Auffargis

commune française du département des Yvelines

Auffargis
Auffargis
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CA Rambouillet Territoires
Maire
Mandat
Daniel Bonte
2020-2026
Code postal 78610
Code commune 78030
Démographie
Gentilé Fargussiens
Population
municipale
1 974 hab. (2021 en diminution de 1,15 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 03″ nord, 1° 53′ 17″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 177 m
Superficie 17,14 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rambouillet
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
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Auffargis
Liens
Site web http://www.mairie-auffargis.com/

Auffargis ([ofaʁʒis] Écouter) est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Géographie modifier

Position d'Auffargis dans les Yvelines.

Situation modifier

La commune d'Auffargis se trouve dans le centre-sud des Yvelines, en bordure nord-est de la forêt de Rambouillet, à onze kilomètres de Rambouillet et à 27 kilomètres au sud-ouest de Versailles. Elle fait partie du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.


Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Les Essarts-le-Roi au nord et nord-est, Senlisse à l'est sur environ 300 m, Cernay-la-Ville au sud-est, La Celle-les-Bordes au sud-sud-est, Vieille-Église-en-Yvelines au sud-ouest et Le Perray-en-Yvelines au sud-ouest.

Hydrographie modifier

L'hydrographie est marquée par le ru des Vaux-de-Cernay. Ce ruisseau, qui s'écoule d'ouest en est sur une dizaine de kilomètres, reçoit les émissaires des étangs de Hollande et de l'étang du Perray, puis se jette dans l'Yvette à Dampierre-en-Yvelines.

Le plateau dans le sud de la commune est parcouru par des « rigoles » creusées au XVIIe siècle qui assurent le drainage des terres agricoles et participaient autrefois à l'alimentation en eau du parc de Versailles.

Transports et voies de communications modifier

Réseau routier modifier

La desserte de la commune est assurée principalement par la route départementale no 24, orientée est-ouest, qui emprunte la vallée des Vaux-de-Cernay et traverse le village, le reliant à Cernay-la Ville vers l'est et à la RD 910 vers l'ouest. Cette dernière, qui est un tronçon déclassé de la RN 10, longe la limite ouest de la commune et donne accès à la RN 10 à proximité.

La route départementale no 61, sensiblement parallèle à la RD 24, traverse le sud de la commune et dessert le bourg de Saint-Benoît.

Desserte ferroviaire modifier

La station ferroviaire la plus proche est la gare du Perray, située à trois kilomètres environ à l'ouest du village et desservie par des trains de la ligne N du Transilien (branche Paris - Rambouillet).

Bus modifier

La commune est desservie par les lignes 08, 12, 36-15, 39, 39.003, 39.203, 39.303 et 39.36 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Un sentier de grande randonnée, le GR 1 (tour de l'Île-de-France) traverse la commune en suivant le cours du ru des Vaux-de-Cernay. La commune dispose aussi de chemins de randonnée dédiés à l’équitation.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Auffargis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols simplifiée modifier

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 89,17 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 4,19 % d'espaces ouverts artificialisés et 6,64 % d'espaces construits artificialisés[12].

L'espace rural comprend environ 60 % de bois, quelques étangs, et pour le reste est consacré à l'agriculture et à l'élevage.

L'espace construit occupe 5 % du territoire. L'habitat, composé exclusivement d'habitations individuelles, se répartit entre le village situé dans le nord-ouest de la commune, qui s'est relativement accru par la création de plusieurs lotissements autour du noyau ancien, quelques maisons dispersées à la limite ouest près du Perray-en-Yvelines, et le bourg de Saint-Benoît, situé dans le sud-est de la commune, à environ quatre kilomètres du centre du village. Plusieurs fermes sont dispersées surtout dans la partie sud de la commune.

Les zones d'activités occupent alors 7 % du territoire, soit dix hectares, sous forme de parcelles dispersées.

