Amaesia Sentia est mentionnée par Valère Maxime comme un exemple de femme qui plaide sa propre cause devant un préteur, vers 77 avant notre ère[1],[2],[3]. On l'appelait « androgyne », parce qu'elle avait «l'esprit d'un homme avec une forme féminine»[4],[5]. Un cratère sur l'astéroïde 4 Vesta est nommé Sentia en son honneur[6].

Amaesia Sentia
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Biographie
Activité

Références

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  1. Valère Maxime, viii. 3. § 1
  2. Aydemir Leyla, « Female Attorneys in Ancient Roman Courts », Turkish Journal of History, vol. 0, no 75,‎ , p. 1–15 (DOI 10.26650/iutd.961376, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) Jona Goldschmidt, Self-Representation: Law, Ethics, And Policy, Rowman & Littlefield, (ISBN 978-1-7936-1665-4, lire en ligne)
  4. William Smith, « Amaesia Sentia », dans William Smith, Dictionary of Greek and Roman Biography and Mythology, vol. 1, Boston, Little, Brown and Company, , 135 p. (lire en ligne)
  5. (en) Mark Golden, Sex and Difference in Ancient Greece and Rome, Edinburgh University Press, (ISBN 978-1-4744-6854-1, lire en ligne)
  6. International Astronomical Union (IAU) Working Group for Planetary System Nomenclature (WGPSN)