Barbezières
Barbezières est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Barbezières | |||||
Le château de Barbezières. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Charente | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Boizumault 2020-2026 |
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Code postal | 16140 | ||||
Code commune | 16027 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Berbicariens | ||||
Population municipale |
131 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 54′ 43″ nord, 0° 05′ 21″ ouest | ||||
Altitude | Min. 79 m Max. 141 m |
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Superficie | 9,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Charente-Nord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Berbicariens et Berbicariennes[1].
Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierBarbezières est une commune du nord-ouest de la Charente, limitrophe avec la Charente-Maritime et proche des Deux-Sèvres, située à 8 km à l'ouest d'Aigre, chef-lieu de son canton et à 35 km au nord-ouest d'Angoulême.
Elle est aussi à 15 km au nord de Rouillac, 17 km au sud-ouest de Villefagnan. En Charente-Maritime, Matha est à 18 km à l'ouest[2].
La commune est située au nord de la D 739, route d'Aigre à Matha, qui passe à 3 km du bourg. Des routes secondaires desservent la commune et se croisent au bourg. La D 67, est-ouest, va d'Aigre à Fontaine-Chalendray. La D 75, nord-sud va de Sonneville et Verdille à Lupsault et Couture-d'Argenson (Deux-Sèvres). La D 183 va du sud de la commune (la Brousse) à Ranville-Breuillaud et Beauvais-sur-Matha au sud-ouest[3].
La gare la plus proche est celle de Luxé, 16 km à l'est, où des TER vont en direction d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
modifierLe bourg de Barbezières est composé de quatre hameaux : le Chêne, chez Guérin, la Garenne et chez Feuillet. L'église et la mairie sont situées au Chêne. Juste au sud du bourg, on trouve la Brousse.
À l'ouest de la commune, en limite avec celle de Ranville-Breuillaud, on trouve Lucheville où est situé le château[3].
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierGéologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Le Kimméridgien occupe plus particulièrement la surface communale[4],[5],[6].
Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement relevée au nord, d'une altitude moyenne de 100 m. Le point culminant est à une altitude de 141 m, situé sur la limite départementale dans la forêt au nord, à Bellevue. Le point le plus bas est à 79 m, situé sur la limite sud-est (vallon de Trompe-Loup). Le bourg est à 90 m d'altitude[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau intermittent de Saint-Sulpice sur la limite orientale de la commune et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Climat
modifierComme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Barbezières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), forêts (13,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Barbezières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 60,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 96 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 85 sont en aléa moyen ou fort, soit 89 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
modifierLes formes anciennes sont Barbegiere en 1274[18], Berbegeyres en 1302[19].
Le nom proviendrait de berbiceria, « la bergerie », centre d'élevage des brebis (berbex en bas latin, vervex en latin classique)[20],[21]. La racine et l'évolution du toponyme sont semblables à Barbezieux.
Histoire
modifierDès le XIVe siècle, il est attesté que la terre de Barbezières appartenait à des seigneurs de même nom, qui l'ont conservée jusqu'au milieu du XVIIe siècle.
Cette seigneurie faisait partie de la principauté de Marcillac. La maison de Barbezières était une des familles les plus considérables de l'Angoumois, et une de ses branches, devenue aînée, s'est éteinte vers le milieu du XIXe siècle. Elle descendait de Pierre de Barbezières, mort en 1426, et la terre de Barbezières s'est transmise sans interruption par la branche aînée, qui s'est éteinte en 1620 en la personne d'un autre Pierre de Barbezières, chevalier, seigneur de Barbezières et de Péré, qui n'eut qu'une fille mariée à Henri des Cherments.
La seigneurie de Barbezières semble avoir été partagée à la suite d'une vente entre la famille de Brouilhac qui habitait le château et la famille Babin, dont un membre, Jean Babin, écuyer, seigneur de Ranville, se disputait le titre de seigneur de Barbezières avec son fils, Jacques[22].