Occupation des sols détaillée modifier

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 7,0 % 122
Terres arables hors périmètres d'irrigation 27,3 % 474
Vergers et petits fruits 1,0 % 18
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 5,5 % 96
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 5,0 % 86
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,4 % 24
Forêts de feuillus 49,2 % 852
Forêts de conifères 3,6 % 62
Source : Corine Land Cover[13]

Lieux-dits et hameaux modifier

La commune comprend le bourg de Saint-Benoît.

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes in Ulfrasiagas en 768[14], Offergiz au XIIIe siècle[15], Offergis en 1124[14], Oferges en 1197[16], Ulfarciagae en 1268[15], Aufergiae en 1268[17], Aufargis[15], Le Fargis[15], Auffergis en 1382[15] et enfin Auffargis en 1793[18].

Albert Dauzat et Charles Rostaing qui ne rapportent que la forme ancienne Aufergiae de 1268, ont vu dans ce toponyme le nom d'homme germanique Audfrid, suivi du suffixe -iacum de propriété[19]. Ernest Nègre qui cite la forme guère plus ancienne Offerges de 1197 leur emboite le pas avec un nom de personne germanique peu différent Auffredus, qu'il latinise en -us, non sans y mettre quelque réserve. Il reprend l'idée du suffixe -iacum, mais pour expliquer la terminaison anormale -is, alors qu'on attendrait -y, il propose une attraction des autres noms de lieux terminés par -is[20].

Or, si les formes les plus anciennes s'avèrent correctes, elles s'opposent à cette interprétation. En effet il s'agit plutôt du nom d'homme germanique Ulfrid (autrement Ulfredus), suivi du suffixe -iacas, féminin pluriel du suffixe -iacum et employé postérieurement à celui-ci. Il est généralement combiné à un nom de personne germanique, ce qui se vérifie ici. Le suffixe iacas a généralement abouti à la terminaison -ies (particulièrement répandue dans le nord et la Belgique)[21], mais parfois aussi à -is comme dans Hennezis (Eure, *Hanniciacas[21] à comparer avec Ulferciacae / Olferciagas) ou -ez (Eure, Dardees 1203[21] à comparer avec Oferges 1197).

Les lieux-dits : Roche Chauffée et Trou d'Enfer viennent étayer l'existence du travail du fer[22]. La présence de ferriers ou de charbonnières, à proximité des habitats et des taillis, témoigne d’une métallurgie artisanale[23].

Histoire modifier

Une nécropole présumée franque a été découverte en 1846 à Auffargis[24].

Dépendance de l'abbaye des Vaux-de-Cernay au XIe siècle, le territoire d'Auffargis est propriété du XIVe au XIIe siècle de la famille d'Angennes[24].

De 1870 aux années 1950, la famille Rothschild joue un rôle important[24].

Politique et administration modifier

La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[25], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au .

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Rambouillet[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 18 à 36 communes.

Intercommunalité modifier

La commune était membre jusqu'au de la communauté de communes des Étangs.

À cette date, elle intègre la communauté de communes Plaines et Forêts d'Yveline, qui se transforme en communauté d'agglomération sous le nom de Rambouillet Territoires Communauté d’Agglomération. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes Contrée d'Ablis-Porte des Yvelines et la communauté de communes des Étangs, formant le la communauté d'agglomération Rambouillet Territoires.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1908 1925 Henri de Rothschild   Baron, banquier
1925 1934 Henri de Rothschild   Baron, banquier
1934 1935 Henri de Rothschild   Baron, banquier
1935 1945 Émile Lhéritier    
1945 1965 Marcel Bodenan    
1965 1971 Félix Lévitan   Directeur de la Société du Tour de France
1971 1980 Bernard Lévêque    
1980 1983 Christine Boutin UDF Conseillère générale puis départementale de Rambouillet (1982 → )
Adjointe au maire de Rambouillet (1983 → 2001)
1983 1989 Jérôme Broussard    
1989 2001 Michel Mac Grath    
2001 En cours
(au 16 juillet 2020)
Daniel Bonte Divers Vice-président de Rambouillet Territoires (2017[27] → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 1 974 habitants[Note 3], en diminution de 1,15 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
533455537494527518517507540
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
512516510477504531604554654
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
721740733696666839525641552
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6227501 5441 7291 9251 8591 9401 9631 966
2018 2021 - - - - - - -
1 9731 974-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 992 hommes pour 981 femmes, soit un taux de 50,28 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,1 
6,8 
75-89 ans
9,9 
20,3 
60-74 ans
20,6 
23,9 
45-59 ans
23,4 
15,2 
30-44 ans
16,7 
15,7 
15-29 ans
11,6 
17,7 
0-14 ans
17,6 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement modifier

Auffargis comprend une école maternelle et une école primaire[35].

