Barzun

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Barzun est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Barzun
Barzun
La mairie de Barzun.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
René Millet
2020-2026
Code postal 64530
Code commune 64097
Démographie
Gentilé Barzunais
Population
municipale
624 hab. (2021 en évolution de +4,52 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 53″ nord, 0° 07′ 41″ ouest
Altitude Min. 323 m
Max. 435 m
Superficie 8,19 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Pontacq
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Barzun
Géolocalisation sur la carte : France
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Barzun
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Barzun
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Barzun
Liens
Site web http://www.barzun.fr

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Barzun se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 24 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 3 km de Pontacq[3], bureau centralisateur du canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pontacq[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Livron (1,7 km), Pontacq (3,4 km), Hours (3,6 km), Labatmale (3,9 km), Lamarque-Pontacq (4,3 km), Espoey (4,4 km), Luquet (5,6 km), Lucgarier (5,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Barzun fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bénéjacq, Hours, Livron et Pontacq.

Communes limitrophes de Barzun[6]
Hours Livron
Bénéjacq Barzun
Pontacq

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Barzun.

La commune est drainée par l’Ousse, le Goua de Michou, l'Oussére, le ruisseau Hoursoumou, le ruisseau Sausse, un bras de l'Ousse, le Nougué, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L’Ousse, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Bartrès et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Gelos, après avoir traversé 19 communes[8].

Le Goua de Michou, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune de Pontacq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gabas à Luquet, après avoir traversé 4 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 199 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bénéjacq à 7 km à vol d'oiseau[13], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 244,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Barzun est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pontacq[Note 3], une agglomération inter-régionale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[21],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), forêts (7,9 %), zones urbanisées (6,4 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits et hameaux

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  • Arribarrouy[6]
  • Balagué[6]
  • Batailles (borde de[6])
  • Bédat[6]
  • Bédat et Sarrailh[6]
  • Boyrie (borde de[6])
  • Capblan (borde de[6])
  • Cazaillet[6]
  • Cazala (grange de[6])
  • Las Cordes[6]
  • La Débèze[6]
  • Goua (pont[6])
  • Grada (grange de[6])
  • Hourcaspy[6]
  • Hourmiau[6]
  • Hourq Mayou et Espélague[6]
  • Labourdette (Houn de)[6]
  • Lanas[6]
  • Lapalangue (pont[6])
  • Larbiouze (grange de[6])
  • Larroutis[6]
  • Layrisse (grange de[6])
  • Lupié Thén[6],[25]
  • Moulat[6]
  • Nargasse (grange de[6])
  • Pardimène (moulin[6])
  • Pène[6]
  • Pistoulet (grange de[6])
  • le Poublan[6]
  • Ramounet[6]
  • Técous et Labie[6]
  • Tisnères (grange des[6])

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 42, D 418, D 640, D 642 et D 940. Le réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques y possède un arrêt sur la ligne 833, menant de Pau à Pontacq.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Barzun est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau du Goua de Michou et le ruisseau de l'Ousse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2014[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Barzun.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[30].

Toponymie

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Le toponyme Barzun apparaît sous les formes Barzunum (1286[25], titres de Béarn[31]), Barsuu (1385[32], censier de Béarn[33]), Barsun (1402[25], censier de Béarn[33]), Barssun (1538[25], réformation de Béarn[34]) et Barsun (1793[35]).

Son nom béarnais est Barzun[36] ou Barzû[37].

Pour Michel Grosclaude[32], Barzun pourrait avoir pour origines l’anthroponyme latin Barisius, augmenté du suffixe -unum.

Lupié Thén est un hameau, cité par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque de 1863[25], sous la graphie le Lupié. Le même dictionnaire mentionne le hameau les Mouras, écart de Barzun et de Livron, ainsi que les hameaux le Pardiacq et la Peyrade.

Histoire

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Paul Raymond[25] note qu'en 1385, Barzun comptait treize feux et dépendait du bailliage de Pau.

Au XVIIIe siècle[25], Barzun était le chef-lieu de la notairie de Rivière-Ousse[38] (ou Rivere-Osse au XIIIe siècle[39]), qui comprenait Artigueloutan, Barzun, Espoey, Gomer, Hours, Lée, Livron, Louboey, Lucgarier, Nousty, Ousse, Sendets et Soumoulou.

