Argoules

commune française du département de la Somme

Argoules est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Argoules
Argoules
La mairie
Blason de Argoules
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Claude Patte
2020-2026
Code postal 80120
Code commune 80025
Démographie
Gentilé Argoulois
Population
municipale
326 hab. (2021 en évolution de +0,62 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 36″ nord, 1° 50′ 02″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 77 m
Superficie 9,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Argoules
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Argoules
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Argoules
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Argoules

Depuis , la commune fait partie du Parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Argoules est une commune picarde du Ponthieu qui se situe à la lisière du département du Pas-de-Calais, séparée par l'Authie. Elle est située, à vol d'oiseau, à 14,5 km au sud-est de Montreuil-sur-Mer[1], à 14,8 km au sud-ouest d'Hesdin[2], à 26,2 km au nord d'Abbeville[3], à 59,6 km au nord-ouest d'Amiens[4].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes:

Nature du sol et du sous-sol

modifier

Le sol et le sous-sol de la commune sont de formation secondaire et tertiaire (Crétacé). On rencontre dans la vallée des couches d'alluvions sans doute déposées par la mer. Ces couches sont découpées par des filons de tourbe. Le plateau crayeux est recouvert d'une légère couche d'argile elle-même recouverte de terre végétale[5].

Relief, paysage, végétation

modifier

Le relief de la commune est formé par la vallée de l'Authie qui limite la commune au nord et d'un plateau limité à l'ouest par la Manche, au sud par la vallée de la Maye et au nord par celle de l'Authie. Le paysage est partagé entre plaine cultivée et massifs boisés, étangs et rivière[5].

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Authie, l'Argoules[6], le Petit Préaux[7] et divers autres petits cours d'eau[Carte 1].

L'Authie, d'une longueur de 108 km, prend sa source dans la commune de Coigneux et se jette dans la Manche, son embouchure formant une vaste baie, comprise entre Fort-Mahon-Plage et Berck, typique des estuaires picards[8].

Les étangs ont été créés par l'homme grâce à l'extraction de la tourbe. Des nappes phréatiques sont présentes sous le plateau et donnent naissance à des sources profondes dans la vallée. Des canaux de dessèchement ont été creusés pour évacuer le surplus d'eau[5].

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Authie ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Authie. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Canche Et Authie[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 891 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 26 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15]. La commune a un habitat groupé en trois ensembles principaux : le village d'Argoules et les hameaux de Valloires et de Petit-Chemin auxquels il convient de rajouter l'écart de la Capelette et des fermes ou maisons isolées.

L'économie de la commune repose sur l'agriculture (polyculture céréalière et plantes fourragères) et sur l'élevage bovin principalement.

Le tourisme est devenu une activité importante grâce à la présence de l'abbaye et aux jardins paysagers qui la jouxtent. La proximité du littoral de la Manche renforce l'attractivité de ce paysage bucolique.

Les activités d'aides sanitaires et sociales sont présentes dans la commune depuis 1922 à l'abbaye de Valloires.

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Argoules est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,3 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), zones humides intérieures (7,8 %), forêts (7,1 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (0,1 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

modifier

La localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[21].

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ad ullia[22], Ad Boulles en 360, Arguvium, Argubium en 797, Arghoves, Argoves.

Le préfixe Ar signifierait « lieu, terrain » et go ou gou « contrée délimitée par ses propres bornes »[5].

Argoule en picard.

Histoire

modifier

La seigneurie d'Argoules appartenait aux XIIe et XIIIe siècles à la famille d'Argoules, elle passa le siècle suivant à la famille de Cambron, au XVe à la famille Blondel puis au siècle suivant à la famille Bensserade à laquelle on attribue la construction du château.

Le village eut à souffrir de la guerre de Trente Ans qui au XVIIe siècle opposa la France au Saint-Empire romain germanique et à l'Espagne et qui ruina l'abbaye de Valloires.

En 1776, Ambroise-Léopold Jourdain de l'Eloge, aristocrate et spéculateur, racheta la seigneurie d'Argoules. En 1791, il racheta l'abbaye de Valloires vendue comme bien national.

En 1871, après l'armistice, la commune dut subir quelque temps l'occupation prussienne. Plusieurs jeunes gens de la commune furent blessés dans le combat de 1870-1871[5].

En 1922, le préventorium de l'abbaye de Valloires ouvre ses portes grâce à l'action de mademoiselle Papillon.

Politique et administration

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 René Jouy    
mars 2008 En cours
(au 10 juillet 2020)
M. Claude Patte   Vice-président de la CC Ponthieu-Marquenterre (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[23],[24]

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 326 habitants[Note 1], en évolution de +0,62 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 1800 avec 860 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
812860660847843849841794773
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
779754745695706647655665649
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
620542524406571676756758736
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
460446560451363335335335326
2017 2021 - - - - - - -
326326-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 46,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 194 hommes pour 131 femmes, soit un taux de 59,69 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,51 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,0 
5,6 
75-89 ans
12,8 
12,8 
60-74 ans
18,8 
11,8 
45-59 ans
20,4 
13,4 
30-44 ans
13,0 
10,9 
15-29 ans
9,1 
45,6 
0-14 ans
22,9 
Pyramide des âges du département de la Somme en 2021 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
6,7 
75-89 ans
9,4 
17,2 
60-74 ans
18,1 
19,8 
45-59 ans
19,1 
18,2 
30-44 ans
17,5 
19,4 
15-29 ans
18 
18,2 
0-14 ans
16,2 

Enseignement

modifier

La scolarité primaire est gérée par la communauté de communes.