Sports modifier

Depuis 2003, Auffargis est le point de départ et d'arrivée d'une course d'endurance, le trail de la Vallée de Chevreuse, particulièrement réputée pour son profil en « dents de scie », alternant de fortes côtes et des descentes abruptes avec très peu de plat. L'édition 2006 proposait deux itinéraires de 16 et 53 km[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités modifier

La fête du village a lieu chaque année fin juin. C'est l'occasion de tirer un feu d'artifice[réf. nécessaire].

Au printemps a lieu chaque année une foire aux plantes, la « Fête des Plantes ». Prenant de l'ampleur, la manifestation, qui avait initialement lieu au foyer rural du village, a déménagé depuis 2000 dans une des fermes du bourg de Saint-Benoît[réf. nécessaire].

Économie modifier

À Auffargis, l'agriculture compte (lors du recensement agricole de l'an 2000) neuf exploitations agricoles (contre 14 en 1988) qui occupent 27 actifs (équivalent temps plein). Les surfaces agricoles couvrent 369 hectares, dont 210 de terres labourables et 156 de prairie (surfaces toujours en herbe)[36].

La commune compte un établissement (centre écotoxicologique) de l'Office français de la biodiversité, implanté au bourg de Saint-Benoît[37].

Culture locale et patrimoine modifier

L'église Saint-André.
Ancien lavoir transformé en abri.
La sablière d'Auffargis.

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Tournages de cinéma modifier

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Auffargis et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. a et b Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
  15. a b c d et e Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, Dictionnaire des anciens noms des communes du département de Seine-et-Oise, 1874
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) [1]
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 36a.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  20. Ernest Nègre, op. cit.
  21. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 978-2-7084-0067-2, OCLC 9675154), p. 25.
  22. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 238.
  23. Jean-Luc Témoin, Aperçu historique de la forêt de Rambouillet, Office national des forêts, , p. 2.
  24. a b et c « Grands traits de l’Histoire d’Auffargis ».
  25. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  26. « La liste des Maires d’Auffargis », Histoire d’Auffargis, sur mairie-auffargis.com (consulté le ).
  27. Philippe Cohen, « Marc Robert s’installe à la présidence de l’Agglo : Marc Robert, maire de Rambouillet, succède à Jean-Frédéric Poisson, à la présidence de Rambouillet Territoires, forte de 36 communes. Il a été élu jeudi soir », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Proces-verbal de l’installation du conseil municipal de l’élection du maire et des adjoints : Séance du conseil municipal du samedi 29 Mars 2014 » [PDF], Conseils municipaux, sur mairie-auffargis.com (consulté le ).
  29. « Élection du Maire et des Adjoints d’Auffargis le 23 mai 2020 » [PDF], Actualités, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Auffargis (78030) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  35. Enseignement du 1er degré sur le site de la commune
  36. Recensement agricole 2000 - Auffargis, Agreste
  37. Unité de suivi sanitaire de la faune, ONCFS
  38. un film dans quatre lieux de tournage »
  39. a et b « Jean-Paul Salomé entre en préproduction de "La syndicaliste" (Exclusif) », sur Le Film français, (consulté le ).
  40. a et b « « La Syndicaliste » : Jean-Paul Salomé filme Isabelle Huppert en héroïne opaque », sur LeMonde.fr, (consulté le ).
  41. Laurent Mansart, « Auffargis fait ses adieux à Jean Rochefort, « un homme charmant et simple » : Depuis plus de vingt ans, l’acteur vivait dans cette petite commune, élevant des chevaux dans son Haras de Villequoy », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).