Armoiries du Tchad
| Armoiries du Tchad | |
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| Détails | |
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| Adoption | 1970 |
| Timbre | Un Soleil naissant de quatorze rayons de gueules. |
| Écu | Fascé ondé vivré d'or et d'azur de huit pièces. |
| Tenants | Une chèvre d'or la tête de face à dextre et un lion d'or lampassé de gueules à senestre. Les deux animaux portent un chevron pal de gueules sur l'épaule. |
| Devise | Unité - Travail - Progrès en lettres capitales de sable sur un listel d'or doublé de gueules. Chaque mot est écrit entre deux chevrons pals de gueules. |
| Ordres | La croix de l'ordre national du Tchad est suspendue à un lambrequin sur lequel repose la pointe de l'écu. |
| Usage | Présidence de la République Gouvernement |
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Les armoiries de la république du Tchad sont adoptées en 1970. Elles reprennent les trois couleurs du drapeau du Tchad (bleu, or et rouge).
Description des armoiries modifier
Au centre du blason, figure un écu ornementé de lignes ondulées bleues et jaune[1]. L'écu est accompagné d'un Soleil levant rouge au-dessus. Les lignes ondulées bleues sur l'écu représentent le lac Tchad[2], et le Soleil levant, un nouveau commencement.
L'écu est soutenu par un lion et une chèvre (ou un addax[3]) dorés : à gauche, la chèvre symbolise la partie nord du pays, montagneuse ; à droite, le lion représente le sud[3].
Sous l'écu, la médaille de l'ordre national du Tchad surmonte la devise nationale, « Unité - Travail - Progrès »[2].
Utilisation modifier
Les armoiries du Tchad figurent sur la plupart des documents à caractère officiel produits par la présidence de la République et les services gouvernementaux tchadiens, notamment les décrets. Elles sont également présentes sur la couverture des passeports tchadiens.
Notes et références modifier
- « Armoiries du Tchad », sur tourisme-en-afrique.net (consulté le )
- « Symboles nationaux du Tchad », sur diakadi.com (consulté le )
- « Les armoiries du Tchad », sur aujourdhui.com, (consulté le )
Voir aussi modifier
Bibliographie modifier
- Jean-Christophe Blanchard, « Drapeaux et armoiries des pays issus de la décolonisation de l'Afrique équatoriale française et de l'Afrique occidentale française. Un marqueur d'indépendance ? », HAL-UL (CRULH), (lire en ligne, consulté le ).
