Barbaira
Barbaira Écouter est une commune française située dans le nord du département de l'Aude en région Occitanie.
Barbaira | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Carcassonne | ||||
Intercommunalité | Carcassonne Agglo | ||||
Maire Mandat |
Jacques Fabre 2020-2026 |
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Code postal | 11800 | ||||
Code commune | 11027 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barbairanais, Barbairanaises | ||||
Population municipale |
789 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 84 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 11′ 09″ nord, 2° 30′ 46″ est | ||||
Altitude | 75 m Min. 66 m Max. 502 m |
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Superficie | 9,40 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Carcassonne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Montagne d'Alaric | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-barbaira.fr | ||||
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Aude, la Bretonne, le ruisseau de Mayrac et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « Corbières occidentales ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Barbaira est une commune rurale qui compte 789 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne. Ses habitants sont appelés les Barbairanais ou Barbairanaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Julien, inscrite en 1948, et le château de Miramont, inscrit en 1926.
Géographie
modifierLocalisation
modifierBarbaira est une commune de l'aire urbaine de Carcassonne située dans les Corbières au pied de la montagne d'Alaric. Elle se trouve sur la D 6113 (ancienne route nationale 113), à 15 km à l'est de Carcassonne, et à 21 km à l'ouest de Lézignan-Corbières.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Capendu, Floure, Marseillette, Trèbes et Val-de-Dagne.
Le territoire de Monze n'est qu'à 50 mètres, au sud-ouest.
Géologie et relief
modifierBarbaira se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
modifierLa commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Aude, la Bretonne, le ruisseau de Mayrac, le ruisseau de la Garrigue, le ruisseau de la Pellière, le ruisseau de la Tuilerie, le ruisseau de Miramont, le ruisseau de Tale et le ruisseau du Bois, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Aude, d'une longueur totale de 223,59 km, prend sa source dans la commune des Les Angles et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Fleury, après avoir traversé 73 communes[6].
La Bretonne, d'une longueur totale de 14,6 km, prend sa source dans la commune de Val-de-Dagne et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente au nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aude sur le territoire communal, après avoir traversé 4 communes[7].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 3,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arquettes-en-Val à 9 km à vol d'oiseau[10], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 820,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « corbières occidentales »[15], d'une superficie de 22 912 ha, présentant des milieux propices à la nidification des espèces rupicoles : des couples d'Aigles royaux occupent partagent l'espace avec des espèces aussi significatives que le Faucon pèlerin, le Grand-duc d'Europe ou le Circaète Jean-le-Blanc[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[17] : le « cours moyen de l'Aude à Marseillette » (237 ha), couvrant 7 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] : le « massif d'Alaric » (8 316 ha), couvrant 15 communes du département[19].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Barbaira est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (39,6 %), forêts (27,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Barbaira est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bretonne et l'Aude. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1996, 1999, 2005, 2009 et 2018[26],[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 82,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 381 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 381 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
La commune est en outre située en aval des barrages de Matemale et de Puyvalador, deux ouvrages de classe A[Note 5], situés dans le département des Pyrénées-Orientales. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[30].
Toponymie
modifierEn latin, Barbayrano ou Barbairano (1374)[31].
Histoire
modifierBarbaira faisait partie du territoire de la province romaine de la Narbonnaise créée en 118 av. J.-C. Des vestiges de constructions ont été retrouvés sur les coteaux qui dominent le village.
Le premier texte faisant mention de Barbaira date de 1081. Il s'agit d'un accord entre Béranger Raimond, comte de Barcelone et son frère.
Au XIe siècle, le bourg était fortifié. Les remparts situés au nord-ouest, nord et nord-est dominant la plaine, constituaient la défense extérieure.
En 1374, Nicolas de Lectis et sa femme Yolande de Capendu, seigneur et dame de la baronnie de Capendu, obtiennent de Louis Ier d'Anjou, lieutenant du roi en Languedoc, que Capendu et la terre adjacente de Barbaira relèvent du droit écrit de la sénéchaussée de Carcassonne et non plus de la coutume de la vicomté de Paris[32]. Le roi Charles VI confirme ce fait en 1382[31].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Barbaira est membre de l'intercommunalité Carcassonne Agglo[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Carcassonne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Carcassonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Montagne d'Alaric pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[34].
