Arrancy-sur-Crusnes
Arrancy-sur-Crusnes (appelée Arrancy-sur-Crusne jusqu'en [1]), est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Arrancy-sur-Crusnes | |
Mairie. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Verdun |
Intercommunalité | Communauté de communes de Damvillers Spincourt |
Maire Mandat |
Massimo Trinoli 2020-2026 |
Code postal | 55230 |
Code commune | 55013 |
Démographie | |
Population municipale |
464 hab. (2021 ) |
Densité | 23 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 24′ 51″ nord, 5° 39′ 33″ est |
Altitude | Min. 216 m Max. 309 m |
Superficie | 20,16 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Longwy (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bouligny |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Géographie
modifierSituation
modifierArrancy est un village bâti en amphithéâtre sur une colline surplombant le ruisseau des Eurantes, affluent de la Crusnes.
Son territoire de 2 075 ha, est situé à l'extrême nord-est du département de la Meuse à la limite de la Meurthe-et-Moselle. Il est parcouru par deux voies SNCF (Calais-Bâle et Longuyon-Nancy), par la RN 18 et la CD 66, par un gazoduc, par une liaison souterraine des lignes téléphoniques internationales et par une ligne EDF de 400 kV.
Écarts et lieux-dits
modifierTrois écarts dépendent de la commune : Lopigneux, Les Eurantes, La Ferme Saint-Martin[2],[3].
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Crusnes, le ruisseau des Eurantes et le ruisseau de la Belle Fontaine[4],[Carte 1].
La Crusnes, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Errouville et se jette dans la Chiers à Longuyon, après avoir traversé douze communes[5].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[6].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 899 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Arrancy-sur-Crusnes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Longwy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), prairies (19,7 %), forêts (16,3 %), zones urbanisées (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous la forme latine Aranceium en l'an 1046, 1049, 1127 ; les formes Arrecein en 1231 ; Arrancey en 1249.
La commune d'Arrancy-sur-Crusne change officiellement de nom pour devenir Arrancy-sur-Crusnes après délibération du conseil municipal du et par décret du [1].
La Crusnes est le nom de la rivière qui prend sa source sur le territoire de la commune.
Histoire
modifierLes origines du village sont assez obscures car nous n'avons pas de certitudes de dates et de conditions de la création d'Arrancy. Selon Jeantin, Arrancy et les Eurantes formaient « aux temps anciens » (sans précision) un seul domaine de sept fermes. Faut-il entendre par là une vaste « villa » mérovingienne puis carolingienne ? Harbulot (dans la Meuse d'autrefois), suggère en regard des lumières de la toponymie, une origine gallo-romaine ; l'actuel toponyme ayant été composé (comme nous l'avons mentionné plus haut) d'un nom de propriétaire suivi de la désinence « -acum » qui s'est transformé en -ey au fil des temps, puis en -y. Faute de certitude, il apparaît qu'Arrancy a été créé vers 560 en même temps que Remenoncourt, tandis que les Eurantes sont données en 596, par le duc Eleutère et sa fille Waldrade première, abbesse de Saint-Pierre-aux-Nonains de Metz.
Le village remonte à une haute antiquité, comme la plupart des localités lorraines, de nombreux vestiges antiques en sont le témoignage. On dit qu'Aigulphe, évêque de Metz (578-598), procura par la faveur de Thibert, roi d'Austrasie, la terre d'Arrancy (Aranceim) à l'abbaye de Saint-Pierre de Metz. Le chapitre de la cathédrale de Verdun possédait à Arrancy des biens mentionnés dans la bulle de Léon IX en 1049. Après avoir fait partie du comté de Bar, Arrancy fut compris dans les Terres Communes, appartenant par indivis aux comtes de Bar et de Luxembourg. Entre 1193 et 1212, il obtint une charte d'affranchissement d'Ermesinde, comtesse de Luxembourg et de Thiébaut Ier de Bar, comte de Stenay et de Briey son mari.
Le village demeura en possession des deux maisons jusqu'en 1601, époque où une convention entre le duc Charles III de Lorraine et l'infante Isabelle, régente des Pays-Bas, l'assigna définitivement à la Lorraine.
Il était rattaché au diocèse de Trèves (archidiaconé et doyenné de Longuyon).
