Auchonvillers

commune française du département de la Somme

Auchonvillers [oʃɔ̃vile] est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Auchonvillers
Auchonvillers
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Cyril Carnel
2020-2026
Code postal 80560
Code commune 80038
Démographie
Gentilé Auchonvillois
Population
municipale
130 hab. (2021 en évolution de −5,8 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 04′ 53″ nord, 2° 37′ 51″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 157 m
Superficie 5,72 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Auchonvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Auchonvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Auchonvillers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Auchonvillers
Liens
Site web https://auchonvillers.fr

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Auchonvillers est située au nord du département de la Somme à une douzaine de kilomètres d'Albert, à la limite des départements de la Somme et du Pas-de-Calais.

Nature du sol et du sous-sol

modifier

Le sol de la commune est généralement argilo-siliceux, une faible étendue de calcaire domine vers le nord[1].

Relief, paysage, végétation

modifier

Le territoire de la commune fait partie de l'Amiénois. Il est donc plutôt plat avec quelques ondulations[2]. L'altitude maximale de la commune est de 157 mètres.

Hydrographie

modifier

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Auchonvillers[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 824 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Auchonvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), prairies (0,1 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat

modifier
Entrée de la commune.

La commune se compose d'une seule agglomération, le village d'Auchonvillers, détruit pendant la Première Guerre mondiale, il a été reconstruit durant l'entre-deux-guerres.

Voies de communication

modifier

Le village d'Auchonvillers se situe au carrefour des routes 73 et D 163.

Toponymie

modifier

On trouve plusieurs formes pour désigner Auchonvillers dans les textes anciens : Auconviller (1186)[14], Auconviler en 1211[15], Authonvillers[16], Ochonviller (XIIIe siècle), Auchonviler en 1301[15], Osonvillers puis Ochonvillers sont mentionnés[2], Aussonvillers en 1369[17] avant que le village ne trouve son appellation définitive.

Auchonvillers est un toponyme gallo-romain dérivant de -villa désignant un domaine rural et d'un anthroponyme, peut-être germanique avec un Alacho(n)[15].

Chonvillé en picard.

Histoire

modifier

On ne trouve pas trace de châtelain portant le nom d'Auchonvillers. La seigneurie d'Auchonvillers était mouvante du château d'Aveluy[16].

Selon le père Daire, un écolâtre du chapitre cathédral d'Amiens, Gérard de Noyelle, acheta, en 1281, les dîmes de la paroisse d'Auchonvillers à un clerc du nom d'Ingelran avec l'agrément de Gui de Châtillon, comte de Saint-Pol et seigneur d'Encre (Albert)[16].

En 1572, la seigneurie appartenait au marquis de Plotho, Benjamin de Belloy de Valicourt, ancien colonel d'artillerie. La deuxième seigneurie a relevé du comte d'Hésecques[2].

Le lieu-dit, la Bataille[18], sur le territoire communal laisse à penser que se déroula à cet endroit un combat entre Français et Impériaux. Le fort de la Tour du Pré[19] qui existait autrefois semble accréditer cette hypothèse[16].

Le village d'Auchonvillers a été totalement détruit au cours de la Grande Guerre.

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs et électoraux

modifier
Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Albert[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Albert

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

Intercommunalité

modifier

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 sous le nom de Communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Avant 1844[16]   M. Lemaire    
Les données manquantes sont à compléter.
1975 1989 Jacques Caudron[21]    
1989[22] 2014[23] Guy Réveillon    
2014[24] mai 2020[25] Marie-Anne Réveillon    
mai 2020[26] En cours
(au 14 janvier 2021[21])
Cyril Carnel    

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 130 habitants[Note 3], en évolution de −5,8 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
392433418442428476433474466
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
448420405402371371354346289
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
26726224599148168153150161
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
152157152128112147132129143
2021 - - - - - - - -
130--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

modifier

Un syndicat scolaire (Sivu) liant la commune à celles d'Englebelmer, Courcelles-au-Bois, Colincamps, Bertrancourt et Mailly-Maillet[30] gère le fonctionnement, l'aménagement, l'entretien des équipements et les activités péri-scolaires.

Économie

modifier

Activités économiques et de services

modifier

L'activité dominante de la commune est l'agriculture.

Culture locale et patrimoine

modifier

La cérémonie des Jarretières

modifier

Le deuxième jour de la fête du village, la cérémonie des Jarretières, obéissait à un rituel convenu et prélude au bal du soir.