Liste des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2021, la commune comptait 789 habitants[Note 6], en évolution de +7,2 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierUne école primaire publique accueille 87 élèves[40].
Le collège le plus proche est à Capendu.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 310 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 752 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 840 €[I 2] (19 240 € dans le département[I 3]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 10,8 % | 10,4 % | 11,5 % |
Département[I 5] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 426 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (65,7 % ayant un emploi et 11,5 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 8],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Carcassonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 101 emplois en 2018, contre 109 en 2013 et 98 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 284, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,7 %[I 8].
Sur ces 284 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 52 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 7,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
modifierSecteurs d'activités
modifier41 établissements[Note 9] sont implantés à Barbaira au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 11].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 41 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
4 | 9,8 % | (8,8 %) |
Construction | 9 | 22 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
11 | 26,8 % | (32,3 %) |
Activités immobilières | 1 | 2,4 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
10 | 24,4 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
1 | 2,4 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 5 | 12,2 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,8 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 41 entreprises implantées à Barbaira), contre 32,3 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
modifierL' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[41] :
- SARL Gil Taxi, transports de voyageurs par taxis (100 k€).
Industrie
modifier- Station de compression du réseau de gaz naturel TIGF[42].
Agriculture
modifierLa commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[43]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[44].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 64 | 35 | 25 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 500 | 286 | 393 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 64 lors du recensement agricole[Note 12] de 1988 à 35 en 2000 puis à 25 en 2010[44], soit une baisse de 61 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[46]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 500 ha en 1988 à 393 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 16 ha[44].
Viticulture
modifierLa commune a sur son territoire les appellations qualitatives suivantes : Vin de pays des Coteaux de Miramont, vignoble de la Montagne d'Alaric qui fait partie du vignoble des Corbières
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château de Miramont
- Église Saint-Julien de Barbaira. Le Clocher, la première chapelle Sud, la deuxième chapelle Nord, les fonts baptismaux, l'élévation et les voûtes ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1948[47].
- Le lieu-dit : "le Fort" est inscrit au titre des sites naturels depuis 1942[48].
Personnes liées à la commune
modifier- Chabert de Barbeira : Seigneur de Puilaurens et de Quéribus.
Héraldique
modifierBlason | D'azur au chevron d'or[49]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Barbaira » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Barbaira » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Barbaira » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Barbaira » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Barbaira » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « Fiche communale de Barbaira », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Aude »
- Sandre, « la Bretonne »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Barbaira et Arquettes-en-Val », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arquettes-en-Val » (commune d'Arquettes-en-Val) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arquettes-en-Val » (commune d'Arquettes-en-Val) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Barbaira », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112027 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Barbaira », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours moyen de l'Aude à Marseillette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif d'Alaric » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Carcassonne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Barbaira », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aude.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Denis-François Secousse (éd.), Ordonnances des roys de France de la troisieme race, recueillies par ordre chronologique, vol. 6 : Contenant les ordonnances de Charles V donnees depuis le commencement de l'annee 1374 jusques a la fin de son regne, et celles de Charles VI depuis le commencement de son regne jusques a la fin de l'annee 1382, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), p. 648-650.
- Pierre Timbal (préf. Georges Boyer), Un conflit d'annexion au Moyen Âge : l'application de la coutume de Paris au pays d'Albigeois, Toulouse et Paris, Éditions Privat et Marcel Didier, coll. « Bibliothèque méridionale » (no 33), , 213 p. (lire en ligne), p. 145-146.
- « Carcassonne Agglo - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
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- « L'Express - Actualités Politique, Monde, Economie et Culture », sur L'Express (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).
- « Eglise Saint-Julien et Sainte-Basilisse », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Lieu-dit:"le Fort" (Barbaira) », sur Système d'Information sur les sites et Territoires d'Exception.
- « labanquedublason2 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :