la souffrance sont décrites à l'instar des tragédies grecques comme des passages obligés[25].

Kings'End publié en 1901 et Old Crow publié en 1922, reprennent le thème fondateur de la tragédie de la lutte entre le Bien et le Mal, où ses personnages parcourent le chemin qui va de situations sordides à celle de situations tragiques et cosmiques dans leur quête du bonheur sur terre. Le New York Times cite Old Crow comme étant le meilleur roman d'Alice Brown et le critique et écrivain Hugh Walpole sélectionne Old Crow comme faisant partie des six meilleurs romans américains de l'année 1922[26].

L'éthique et l'esthétique victoriennes contre les conventions modifier

La poète et nouvelliste Lilian Whiting (en)[27],[28]estime que la vision poétique et panthéiste d'Alice Brown est sa plus haute expression, expression marquée, entre autres, par la moralité victorienne[29],[30],[4]. Les héroïnes qu'elle campe endurent et dépassent les rebuffades liées aux conventions sociales, voire se rebellent. Les femmes célibataires sont victimes des moqueries et humiliations des hommes dans un monde fait par et pour les hommes ; thématique de deux de ses romans Rose MacLeod publié en 1908 et The Story of Thyrza publié en 1909, héroïnes aux amours bafouées au nom des conventions mais qui gardent l'espérance au delà d'un parcours tragique[31].

Le poète britannique Lionel Johnson (en)[32] rend hommage à Alice Brown à sa vision à la fois mystique et réaliste. Réaliste car Alice Brown enracine sa vision dans une description aussi réaliste que possible de ses personnages de la Nouvelle Angleterre. Ses conflits internes entre la difficulté de vivre et l'idéal imaginé perturbent ses choix esthétiques et le renouvellement de son style. L'entrée en guerre des États-Unis en 1917, l'amène à un retrait de la vie, à se marginaliser comme l'indique une interview qu'elle a accordé en à Montrose Jonas Moses (en). D'après ce dernier, ce retrait de la vie sociale se remarque dans les romans The Prisoner publié en 1916 et Bromley Neighborhood publié en 1917, ces deux romans en gardant pour cadre la Nouvelle Angleterre se décalent des nouveaux romans pris dans de nouvelles thématiques plus universelles. Ce décalage la conduit vers des thématiques de plus en plus mystiques et surnaturelles[33].

Mystique tragique, conversion et fin modifier

La nouvelle inspiration d'Alice Brown est magnifiée dans son poème Ellen Prior publié en 1923, que les critiques mettent sur un pied d'égalité avec Aurora Leigh d'Elizabeth Barrett Browning. Les critiques voient dans les deux œuvres un drame lyrique de l'âme humaine en face de la beauté environnante, qui chante l'union de l'homme à la nature et de leurs interactions. Ellen Prior est aussi un hommage à la spiritualité de François d'Assise pour qui le salut personnel est lié à celui de la nature[34].

Les derniers romans d'Alice Hamilton The Kingdom in the Sky, publié en 1932, Jeremy Hamlin publié en 1934 et The Willoughbys publié en 1935 sont centrés sur la relation entre l'homme et Dieu, la vie dans l'Au-delà, les liens entre l'âme et le corps. La thématique de la rédemption par la souffrance la tourne de plus vers la foi catholique, la rédemption chrétienne étant pour elle un prolongement de la tragédie grecque. C'est au bout d'un long cheminement qu'elle se convertit au catholicisme à la fin de sa vie[35].

Vie privée modifier

En 1948, Alice Brown décède des suites d'une hémorragie cérébrale au Massachusetts General Hospital de Boston[1].

Œuvres modifier

Note : quand une œuvre est suivie d'un identifiant ISBN, cela signifie qu'elle a fait l'objet de rééditions récentes souvent sous forme de fac-similé, l'identifiant est celui, en principe, de la réédition la plus récente, sans préjuger d'autres rééditions antérieures ou ultérieures.

Théâtre modifier

Romans modifier

Recueils de poèmes modifier

Récits modifier

Recueils de nouvelles modifier

Biographies modifier

Archives modifier

Les archives d'Alice Brown sont déposées et consultables auprès de la Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits de l'université Yale, et la bibliothèque et de l'université du New Hampshire[36],[37].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les sources encyclopédiques varient certaines citent l'année 1856, d'autres 1857, cela dit il existe un consensus majoritaire pour fixer l'année de la naissance d'Alice Brown en 1857
  2. Louise Imogen Guiney est une catholique fervente et Alice Brown est une unitarienne
  3. Le tourisme largement pratiqué dans les pays anglo-saxons est le fait des hommes et plus particulièrement des jeunes hommes issus de l'aristocratie.  [lire en ligne]