Politique et administration

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Liste des maires successifs[40]
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1801 Pierre Lamarque    
1802 1804 Dominique Gassan    
1804 1831 Barthélémy Bachette-Peyrade    
1831 1843 Bernard Minvielle    
1843 1866 Jean Clouchet    
1866 1870 Pierre Layrisse    
1870 1871 Barthélémy Grada    
1871 1872 Jean Layrisse    
1872 1874 Charles Clouchet    
1874 1881 Jean Marchan    
1881 1904 Jean Garrot    
1904 1908 Pierre Pardimène    
1908 1915 Pierre Lamarque    
1915 1919 Dominique Théas    
1919 1937 Victor Pardimène    
1938 1944 Emile Palengat    
1944 1945 Ovide Sempé    
1945 1953 Emile Palengat    
1953 1971 Fernand Couret    
1971 1995 Marc Couret    
1995 2001 Alfred Prat-Bernachot    
2001 2020 Maurice Minvielle DVG Retraité
2020 En cours René Millet    

Intercommunalité

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Barzun fait partie de quatre structures intercommunales[41] :

Population et société

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Démographie

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Le gentilé est Barzunais[42].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

En 2021, la commune comptait 624 habitants[Note 7], en évolution de +4,52 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
505525555607639680717697702
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
691660657648630612570547521
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
519516502425411409394347399
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
409365363401455464569586595
2015 2020 2021 - - - - - -
597618624------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine historique

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Un dolmen a été découvert, en 1969[46], dans un champ agricole de Barzun. Aussitôt, l'objet a été étudié par le bureau d'architecture antique du Sud-Ouest, sous la direction de Georges Coustère, étude qui était suivi de celle de Jacques Coupry, directeur de la Circonscription des antiquités historiques d'Aquitaine. Bien évalué par le préhistorien Georges Laplace, celui-ci a été transféré à Arudy en 1972, puis à Coarraze. En effet, en raison des travaux agricoles importants, organisés à partir de 1971, ce dolmen risquait de subir sa destruction définitive. À la suite de ces déplacements, celui-ci est surnommé dolmen voyageur. En 2010, son retour à Barzun a été conclu, et ce dolmen est, à perpétuité, placé autour de l'église en 2012. En fait, la commune de Barzun souhaitait depuis longtemps sa récupération.

L'origine de ce dolmen remonterait à l'âge du bronze, soit 3 500 ans, voire 4 000 ans. Quoi qu'il en soit, d'après Georges Laplace, il s'agit de « la plus ancienne expression architecturale de la population agropastorale de notre région. » Sépulture mégalithique, mais l'intérieur du dolmen avait été violé à une date ancienne. D'où, il est difficile à déterminer la date précise de ce dolmen[47],[48] (voir aussi section Bibliographies).

Dolmen de Barzun, déplacé et installé près de l'église.

Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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L'église Saint-Vincent-Diacre[49] fut édifiée entre 1854 et 1857. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Église Saint-Vincent-Diacre de Barzun.

Équipements

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Enseignement

Barzun dispose d'une école primaire[50].

Personnalités liées à la commune

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Nées au XIXe siècle

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Nées au XXe siècle

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographies

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  • sur le dolmen de Barzun
    • Jacques Coupry, Informations archéologiques : circonscriptions des Antiquités historiques, Aquitaine, revue Gallia, tome 27, fascicule 2, p. 376 - 378, 1969, [lire en ligne] (cité entièrement par Blanc et Escudé-Quillet en 1991, ci-dessous)
    • Claude Blanc et Jean-Marie Escudé-Quillet, Le dolmen de Barzun (P.A.) : un monument voyageur, revue Archéologie des Pyrénées Occidentales et des Landes, tome 11, p. 33 - 41, 1991, [lire en ligne]
    • Georges Laplace, À propos d'un dolmen « voyageur », revue Archéologie des Pyrénées Occidentales et des Landes, tome 12, p. 147 - 148, 1992/1993, [lire en ligne] (lettre du docteur Laplace, en tant que réponse à l'article précédent)

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pontacq comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Barzun » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Barzun ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Barzun et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Barzun et Pontacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Barzun », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af et ag Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Barzun », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Ruisseau de l'Ousse ».
  9. Sandre, « le Ruisseau du Goua de Michou ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Barzun et Bénéjacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Barzun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Barzun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Barzun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « Unité urbaine 2020 de Pontacq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Barzun », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  32. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
  33. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  34. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  35. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  37. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  38. Rivière-Ousse : nom donné à la plaine irriguée par l'Ousse
  39. fors de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. « La Page de Barzun », Bi-annuel,‎ , p. 10.
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. Gentilé sur habitants.fr
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Selon la lettre de Georges Laplace publiée dans la revue Archéologie des Pyrénées Occidentales et des Landes, la découverte remonte en 1968.
  47. Mireille Dudun, « Barzun : le dolmen retrouve ses terres », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  48. Thomas Longué, « De Corraze à Barzun (64) : un dolmen vadrouilleur », Sud Ouest,‎ (lire en ligne)
  49. « L'église Saint-Vincent-Diacre », notice no IA64000647, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. Le site de la commune