Le premier château a été détruit durant la guerre de Cent Ans et le château actuel a été reconstruit un peu plus loin au XVe siècle[23].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierFiscalité
modifierLa fiscalité est d'un taux de 17,77 % sur le bâti, 51,36 % sur le non bâti, 11,73 % pour la taxe d'habitation et 6,94 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).
La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2021, la commune comptait 131 habitants[Note 1], en évolution de +4,8 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 68 hommes pour 58 femmes, soit un taux de 53,97 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierL'agriculture est principalement céréalière.
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[30].
Lieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifierL'église paroissiale Saint-Martin, romane, changea plusieurs fois d'affectation. Cette église fut initialement donnée à la fin du XIe siècle par Hélie de Marcillac, seigneur de Barbezières, à l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe. Au milieu du XIIIe siècle, elle perdit sa cure et devint l'église de la commanderie Saint-Martin de l'ordre du Temple, avant de devenir possession de l'ordre de Malte.
Elle a été remaniée au XVIe siècle, et, ayant souffert lors de la guerre de Cent Ans, ne conserva de l'époque romane que ses murs. Le chœur fut recouvert au XVe siècle.
Elle est de plan allongé, à un vaisseau, à voûte en berceau. La voûte de la nef a été refaite en 1859 et le clocher reconstruit en 1874. La façade date aussi de cette époque[31],[32].
L'église Saint-Martin est inscrite aux monuments historiques depuis 1993[33].
Patrimoine civil
modifierLe château de Barbezières du XVe siècle se compose d'un corps de logis rectangulaire à toiture à deux pans avec à une extrémité une grosse tour ronde coiffée d'une poivrière côté jardin et une petite tour carrée renfermant un escalier à vis.
Les toitures sont couvertes de tuiles plates[34],[35].
La motte des Grands-Bois accueille les vestiges du premier château de Barbezières. Des fouilles réalisées à la fin du XIXe siècle par Alexis Favraud ont mis au jour les vestiges d'une enceinte de pierre enserrant une tour carrée de 15 m de côté. Plus récemment fut découvert sur le site un souterrain associé à un mobilier témoignant d'une occupation médiévale liée à un milieu chevaleresque[36].
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Puits près de l'église.
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Autre puits.
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Poids public et cimetière.
Patrimoine naturel
modifierLes plaines de Barbezières à Gourville forment un des sites du réseau Natura 2000 de Charente[37].
Tout comme la plaine de Villefagnan, cette zone est particulièrement destinée à sauvegarder l'outarde canepetière.
Personnalités liées à la commune
modifier- Mickaël Brousse, né le 21 mai 1979, à Saint-Jean-d'Angély (Charente-Maritime). Il a vécu son enfance et adolescence au château de Barbezières. Marié en 2010 sur le thème médiéval/elfique dans ce même château, il est l'auteur d'une saga fantasy Thomas et la magie des mondes parallèles. Cette série de cinq romans est un savant mélange de magie, dragons et autres créatures[38].
- Pierre Labachot, dessinateur du journal La Charente libre pendant quelques années, était arrivé à Barbezières à l'âge de quatre ans avec ses parents. Albert, son père, a exercé le métier d'instituteur jusqu'à sa retraite. Pierre a beaucoup payé de sa personne pour l'animation du village, à travers des veillées spectacles, un journal, etc., mais aussi dans bien d'autres associations charentaises. Hélas il décédera lors d'un accident de voiture en 1987. Barbezières a commémoré son souvenir en organisant en 2012 une exposition et deux soirées cabaret où ses amis de 40 ans sont venus[39].
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Barbezières » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail.
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Barbezières », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Barbezières », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Barbezières », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 320
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 135
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 53.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 69
- « Château de Barbezières (notice) », notice no IA00040745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Barbezières (16027) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 58
- « Église de Barbezières (notice) », notice no IA00040746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église de Barbezières », notice no PA00125673, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
- « Château de Barbezières », notice no PA00104237, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 321.
- FR5412023 - Plaines de Barbezières à Gourville
- Bernard Maingot, « Le monde fantastique de Mickaël Brousse », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
- « Labachot, une rue sort de l'impasse », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Barbezières sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Catillus Carol, « Barbezières », (consulté le )