Bar commun

espèce de poissons
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Dicentrarchus labrax

Le bar commun ou bar européen (Dicentrarchus labrax), surnommé loup ou perche de mer, est une espèce de poissons principalement marins qui entrent parfois en eau saumâtre et en eau douce, appartenant à la famille des moronidés. Cette espèce est en nette régression et fait donc l'objet de mesures de gestion (par quotas pour la pêche récréative du bar sur le littoral ouest de la France, fixés sous l'égide de la Commission européenne).

Description

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Bar commun
Vue rapprochée de la langue (pigmentée) du Bar commun

Il possède un corps fusiforme argenté sur les côtés et gris argenté à bleuâtre sur le dos, des petites écailles (la ligne latérale en comporte de 62 à 74), deux nageoires dorsales distinctes (la première avec 8 à 10 épines, la seconde avec une épine et 12 ou 13 rayons mous), une nageoire anale munie de 3 épines et de 10 ou 12 rayons mous, un opercule pourvu sur son bord d'une tache noire diffuse et de 2 épines plates, une nageoire caudale modérément fourchue. Il peut atteindre 1 m de long pour un poids de 12 kg, mais des spécimens de 50 cm pour 1 kg sont plus courants. Le plus vieux, dont l'âge soit certain, était un pensionnaire de l'aquarium d'Amsterdam qui avait 30 ans en 1963 ; à Sète, le plus gros bar examiné par un spécialiste était âgé de 15-16 ans, pour un poids de 11 kg et une longueur de 92,5 cm.

Les juvéniles peuvent posséder quelques taches sur le haut du corps, ce qui peut créer une confusion avec Dicentrarchus punctatus. Il est impossible de distinguer un mâle d'une femelle sans pratiquer l'autopsie du poisson.

Répartition géographique

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On le trouve tout autour et à l'intérieur de l'Europe, y compris à l'est de l'océan Atlantique (de la Norvège au Sénégal), en mer Méditerranée et en mer Noire.

Alimentation

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Le bar commun est plus actif la nuit que le jour. C'est un poisson qui préfère les eaux battues et oxygénées, dans lesquelles il est très actif, même s'il est aussi possible de le trouver dans les ports. En termes de proies recherchées, il est très versatile. Il est en effet capable d'adopter une attitude pélagique pour chasser en pleine eau des poissons grégaires de taille petite ou moyenne, des céphalopodes ainsi que des crabes nageurs. Il est aussi capable d'adopter un comportement benthique lorsqu'il cherche à dénicher des vers polychètes et des crustacés. En général il s'intéresse aux proies vivantes, c'est un véritable « chasseur ». Sa voracité et son agressivité en fait une prise privilégiée de la pêche au leurre.

Étymologie et dénominations

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L'espèce est appelée « loup » en Méditerranée en référence à l'appellation occitane (« lop »), provençale et catalane (« llop »).

L'animal est ainsi appelé en raison de sa voracité que les anciens ont rapprochée de celle (supposée) du loup, le nom d'espèce labrax signifiant « vorace » en grec ancien. Étymologie à rapprocher du latin labrum (en français : « lèvre ») que l'on retrouve pour une autre famille, celle des labridés.

Dans le bassin d'Arcachon, elle est dénommée « loubine », tandis qu'en Bretagne on l'appelle « drenek ». Les appellations « louvine » et « lubine » sont également fréquentes ; et il existe encore d'autres nom pour désigner ce poisson en France : barreau, brigne, crossia, drinée (jeune), loubas (provence), loubassou, loupassou, lupo, luvassu, perche de mer, pique…

Le bar commun et l'Homme

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Un bar commun en captivité.

Efforts de conservation

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Les populations de bar commun ont considérablement diminué, a priori avec la pression croissante de la pêche commerciale.

Cette espèce a récemment fait l'objet au Royaume-Uni d'un effort de conservation par les pêcheurs sportifs.
En Italie, le bar commun fait l'objet d'élevages intensifs dans les eaux salées.

En Irlande, il existe des lois strictes concernant le bar commun, toute pêche commerciale y est interdite et il y a plusieurs restrictions en place pour les pêcheurs, c'est-à-dire une période d'interdiction de pêche du 15 mai au 15 juin chaque année, des dimensions minimales de 400 mm et la limite de 2 poissons par pêcheur dans un délai de 24 heures.

Des tailles minimales pour les mailles des filets de pêche ont été adoptées selon les pays, sachant que la maille biologique, c'est-à-dire la taille à laquelle 100 % des bars se sont reproduits, est de 42 cm[1].

Pêche de loisir

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Ce poisson est très recherché par les pêcheurs sous-marins et les pêcheurs sportifs en raison de sa « belle défense » et de sa chair réputée délicieuse. Par temps calme, les pêcheurs utilisent généralement un popper, ou un montage bulle-petit leurre. En automne, un « shad » est plus efficace et, à la touche, ce poisson se ferre d'un petit coup sec.

Le « petit poisson nageur » utilisé au printemps ramènera les premiers lieus jaunes de l'année.

Au vif, une technique efficace est de laisser traîner dans le courant un lançon vivant accroché par les orbites.

Pêche professionnelle

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Le bar commun ou bar franc est essentiellement pêché par les chalutiers, les fileyeurs et les ligneurs. Le chalut représente plus de 60 % des débarquements de bar en France, les métiers de la ligne 21 % des débarquements et 13 % pour les fileyeurs[2].

Le « bar de ligne » est un bar commun sauvage, pêché à la ligne en mer et qui a fait l'objet d'une écolabellisation dans les années 1990[3]. Dans les années 2000, les procédures de labellisation (label rouge) ayant été abandonnées par les pêcheurs, chaque région productrice a créé une démarche qualité autour du bar de ligne (Normandie, Bretagne, Vendée et Poitou-Charentes)[4].

Mesures de gestion

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En France, la maille du bar, c'est-à-dire la taille légale de capture est de 42 cm pour les pêcheurs de loisir[1] et de 36 cm à 42 cm pour les pêcheurs professionnels en Manche, Atlantique et Mer du Nord. :

  • Eaux occidentales septentrionales : 42 centimètres
  • Eaux occidentales australes : 36 centimètres ; sauf dans les divisions CIEM VIIIa et VIIIb : 40 centimètres[5]

En Méditerranée elle est de 30 cm pour les pêcheurs de loisir[1] et 25 cm pour les professionnels.

Depuis 2012, les pêcheurs professionnels doivent détenir une licence pour capturer du bar franc (Dicentrarchus labrax)[6]. En 2015, l’union européenne a imposé l’interdiction de pêche du bar au chalut pélagique en mer du Nord et en Manche jusqu’au 30 avril 2015. À partir du 23 juin 2015 et jusqu’au 31 décembre 2015, les navires devront respecter également une limitation de pêche : entre une et trois tonnes par mois selon la technique de capture[7].

En ce qui concerne la pêche de loisir, la capture du bar en dessous du 48e parallèle nord est limitée à 1 poisson par jour et par pêcheur ; au-dessus de cette limite géographique, la capture est suivie d'un relâcher depuis le 23 janvier 2018[8],[9]. Après une interdiction totale de la pêche récréative au début 2018 au nord du 48e parallèle, il est de nouveau autorisé de garder deux bar par jour et par pêcheur du 1er mars au 31 juillet 2021.

Réglementation 2021 (pêche récréative)
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Elle a été publiée le 28 janvier 2021[10] pour la pêche récréative ou pêche de loisir, du bar pour les zones françaises:

  • Au nord du 48e parallèle (situé au niveau d’Audierne en Bretagne, zones 4b, 4c, 6a et 7a à 7k), la limite de prises conservées (quota) est fixée à deux bars par jour et par pêcheur pour la période du 1er mars au 31 juillet 2021[11]. Hors de cette période (c'est-à-dire du 1er janvier au 28 février 2021), seul le pêcher-relâcher (no-kill) est autorisé.
  • Au sud du 48e (c'est-à-dire en zones 8a et 8b, soit le Sud-Bretagne et le Sud Gascogne), le quota est de deux bars par jour et par pêcheur, pour toute l'année.
  • Dans ces zones, la maille est de 42 cm pour le loisir. En Mer Méditerranée, la maille est fixée à 30cm pour le loisir. La maille biologique, c'est-à-dire la taille à laquelle 100 % des bars se sont reproduits, est de 42 cm[1],[12].
  • Les bars pêchés conservés, doivent faire l’objet d’un marquage. Ce marquage consiste en l’ablation de la partie inférieure de la nageoire caudale[13].

