Amfreville-la-Mi-Voie
Amfreville-la-Mi-Voie est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Amfreville-la-Mi-Voie | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Hugo Langlois 2020-2026 |
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Code postal | 76920 | ||||
Code commune | 76005 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Amfrevillais | ||||
Population municipale |
3 296 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 837 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
532 559 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 24′ 10″ nord, 1° 07′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 3 m Max. 145 m |
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Superficie | 3,94 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Darnétal | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | amfreville-la-mivoie.fr | ||||
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Géographie
modifierAmfreville-la-Mi-Voie est située à 5 km au sud de Rouen, sur la rive droite et la rive gauche de la Seine, dans le canton de Darnétal.
Communes limitrophes
modifierBonsecours | ||||
Sotteville-lès-Rouen, Saint-Étienne-du-Rouvray | N | Le Mesnil-Esnard | ||
O Amfreville-la-Mi-Voie E | ||||
S | ||||
Oissel | Belbeuf |
Transports
modifierLa ligne de bus 15 permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes, avec un bus toutes les 25 minutes en moyenne. La ligne 15 comporte ainsi 50 rotations par jour dans le sens Amfreville-Rouen et 48 dans l'autre sens. Le 1er bus part à 5 h 45 et le dernier bus revient à 21 h 15.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Amfreville-la-Mi-Voie est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (52,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (28,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,7 %), forêts (23 %), eaux continentales[Note 4] (19,4 %), prairies (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierAmfreville-la-Mi-Voie est une mentionnée sous les formes Offredivilla et Offrevilla en 1205[14], Onfreville en 1217 (Arch. S.-M. cart. f. 32), Ouffreivilla en 1226 (Archives départementales de la Seine-Maritime, 25 H), Onffreville en 1319, Offreville en 1392 (Arch. S.-M., G 3267), Onffreville la mi-voie en 1395 (Arch. S.-M., B Ech. f. 172 v.), Onffrevilla media via en 1441 et en 1442 (Arch. S.-M., G 9439), Onffreville la myvoie en 1444 (Arch. S.-M., tab. Rouen), Onffreville la Mivoye en1463 (Arch. S.-M., tab. Rouen), Offreville en 1471 (Arch. S.-M., G 3269), Amfrevilla media via en 1501 (Arch. S.-M., G. 9402), Oufreville la my voie en 1648, Amfreville la Myvoie en 1738 (pouillé), Amfreville la mivoye en 1757 (carte de Cassini), Amfreville la Mivoye en 1788 (Dict.), Amfreville la mi Voie en 1952 (I.G.N.)[15].
Les formes anciennes indiquent que le premier élément Amfre- d’Amfreville n'est pas analogue à celui des autres Amfreville de Normandie. En effet, pour ces derniers, elles sont toutes du type Ansfridivilla, Ansfredivilla[14], dans lesquels le premier élément représente manifestement l'anthroponyme vieux norrois Ásfríðr, le plus souvent de genre féminin, et qui se perpétue dans les noms de famille normand Anfry et Lanfry (< l'Anfry). Il s'est confondu avec le nom de personne francique Ansfred, d'où le patronyme normand Anfray.
Dans le cas d'Amfreville-la-Mi-Voie, au vu des formes anciennes, il est préférable d'avoir recours à son équivalent vieil anglais Ōs-ferð (Osferth) de même étymologie germanique[14].
La toponymie ancienne des environs est constituée de nombreux noms de lieux scandinaves ou anglo-scandinaves : Boos, Belbeuf, Le Thuit, Normare, Bouquelon, Inglemare, etc.
Le déterminant complémentaire la-mi-Voie, attesté en 1395, évoque la route de Rouen à Pont-de-l'Arche qui traverse ce village (cf. le Boullay-Mivoye sur la route de Dreux à Chartres)[14], le nom s'explique parce que la commune se trouve, à peu près, à mi-chemin de Rouen et du Port-Saint-Ouen où se trouvait la première poste sur le grand chemin de Paris, le complément qui constitue un syntagme assez rare apparaît à la fin du XIVe siècle[16].
Lescure, lieu-dit d'Amfreville-la-Mi-voie, a laissé son nom à un quai de Seine : quai Lescure. Contrairement aux apparences, il ne semble pas s'agir du nom de personne méridional Lescure qui aurait été importé et qui est issu des toponymes occitans du type Lescure. En effet, il est déjà attesté sous la forme Scurra vers 1055. La conservation du s devant le c est graphique et sert à indiquer un [e] ou un [ɛ] (cf. Ménesqueville).
Ernest Nègre explique le mot escure comme un ancien terme de langue d'oïl signifiant « grange » et que l'on retrouve dans Escures-sur-Favières (Calvados, Escurium 1154) et Xures (Meurthe-et-Moselle, Scuris 1103), ainsi que les lieux-dits Escures à Commes et à Saint-Jean-le-Blanc, également situés dans le département du Calvados. Ce même terme se retrouve en langue d'oc, mais le type toponymique est plutôt Lescure (cf. ci-dessus)[17].
L'étymologie d'escure est germanique, d'une racine *skūr- (vieux haut allemand sciura, scûra > Scheuer « grange », néerlandais schuur, danois skure « abris »), plutôt francique au nord (voire saxon dans le Calvados) et gotique au sud.