La ferme nommée Fontaine-Saint-Martin, était une cense placée sous la suzeraineté commune des ducs de Bar et de ceux de Luxembourg de 1270 à 1603.
Politique et administration
modifierÉquipements et services publics
modifier→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Eau et déchets
modifierEspaces publics
modifierEnseignement
modifierPostes et télécommunications
modifierSanté
modifierJustice, sécurité, secours et défense
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2021, la commune comptait 464 habitants[Note 4], en évolution de −5,88 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifier→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Revenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierEntreprises et commerces
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierÉdifices religieux
modifier- L'Église Saint-Maurice d'Arrancy-sur-Crusnes Inscrite MH (1994)[25] remonte au XIe siècle d'après l'abbé Joffin ; fort curieuse, sa nef est du début du XIIIe siècle et deux bas côtés du XVe. Elle possède deux chapelles du XVIe siècle. Celle de Saint-Jean, ultérieurement consacrée à Notre-Dame-de-la-Salette est du XIe siècle. Elle a conservé un retable aux douze apôtres du XVe siècle. L'actuelle église a été érigée en 1448 et le chœur a été rebâti en 1712 par l'abbesse de Saint-Pierre-aux-Nonains et le clocher en 1767. Faisant face au portail Sud se remarque, à gauche, sur un support de pierre, une cloche (voir photo) qui porte une longue inscription dont une seule partie est visible, on y lit... " François POUPART, maître PIERRE IHS de la forge de LOPIGNEUX." Au-dessus de cette cloche et légèrement à gauche figure une inscription en caractères gothiques. Beaucoup plus à gauche toujours face au portail Sud, se lit l'inscription suivante : RÉÉDIFIE PAR LA GOAUTE D'ARRANCY EN L'AN 1771, REQUIESCANT IN PACE AMEN.
- Chapelle Notre-Dame de Lourdes. l'abbé Chevin a fait construire cette chapelle en 1910 à la sortie du village
- Chapelle Saint-Clément. Elle était située à quelques mètres du bas du jardin du presbytère et fut détruite en 1810.
- Chapelle dite de Lorette. Elle se trouvait au sud-est du village et "François Lorette curé d'Ugny - François Lorette curé de Han".
- Chapelle de Lopigneux. En 1706, le vicaire général du diocèse de Trèves auquel appartenait Arrancy, autorise l'érection à Lopigneux, d'une petite chapelle ou pourra être célébrée la messe pour la nécessité des ouvriers occupés aux travaux de la forge". Elle était fort petite et mesurait 7,50 m sur 5,35 m, au-dessus de la porte d'entrée se trouvait une inscription : « Cette chapelle a été érigée en l'honneur de Notre-Dame et restauré par Messieurs Poupart et
P. Maucler, maîtres et propriétaires des Forges de Lopigneux en 1751. Achetée en 1735 ». - Les croix. Les 23 et , la bataille d'Arrancy fait plus de 700 tués, tant soldats français qu'allemands. Deux sites symbolisent les combats acharnés :
- La croix de Fer : où le commandant Sabatier du 132e R.I. et trente de ses hommes sont tombés au champ d'honneur ;
- La croix Pacot : le lieutenant-colonel Castelnau et le colonel Richard du 46e R.I. encerclés par les troupes allemandes venant du village et des hameaux des Eurantes tombèrent avec tous leurs hommes (voir référence[3]).
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Église Saint-Maurice.
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Église, la cloche.
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L'église, l'inscription de réédification.
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une croix de chemin.
Édifices civils
modifier- Le cimetière militaire.
- Le monument aux morts, situé dans l'enceinte du cimetière militaire, érigé en 1921 perpétue le souvenir de tous les enfants du village tombés au champ d'honneur. Stèle réalisée par le sculpteur Fivet, surmontée d'un poilu en bronze, elle abrite un caveau où reposent plusieurs combattants de différents conflits (Première et Seconde Guerres mondiales). Ce monument a été victime du terrible orage de 1990.