« Tout à coup le violon de la veille se fait entendre. C'est la cérémonie des Jarretières qui commence. Les jeunes gens du village accompagnent le vieux ménétrier et chantent au refrain. L'un d'entre eux, affublé d'une redingote démodée qui lui descend aux talons, et coiffé d'un ancien chapeau haut de forme des plus burlesques, porte une perche ornée d'un cerceau à l'un des bouts ; les autres suivent ; et toute cette bande joyeuse tombe comme une avalanche dans chaque maison qui possède une jeune fille en âge de danger ; pas une n'est oubliée ; et c'est alors un mélange de bruyants éclats de rire qui se prolongent comme un écho, et de petits cris d'étonnement ou d'effroi. La jeune fille, surprise dans son négligé du matin, a l'air embarrassée devant tous ces garçons ; elle sent qu'une vive rougeur colore ses joues pâlies par la fatigue du dimanche ; elle se retourne vivement pour cacher son trouble, et fait semblant de ne pas trouver dans l'armoire la jarretière qu'elle y a pourtant toute préparée d'avance. Les parents rient de l'embarras de leur enfant qui apporte enfin le fameux ruban, et timidement le donne au porte-jarretières. Pendant que ce dernier le suspend au cerceau, un autre jeune homme offre à l'ingénue sa rude main de paysan, et sans façon, la prenant par la taille, danse avec elle quelques pas de polka. Puis toute la troupe s'échappe, et toujours précédée du violoneux qui recommence son éternel del tarte à pimmes, elle va dans une autre maison trouver une autre jeune fille qui ornera le cerceau d'une nouvelle jarretière. Quand toutes les rues ont été suivies, et que chaque danseuse a livré son ruban, le cortège reprend la route du bal et y rentre. Les jeunes filles arrivent bientôt après ; les couples se forment au fur et à mesure, et quelques quadrilles précèdent la vente des Jarretières. Plusieurs jeunes gens sont préposés à cette vente. L'un figure le notaire. Près de lui, et juché sur une table boiteuse, le crieur. Enfin un troisième remplit de son mieux les fonctions de garde-champêtre, et répète, en voix de basse, la mise à prix du crieur. Après maintes simagrées de ce burlesque trio, chacune des jarretières est adjugée à sa propriétaire, comme il est convenu d'avance ; et c'est à chaque vente une explosion de réflexions et de bons mots qui, certes, ne sont pas toujours bien spirituels, mais qui excitent le vrai rire et cette franche gaieté, débarrassée de toute étiquette. Quand la dernière jarretière est vendue, l'orchestre soulève toute la jeunesse dans un galop frénétique, puis danseurs et danseuses vont au cabaret dépenser en sirops et en chopes de bière le produit de la vente, et avant de se quitter, tous ces Roméos picards donnent à leurs Juliettes rendez-vous pour le bal du soir »[31].

Lieux et monuments

modifier
Cimetière militaire n°2 (1916-1918).
Le monument aux morts.
    • Cimetière militaire français :
      • Nécropole nationale d'Auchonvillers.
  • Monument aux morts

Personnalités liées à la commune

modifier

Pour approfondir

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Auchonvillers » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. Notice géographique et historique rédigée par Mademoiselle Tabart, institutrice, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  2. a b et c Notice géographique et historique rédigée par Mademoiselle Tabart, institutrice, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Auchonvillers et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Dans une série de titres de propriété de l'évêché d'Amiens.
  15. a b et c Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 977 - (ISBN 2600001336).
  16. a b c d et e Abbé Decagny, ouvrage cité en bibliographie.
  17. Dans "une montre d'armes" (revue qu'on fait des troupes pour voir si elles sont complètes et pour en régler la marche et le payement) devant Gilles de Beauvais.
  18. Herbet, « Plan du cadastre napoléonien - Auchonvillers : Marette (La), Section B , Archives de la Somme », sur archives.somme.fr, .
  19. Herbet, « Plan du cadastre napoléonien - Beaucourt-sur-l'Ancre (Beaucout) : Chef-lieu (Le), Section B, Archives de la Somme », sur archives.somme.fr, .
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. a et b Emmanuelle Bobineau, « Jacques Caudron, ancien maire d'Auchonvillers, n'est plus : L'ancien maire de la commune est décédé mardi 12 janvier à l'âge de 90 an », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal de 1953 à 1971, puis adjoint de 1971 à 1975 et maire de 1975 à 1989, Jacques Caudron est décédé mardi 12 janvier à l'âge de 90 ans ».
  22. « Avis de décès », Courrier picard,‎ 227 décembre 2019, p. 20.
  23. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  25. « Quand sera élu le nouveau maire d'Auchonvillers ? », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « la liste de Cyril Carnel, qui succèdera à Marie-Anne Réveillon, maire sortante qui ne se représentait pas, a été élue du premier coup ».
  26. « Cyril Carnel est le nouveau maire d'Auchonvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cyril Carnel, 47 ans, succède à Marie Anne Réveillon, maire sortante qui ne se représentait pas ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Le SIVu sur Banatic, la base nationale sur l'intercommunalité ».
  31. Emile Blémont & Henry Carnoy, « La Tradition : revue générale des contes, légendes, chants, usages, traditions et arts populaires », sur gallica.bnf.fr, , p. 243, 244.
  32. clochers.org, « Église Saint-Vincent » (consulté le ).