Histoire
modifierUne seule berge était aménagée pour le halage, la rive gauche de la Seine étant inondable et donc souvent marécageuse, les ouvriers du fleuve n'avaient pas d'autre choix que de passer par Amfreville-la-Mi-Voie.
Autrefois commune industrielle[Quand ?] (fabrique d'alun ou de nitrate de plomb, fonderie…) et berceau de la batellerie (chantiers navals, Amfreville ne compte plus actuellement[Quand ?] que deux entreprises, Tréfimétaux, devenu Pirelli puis Prysmian, spécialisée dans la fabrication de câbles et Eureka, leader de la fripe et des vêtements vintage, installée dans l'ancienne usine Keittinger (carte postale), devenue entretemps Patis France.
Considérée pendant de très nombreuses années uniquement comme un axe de circulation (on comptait jusqu'à 18 000 véhicules par jour en centre-ville)[réf. nécessaire], une déviation de la RD 6015 en 1997 a été ouverte en 1997.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2021, la commune comptait 3 296 habitants[Note 5], en évolution de +4,07 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,1 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 626 hommes pour 1 698 femmes, soit un taux de 51,08 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,90 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie et industrie
modifier- Entreprise de fabrication de câbles électriques MT et BT (groupe italien Prysmian, ex-Câbles Pirelli).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierCentre culturel Simone-Signoret
modifierImplanté en bordure de Seine, sur l’emplacement de l’ancien château d'Amfreville, pour remplacer la salle des fêtes ne répondant plus aux normes de sécurité, ce bâtiment possède une architecture contemporaine.
Église Saint-Remi
modifierDe style « renaissance byzantine » (unique dans la région), elle a été érigée en centre ville en 1908 pour remplacer l’ancienne église devenue vétuste et difficile d’accès. C'est une réalisation des architectes Charles Lassire[28] et Lesueur, fortement inspirée (en beaucoup plus petit) par la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. Construite en 1907, le matériau retenu est le béton. L'une des toutes premières à être construite sous le nouveau régime de la séparation de l'église et de l'État, elle est désacralisée en .
La mairie
modifierAchevée en 1884, sous la Troisième République, après bien des difficultés techniques et financières, la nouvelle école de garçons et le logement du directeur ont laissé place au cours du temps à la mairie et au Musée du patrimoine des écoles.
Parc Lacoste
modifierDes sentiers qui y ont été aménagés dans ce parc communal.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean Ulrich Guttinguer (1742-1825), homme politique, y est mort.
- Ulric Guttinguer (1787-1866), poète, y a vécu.
- André Durand (1807-1867) peintre, dessinateur, lithographe né et inhumé en cette ville.
- Georges Le Meilleur (1861-1945), peintre et graveur, y est mort.
- famille Umfraville.
Héraldique
modifierLes armes de la commune d'Amfreville-la-Mi-Voie se blasonnent ainsi : Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Amfreville-la-Mi-Voie sur le site de l'Institut géographique national
- Amfreville-la-Mi-Voie sur le site de l'Insee
Notes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Amfreville-la-Mi-Voie et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 28.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 6.
- Christian Guerrin, « Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime », Nouvelle revue d'onomastique Année 2000, p. 312.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Florian Gambin, « Municipales 2020. Hugo Langlois tête de liste de la majorité sortante, à Amfreville, près de Rouen : Luc Von Lennep, maire sortant d'Amfreville-la-Mi-Voie ne se représente pas pour les municipales 2020. C'est son premier adjoint Hugo Langlois qui sera candidat. Présentation », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ) « On va tout de suite éviter les polémiques, je ne suis ni lassé, ni fatigué, ni malade. La passion est toujours là, mais après deux mandats en tant que maire, je pense qu’il est temps de laisser la place », explique d’entrée de jeu Luc Von Lennep ».
- Isabelle Villy, « À Amfreville-la-mi-Voie, Hugo Langlois lassé des « attaques personnelles » : Le second tour des municipales à Amfreville-la-mie-Voie, près de Rouen (Seine-Maritime), opposera deux adjoints sortants : Hugo Langlois et Karima Paris. Explications », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ) « Le second tour des municipales 2020 à Amfreville-la-mi-Voie près de Rouen (Seine-Maritime) verra s’affronter dimanche 28 juin, deux listes, menées par… deux adjoints sortants. La troisième liste conduite par Aurélia Rousseeuw, un temps qualifiée de tendance Gilets Jaunes, ne sera finalement pas présente au second tour… ».
- Isabelle Villy, « Hugo Langlois vainqueur avec 100 voix d’écart à Amfreville-la-mi-Voie, près de Rouen : Cent voix d’écart ! C’est ce qui a séparé Hugo Langlois de Karima Paris, lors de ce second tour des élections municipales à Amfreville-la-mi-Voie près de Rouen (Seine-Maritime) », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ) « Le premier adjoint sortant Hugo Langlois a totalisé 55,84 % des suffrages, face à… une autre adjointe sortante, Karima Paris, qui a recueilli 44,15 % des voix. L’abstention a, là encore, marqué ce second tour des élections municipales et s’élève 57,77 % ».
- « À Amfreville-la-Mivoie, Hugo Langlois a ceint l’écharpe de maire : Sans surprise, le maire sortant Luc Von Lennep a passé le flambeau a son dauphin Hugo Langlois », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amfreville-la-Mi-Voie (76005) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
- Nadine-Josette Chaline, L'église Saint-André, 2010.