- Le Château d'Arrancy-sur-Crusnes Inscrit MH (1982)[26]. Selon Joffin l'ancien château se trouvait dans l'enceinte de l'église. Le château actuel a été édifié sur l'emplacement de l'ancien château des prévôts détruit en 1756. Le corps de bâtiment central très sobre de ligne est flanqué de chaque côté d'une tour carrée. La toiture est en ardoise. Une encoche pratiquée à l'angle extérieur de la tour droite est décorée d'une pierre sculptée aux traits du général Charles Chonet de Bollemont (ou Bolmont). À l'intérieur une taque de cheminée porte la date 1685. Des pierres de différents aspects utilisées dans les murs laissent à penser que des restaurations ont été effectuées à différentes époques.
- Il exista dans le village, rue Mutel, un autre château avec cour fermée et grand parc, construit en 1641 par l'archevêque de Trêves pour y loger son intendant. Dans un pavillon se trouve une petite chapelle ogivale. Ce château qui a longtemps appartenu à une vieille famille d'Arrancy, les Launois, grands-parents d'Henri Poincaré est avant 1914 la propriété de M. Reny-Dorion.
- La fontaine dite au Raménil érigée au XIXe siècle, qui capte la source du château, a servi principalement d'abreuvoir au bétail et de lavoir public. En 1985, une équipe de scouts de France plante un peuplier, témoin de la rénovation effectuée par leurs soins.
- La fontaine située rue du Milieu, de style XIXe, est constituée de deux bacs à lavoirs intérieurs à l'origine, et d'un bac circulaire extérieur permettant d'abreuver principalement les chevaux. La restauration effectuée en 1989 permet de raviver la mémoire de l'eau du village.
- Les forges de Lopigneux, fondé par Jean Chonet, né en 1645, arrière-grand-père du général Charles Chonet de Bollemont, capitaine d'industries, il s'intéresse de bonne heure à la métallurgie. En 1705, il obtient du duc de Lorraine, l'autorisation de construire une forge sur la Crusnes, à Lopigneux, près d'Arrancy. En 1716, Jean Chonet, obtient de l'abbaye de Châtillon, l'ascensement du moulin de Vaux qui était alors pratiquement ruiné et qu'il transforme en platinerie. Jean Chonet meurt en 1728. Quinze ans après leur arrivée, les nouveaux propriétaires, Pierre Mauclerc et François Poupart ont transformé les lieux : le haut fourneau, l'affinerie, la chaufferie, la renardière et la platinerie tournent à plein régime. En 1751, Mauclerc et Poupart font construire une maison de maître, et font restaurer la petite chapelle que l'on pouvait encore admirer, il y a quelques années, au bord de la Crusnes et qui, aujourd'hui, est complètement délabrée. Pendant la période où Mauclerc et Poupart (puis leurs héritiers) s'occupèrent de la forge (1735 - 1764), Lopigneux produisit des taques clairement identifiées. Les taques sont généralement datées et portent la mention du nom de la forge. La forge de Lopineux, en 1783, est rattachée aux « Forges, Fonderies et Platineries de Longuyon-Lopigneux et Vézin ».
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Le cimetière militaire
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Le monument aux morts
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Le château.
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Lavoir et fontaine rue du Milieu.
Personnalités liées à la commune
modifierLe mathématicien Henri Poincaré, dont la mère était une Launois venait passer ses vacances au château de la rue Mutel.
Décoration française
modifierHéraldique
modifierBlasonnement :
D'azur semé de croix recroisetées au pied fiché d'or, à deux bars adossés du même, à la rivière ondée d'argent issant de la pointe.
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Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Arrancy hier Arrancy aujourd'hui sur une initiative des activités culturelles d'Arrancy-Loisir est disponible en mairie d’Arrancy.
Articles connexes
modifier- Liste des communes de la Meuse
- Liste des monuments historiques de la Meuse
- Liste des nécropoles militaires en Lorraine
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Arrancy-sur-Crusne sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique d'Arrancy-sur-Crusne » sur Géoportail (consulté le 8 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
Références
modifier- Décret no 2021-1921 du 30 décembre 2021 portant changement du nom de communes
- Arrancy hier Arrancy aujourd'hui, activités culturelles d' Arrancy-Loisir
- arrancy sur crusne.com
- « Fiche communale d'Arrancy-sur-Crusne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Crusnes »
- « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arrancy-sur-Crusnes et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Longwy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise Saint-Maurice », notice no PA00132646, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château d'Arrancy-sur-Crusnes », notice no PA00106458, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.