Alix Marie de Ligne
Alix Marie de Ligne, née le à Bruxelles (Belgique), est une princesse de la maison de Ligne, fille de Michel de Ligne et Eleonora d'Orléans-Bragance. Apparentée à la famille impériale brésilienne, elle porte aussi le titre de « comtesse Guillaume de Dampierre » depuis son mariage en 2016. Elle a été l'héritière de la maison de Ligne depuis sa naissance en 1984 jusqu'à celle de son frère en 1989.
Titulature | Comtesse Guillaume de Dampierre |
---|---|
Nom de naissance | Alix Marie Isabelle Adelgonde Eléonore de Ligne d'Orléans-Bragance |
Naissance |
Bruxelles (Belgique) |
Père | Michel de Ligne |
Mère | Eleonora d'Orléans-Bragance |
Conjoint | Guillaume de Dampierre (depuis 2016) |
Enfants |
Olympia de Dampierre Guy Audoin de Dampierre |
Résidence | Château de Beloeil (Belœil, Belgique) |
Biographie
modifierÉducation et formation
modifierElle a étudié dans des internats catholiques belges puis l'ingénierie dans une université belge.
Crash du vol 447
modifierEn 2009, la princesse Alix a failli être impliquée dans l'accident du vol 447 d'Air France, parce qu'elle devait voyager avec son cousin Pedro Luiz d'Orléans-Bragance. Cependant, elle n'a pas pu obtenir de place sur le même vol et a fini par voyager sur un autre, quelques heures plus tôt[1].
Mariage et descendance
modifierElle s'est mariée le 18 juin 2016 au château de Belœil au comte Guillaume de Dampierre, né à Paris le , issu d'une famille de la noblesse française, les Dampierre. Il est le fils du comte Audoin de Dampierre et de Roselyne Alvar de Biaudos de Castéja[2],[3],[4],[5],[6].
Au mariage assistent des invités de marque tels que : la reine Mathilde de Belgique, Maria-Laura de Belgique, Raphaël d'Orléans-Bragance, Marie-Gabrielle d'Orléans-Bragance, Henri de Ligne et d'autres membres de familles royales[7],[8],[9].
Le couple a deux enfants[10] :
- Olympia de Dampierre (née à Rio de Janeiro le ) ;
- Guy Audoin de Dampierre (né à Rio de Janeiro le ).
Depuis 2016, elle ne figure plus dans l'ordre de succession à l'ancien trône du Brésil en raison de son mariage morganatique[11].
Titres
modifier- 3 juillet 1984 - : Son Altesse la princesse héréditaire de Ligne
- - 18 juin 2016 : Son Altesse la princesse Alix Marie de Ligne[12]
- Depuis le 18 juin 2016 : Son Altesse la princesse Alix Marie de Ligne, comtesse Guillaume de Dampierre
Références
modifier- (pt) « Princesa quase embarca com o primo no voo 447 », sur Folha de S.Paulo, (consulté le ).
- « Tataraneta da princesa Isabel casa-se na Bélgica com a presença da rainha », sur epoca.globo.com (consulté le ).
- (pt-BR) « Uma princesa que reina em Ipanema e casará na Bélgica », sur O Globo, (consulté le ).
- (pt) « Princesa Alix de Ligne vem a Brasília para lançar linha My Collection », sur Metrópoles (consulté le ).
- (en) « A princess got married this weekend - and the dress was magical... », sur HELLO!, (consulté le ).
- Emily Chan, « Princess Alix de Ligne marries her Prince at 'Versailles of Belgium' », sur Mail Online, (consulté le ).
- (pt-BR) SiteZeRonaldo, « O casamento real da Princesa brasileira Alix de Ligne com o Conde Guillaume de Dampierre no Chateaux de Beloeil - Ze Ronaldo », (consulté le ).
- (pt-BR) « Brasil e Bélgica, entre os dois países, o coração da princesa Alix balança », sur Acervo, (consulté le ).
- « D.Isabel, Afonso e Maria Francisca no casamento da Princesa Alix de Ligne com o Conde Guillaume de Dampierre », sur monarquiaportuguesa.blogs.sapo.pt (consulté le ).
- (pt) José Guilherme Beccari, Anuàrio da casa imperial do Brasil, São Paulo, Pro Monarquia, , 71 p. (lire en ligne), p. 44-45.
- (pt) José Guilherme Beccari, Anuàrio da casa imperial do Brasil, São Paulo, Pro Monarquia, , 71 p. (lire en ligne), p. 43.
- « Alix Marie, Princesse de Ligne », sur geni_family_tree, (consulté le )
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Nicolas Énache, La descendance de Marie-Thérèse de Habsburg, Paris, Éditions L'intermédiaire des chercheurs et curieux, , 795 p. (ISBN 978-2-908003-04-8). .
- (pt) José Guilherme Beccari, Anuàrio da casa imperial do Brasil, São Paulo, Pró Monarquia, , 71 p. (lire en ligne), p. 44-45.
Liens externes
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