Élevage piscicole

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Le bar est l'une des deux espèces de poissons méditerranéens les plus cultivées en Europe, à égalité avec la dorade royale (148 000 tonnes de bar produites en 2014, dont la moitié en Turquie). En France, la production de bar d'élevage reste très modeste (2 000 tonnes en 2014), mais les écloseries exportent de nombreux alevins (48 000 juvéniles produits en France, pour un total européen de 492 000 en 2014)[14]. Dans le contexte de promiscuité propre aux élevages piscicoles, c'est une espèce sensible au stress[15] et vulnérable à diverses Infections par des parasites, dont Vibrio anguillarum, responsable de la vibriose chez le bar[16]. En raison de son intérêt commercial, l'immunologie de cette espèce est très étudiée[17],[18].

Menace liée au réchauffement climatique

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La survie future du bar européen est gênée par l'augmentation associée des niveaux de CO2 dans l'eau de mer dans le contexte de la crise climatique, car elle entraîne une modification de la réponse aux signaux sensoriels. Les recherches montrent que, lorsque le bar européen est exposé à des niveaux élevés de CO2 (1000 µatm), il doit être jusqu'à 42% plus proche d'une source d'odeur que les niveaux actuels de CO2 (400 µatm). Leurs systèmes olfactifs ont donc des problèmes de détection. Cela réduit la probabilité de trouver de la nourriture ou des prédateurs, et donc la viabilité du bar européen[19].

Gastronomie

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Bars de ligne de Noirmoutier au marché.
Bar en croûte de sel de Guérande (en cours de démoulage).
Bars sauvages au marché de Neuilly-sur-Seine.

Le plus recherché par les gastronomes est le « bar de ligne », (appellation ayant fait l'objet en France d'une écolabellisation dans les années 1990)[3], pêché à la ligne et commercialisé en France avec une étiquette à l'ouïe permettant d’identifier le nom du bateau et le lieu de pêche.

La consommation de bar en France, avoisine les 11 500 tonnes dont 59 % proviennent de l’aquaculture[20].

Pour sa préparation, certains préféreront éviter la tomate. Néanmoins, dans la cuisine du Maghreb, on prépare un couscous au bar, où il est cuit dans une sauce tomate.

On peut le préparer :

Synonymes

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Ce taxon admet de nombreux synonymes :

  • Centropomus lupus (Lacepède, 1802)
  • Centropomus mullus (Lacepède, 1802)
  • Dicentrarchus elongatus (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Dicentrarchus lupus (Lacepède, 1802)
  • Labrax diacanthus (Bloch, 1792)
  • Labrax elongatus (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Labrax labrax (Linnaeus, 1758)
  • Labrax linnei (Malm, 1877)
  • Labrax lupus (Lacepède, 1802)
  • Labrax vulgaris Guérin-Méneville, 1829-38
  • Morone labrax (Linnaeus, 1758)
  • Perca diacantha (Bloch, 1792)
  • Perca elongata (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Perca labrax (Linnaeus, 1758)
  • Perca sinuosa (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Roccus labrax (Linnaeus, 1758)
  • Sciaena diacantha (Bloch, 1792)
  • Sciaena labrax (Linnaeus, 1758)