Références modifier

  1. a b c d e f et g (en-US) Paul Wilson Boyer (dir.), Notable American Women: A Biographical Dictionary, Volume I: 1607-1950, A-F, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of Harvard University Press., , 687 p. (ISBN 9780674288362, lire en ligne), p. 249-250
  2. a b c d e f g h i j k et l (en-US) John A. Garraty & Mark C. Carnes (dir.), American National Biography, Volume 3: Blatchford - Burnet, New York, Oxford University Press, USA, , 973 p. (ISBN 9780195127829, lire en ligne), p. 654-655
  3. (en-US) Dorothea Walker, Alice Brown, New York, Twayne Publishers, , 187 p. (ISBN 9780805700992, lire en ligne), p. 21-23
  4. a b c d e et f (en-US) Bobby Ellen Kimbel, Dictionary of Literary Biography: American Short Story Writers 1880-1910, Detroit, Michigan, Gale Research Inc, , 409 p. (ISBN 9780810345560, lire en ligne), p. 21-31
  5. Dorothea Walker, op. cit., https://archive.org/details/alicebrown0000walk/page/23/mode/1up, p. 23-24
  6. a b et c Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 26-27
  7. (en) « Agnes Surriage, Lady Frankland | American colonial figure | Britannica », sur www.britannica.com (consulté le )
  8. « Edmund Henry Garrett - Biography », sur www.askart.com (consulté le )
  9. (en) « John Alden and Priscilla Alden | English colonists | Britannica », sur www.britannica.com (consulté le )
  10. Dorothea Walker, op. cit (lire en ligne), p. 28
  11. a et b Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 29
  12. (en) « local colour | American literature | Britannica », sur www.britannica.com (consulté le )
  13. (en-US) Donna M. Campbell, « Regionalism and Local Color Fiction | Encyclopedia.com » Accès libre, sur www.encyclopedia.com (consulté le )
  14. (en) « Rose Terry Cooke | American author | Britannica », sur www.britannica.com (consulté le )
  15. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 30-33
  16. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 60-66
  17. (en-US) « Children of Earth » Accès libre, sur IBDB
  18. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 68-70
  19. (en) Chelsey Parrott-Sheffer., « little theatre | American theatrical movement | Britannica » Inscription nécessaire, sur www.britannica.com (consulté le )
  20. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 76-80
  21. (en-US) « Alice Brown – Broadway Cast & Staff | IBDB » Accès libre, sur www.ibdb.com (consulté le )
  22. Dorothea Walker, op. cit (lire en ligne), p. 80-83
  23. (en) Amy Tikkanen., « Josephine Preston Peabody | American writer | Britannica » Inscription nécessaire, sur www.britannica.com, mise à jour 30 novembre 2021 (consulté le )
  24. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 84-85
  25. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 86-95
  26. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 95-106
  27. (en-US) Virginia R. Terris, « Whiting, Lillian | Encyclopedia.com » Accès libre, sur www.encyclopedia.com (consulté le )
  28. (en-US) Angela Woodward, « Whiting, Lilian (1847–1942) | Encyclopedia.com » Accès libre, sur www.encyclopedia.com (consulté le )
  29. (en-US) W. David Shaw, « Philosophy and Genre in Victorian Poetics: The Idealist Legacy », ELH, Vol. 52, No. 2,‎ , p. 471-501 (31 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  30. (en-US) Lawrence Poston, « Poetry as Pure Act: A Coleridgean Ideal in Early Victorian England », Modern Philology, Vol. 84, No. 2,‎ , p. 162-184 (23 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  31. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 107-115
  32. (en) Kathleen Kuiper., « Lionel Johnson | English poet and critic | Britannica » Inscription nécessaire, sur www.britannica.com (consulté le )
  33. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 125-127
  34. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 127-129
  35. Dorothea Walker, op. cit. (lire en ligne), p. 130-134
  36. (en-US) « Alice Brown papers » Accès libre, sur Beinecke Rare Book and Manuscript Library
  37. (en-US) « Guide to the Alice Brown Papers, 1876-1947 » Accès libre, sur Library of University of New Hampshire, (consulté le )

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices dans des encyclopédies et manuels de références modifier

  • (en-US) Paul Wilson Boyer, Notable American Women: A Biographical Dictionary, Volume I: 1607-1950, A-F, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of Harvard University Press., , 687 p. (ISBN 9780674288362, lire en ligne), p. 249-250. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Lina Mainero (dir.), American Women Writers, volume 1 : A-E, New York, Frederick Ungar Publishing (réimpr. 1982) (1re éd. 1979), 664 p. (ISBN 9780804431507, lire en ligne), p. 249-252. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Bobby Ellen Kimbel (dir.), Dictionary of Literary Biography: American Short Story Writers 1880-1910, Detroit, Michigan, Gale Research Inc, , 409 p. (ISBN 9780810345560, lire en ligne), p. 21-31. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en-US) John A. Garraty & Mark C. Carnes (dir.), American National Biography, Volume 3: Blatchford - Burnet, New York, Oxford University Press, USA, , 973 p. (ISBN 9780195127829, lire en ligne), p. 654-655. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Anne Commire & Deborah Klezmer (dir.), Women in World History, Volume 3: Brem - Cold, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications / Gale Cengage, , 903 p. (ISBN 9780787640620, lire en ligne), p. 98. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Essais modifier

Articles modifier

Les articles de JSTOR, sont librement accessibles à la lecture en ligne jusqu'à la concurrence de 99 articles par mois.

  • (en-US) Susan Allen Toth, « Alice Brown (1857-1948) », American Literary Realism, 1870-1910, Vol. 5, No. 2,‎ , p. 134-143 (10 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • (en-US) Margaret Ann Baker, « Alice Brown: A Bibliography of Books and Uncollected Prose », American Literary Realism, 1870-1910, Vol. 17, No. 1,‎ , p. 99-115 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Beth Wynne Fisken, « Alice Brown (1857-1948) », Legacy, Vol. 6, No. 2,‎ , p. 51-57 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Rob Goudey & Ramon Goudey, « William Orr Goudy and Alice Brown: From Greyabbey to the Victorian Goldfields », North Irish Roots, Vol. 26, No. 2,‎ , p. 36-44 (9 pages) (lire en ligne Accès libre),

Liens externes modifier