Économie

modifier

Ce tableau (en référence) regroupe les chiffres clés de l'économie communale[31].

Culture locale et patrimoine

modifier

Monuments

modifier
  • Abbaye de Valloires : l'abbaye cistercienne de Valloires (fondée au XIIe siècle, reconstruite au XVIIIe siècle).[1]
  • Jardins de Valloires, créés en 1987 par Gilles Clément.
  • Le vieux moulin, sur l'Authie
  • Chapelle funéraire Jourdain de l'Étoille-Godard d'Argoules, près de l'église et du château.
L'église.
  • Église Saint-Germain : église Saint-Germain des XVe et XVIe siècles avec charpente apparente et vitraux des XVe et XVIe siècles (classés Monuments historiques).
  • Chapelle Notre-Dame-du-Bon-secours : chapelle octogonale édifiée, au centre du village, en 1836, par la communauté des basiliens installée à l'abbaye de Valloires.
  • Le château : le château d'Argoules est édifié en brique et pierre avec un corps de logis flanqué de quatre tourelles d'angle octogonales. Daté du XVIe siècle, il est restauré au XIXe siècle dans le style néo-gothique. Une aile en prolongement a été édifiée en pierre calcaire au cours du XVIIIe siècle. Logo monument historique Inscrit MH (2009).
Le gros tilleul
  • Vieux tilleul : un tilleul remarquable, pour certains un arbre de Sully, est planté sur la place de l'église ; il a plus de quatre mètres de circonférence et, peut-être plus de 400 ans. Pour d'autres , c'est un arbre planté à la Révolution, un arbre de la Liberté, de 1792 ou 1793. Il n'aurait alors qu'un peu plus de 220 ans environ. Il est classé monument naturel depuis le [32].
    Dans la nuit du 15 au , un orage en brise une part importante ; sa survie est compromise. Une protection est mise en place et le géant renait peu à peu[33].

Il est également désigné arbre remarquable depuis par l'association nationale ARBRES (Arbres remarquables, bilan, recherche, études et sauvegarde).

En 2018, il mesure plus de treize mètres de haut et accuse 5,20 m de circonférence.

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Thérèse Papillon est née le à Saint-Germain-en-Laye et décédée à l'abbaye de Valloires le . Infirmière de formation, elle s'engage dans le service de santé des armées pendant la Grande Guerre. Après l'Armistice, elle installe à l'abbaye de Valloires un établissement pour enfants. Pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1940, elle vient en aide, avec le personnel du préventorium, aux réfugiés. Pendant l'Occupation, elle cache des enfants juifs dans son établissement jusqu'à la Libération et s'engage dans la Résistance. En 1962, après quarante ans à la tête du préventorium, elle en abandonne la direction et fonde en 1964 un foyer d'accueil qu'elle dirige jusque 1972.

Héraldique

modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi : Palé d'or et de gueules de huit pièces[Note 2].

Pour approfondir

modifier

Bibliographie

modifier
  • Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, René Boyenval, René Debrie, René Vaillant, 232 pages, Éditions ÉKLITRA, Amiens, 1972.
  • Les Jardins de Valloires, De la plante à la planète, 167 pages, Éditions Gaud, Paris, 2006.

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. La commune d'Argoules ne porte, ni n'a porté, ces armes, qui ne sont pas davantage celles d'une famille suzeraine du lieu. Cordialement JD
  1. « Réseau hydrographique d'Argoules » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « Orthodromie entre Argoules et Montreuil-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le )
  2. « Orthodromie entre Argoules et Hesdin », sur fr.distance.to (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Argoules et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Argoules et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
  5. a b c d et e Monsieur Deparis, Notice géographique et historique sur la commune d'Argoules, 189?, Archives départementales de la Somme.
  6. Sandre, « l'Argoules »
  7. Sandre, « le Petit Préaux »
  8. Sandre, « l'Authie »
  9. « SAGE Authie », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Argoules et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « Trans80, Abbeville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur trans80.hautsdefrance.fr.
  22. Sur les tables de Peutinger
  23. Johann Rauch, « Argoules : Claude Patte sera candidat à sa succession aux prochaines municipales : Claude Patte, maire d'Argoules, sera candidat pour un 3e mandat lors des prochaines élections les 15 et 22 mars 2020… », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Patte, maire d'Argoules depuis 2008 succédant alors à René Jouy ».
  24. Johann Rauch, « Ponthieu-Marquenterre : Qui à la tête de l'intercommunalité… : Focus sur la nouvelle gouvernance de l'intercommunalité Ponthieu-Marquenterre… », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Patte, maire d'Argoules depuis 2008 et réélu en mars dernier, prendra en charge la création du bassin de nage dans le chantier du complexe aquatique Aquaclub ».
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Argoules (80025) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
  31. « Statistiques et Études FR », sur insee.fr (consulté le ).
  32. « Le gros tilleul sur la liste des sites et des monuments classés »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Légifrance (consulté le ).
  33. Claude Cailly, Courrier picard, édition Picardie maritime, « Argoules Le gros tilleul titré arbre remarquable », , p. 17.