Notes et références

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  1. a b c et d [PDF] République Française, « Arrêté du 26 oct 2012 déterminant la taille minimale ou le poids minimal de capture des poissons ou autres organismes marins effectuée dans le cadre de la pêche maritime de loisir »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  2. Drogou M., Biseau A., Berthou P., De Pontual H., Habasque J., Le Grand C. Synthèse des informations disponibles sur le Bar : flottilles, captures, marché. Réflexions autour de mesures de gestion. Avril 2011. IFREMER. (http://www.archimer.ifremer.fr/doc/00035/14577/11879.pdf)
  3. a et b Erwann CHARLES, « Mieux pêcher le bar pour en vivre mieux », www.cnrs.fr (consulté le ).
  4. Fiche espèce bar. Guide des espèces 2014; Magazine Produits de la mer
  5. Direction Interrégionale de la Mer Nord Atlantique Manche Ouest, « Pêche professionnelle du bar », sur www.dirm.nord-atlantique-manche-ouest.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  6. « la-licence-bar-reconduite-pour-2013 ».
  7. « Bar : les limites mensuelles votées », Le Marin, no 3546,‎ , Page 5.
  8. « Pêche récréative du bar : un quota à respecter en 2018 », sur peche-en-kayak-alain17, (consulté le ).
  9. « Règlement (UE) 2018/120 du Conseil du 23 janvier 2018 établissant, pour 2018, les possibilités de pêche pour certains stocks halieutiques et groupes de stocks halieutiques, applicables dans les eaux de l'Union et, pour les navires de pêche de l'Union, dans certaines eaux n'appartenant pas à l'Union et modifiant le règlement (UE) 2017/127 » (Article 9 - Mesures relatives à la pêche du bar européen), Journal officiel de l'Union européenne,‎ , p. 11-12 (lire en ligne)
  10. « L_2021031FR.01003101.xml », sur eur-lex.europa.eu (consulté le ).
  11. « RÈGLEMENTSRÈGLEMENT (UE) 2021/703 DU CONSEIL du 26 avril 2021modifiant les règlements (UE) 2021/91 et (UE) 2021/92 en ce qui concerne certaines possibilités de pêche pour 2021 dans les eaux de l’Union et les eaux n’appartenant pas à l’Union ».
  12. BAR : LA RÉGLEMENTATION 2020 No-kill, quota, TAC... URL:https://www.peche-poissons.com/news/bar-la-reglementation-2020
  13. « Arrêté du 17 mai 2011 imposant le marquage des captures effectuées dans le cadre de la pêche maritime de loisir », sur legifrance.gouv.fr.
  14. (en) European Aquaculture Production Report 2005-2014, FEAP (the united voice of the European aquaculture production industry), , 54 p. (lire en ligne)
  15. Torrecillas S, Makol A, Caballero MJ, Montero D, Dhanasiri AK, Sweetman J, Izquierdo M., Effects on mortality and stress response in European sea bass, Dicentrarchus labrax (L.), fed mannan oligosaccharides (MOS) after Vibrio anguillarum exposure ; J Fish Dis. 2012 Aug; 35(8):591-602. Epub 2012 Jun 13.
  16. Rekecki A, Gunasekara RA, Dierckens K, Laureau S, Boon N, Favoreel H, Cornelissen M, Sorgeloos P, Ducatelle R, Bossier P, Van den Broeck W., Bacterial host interaction of GFP-labelled Vibrio anguillarum HI-610 with gnotobiotic sea bass, Dicentrarchus labrax (L.), larvae ; J Fish Dis. 2012 Feb 13. doi: 10.1111/j.1365-2761.2011.01342.x. (Résumé)
  17. Chistiakov DA, Hellemans B, Volckaert FA (2007), Review on the immunology of European sea bass Dicentrarchus labrax ; Vet Immunol Immunopathol. 2007 May 15; 117(1-2):1-16. Epub 2007 Feb 22.
  18. Scapigliati G, Romano N, Buonocore F, Picchietti S, Baldassini MR, Prugnoli D, Galice A, Meloni S, Secombes CJ, Mazzini M, et al. (2002), The immune system of sea bass, Dicentrarchus labrax, reared in aquaculture ; Dev Comp Immunol. 2002 Mar; 26(2):151-60.
  19. Porteus, C. S., Hubbard, P. C., Webster, T. M. U., van Aerle, R., Canário, A. V., Santos, E. M., & Wilson, R. W. (2018). Near-future CO 2 levels impair the olfactory system of a marine fish. Nature Climate Change, 8(8), 737. https://doi.org/10.1038/s41558-018-0224-8
  20. Données et bilans : consommation des produits de la pêche et de l'aquaculture 2014. France Agrimer ( http://www.franceagrimer.fr/content/download/38313/352902/file/STA-MER-CONSO%202014-mai2015.pdf)

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Chatain B. & Dewavrin G. (1989) Influence des anomalies de développement de la vessie natatoire sur la mortalité de Dicentrarchus labrax au cours du sevrage. Aquaculture, 78(1), p. 55-61 (résumé).
  • Chatain B. (1986) La vessie natatoire chez Dicentrarchus labrax et Sparus auratus. Aquaculture, 53(3-4), p. 303-311 (résumé).
  • Chatain B. (1987) La vessie natatoire chez Dicentrarchus labrax et Sparus auratus. Aquaculture, 65(2), p. 175-181 (résumé)

Articles connexes

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Références taxinomiques

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Liens externes

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