Belhomert-Guéhouville

commune française du département d'Eure-et-Loir

Belhomert-Guéhouville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Appartenant au Thymerais, elle se situe à la frontière avec le Perche. Son histoire est intimement liée aux seigneurs de Châteauneuf-en-Thymerais. L'un d'eux, Hughes Ier, y fonda un monastère qui subsista jusqu’à la Révolution.

Belhomert-Guéhouville
Belhomert-Guéhouville
L'église Saint-Jean de Belhomert et la bibliothèque.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Perche
Maire
Mandat
Laurent Martineau
2020-2026
Code postal 28240
Code commune 28033
Démographie
Population
municipale
794 hab. (2021 en évolution de −1,24 % par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 24″ nord, 1° 03′ 30″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 271 m
Superficie 10,95 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction La Loupe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nogent-le-Rotrou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Belhomert-Guéhouville
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Belhomert-Guéhouville
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Belhomert-Guéhouville
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Belhomert-Guéhouville
Liens
Site web https://belhomertguehouville.fr

Géographie

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Situation

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Situé sur un axe routier reliant Châteauneuf-en-Thymerais à La Loupe, Belhomert est à la limite du Thymerais et du Perche. Le village se situe non loin de la forêt de Senonches au nord et la forêt de Montecôt au sud.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Provenant de l'ouest par Fontaine-Simon, la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse la commune pour se diriger ensuite vers l'est et Saint-Maurice-Saint-Germain.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Normandie (Cotentin, Orne) »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de La Loupe à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Belhomert-Guéhouville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Loupe, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), forêts (25 %), prairies (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), zones urbanisées (5,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Belhomert-Guéhouville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Livier et l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belhomert-Guéhouville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 85,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 432 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 383 sont en aléa moyen ou fort, soit 89 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Toponymie

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Belhomert est attesté sous les formes castellania Belomaris en 304, Belomer en 1146[17], de Bellomer en 1190[17].

Guéhouville est attesté sous les formes Guoonvilla en 1233 (charte de l’abbaye de Belhomert), Gaonvilla vers 1250 (pouillé), Gohouvilla en 1380 (charte de l’abb. de Saint-Jean-en-Vallée)[18].

Le 1er élément Be- de Belomer peut représenter le latin beatus, avec la sonorisation de la consonne dentale t intervocalique, puis sa disparition. Beatus Launomarus (Saint Lomer). Saint Lomer est né au hameau de Neuville à Claville (Eure), il devint successivement chanoine et économe ou prévôt dans l’église cathédrale de Chartres. Il se retira en 558 sur les bords de la rivière d’Eure, à l’entrée de la forêt du Perche (dont faisait alors partie celle de Senonches), et qui couvrait même l’emplacement de Belhomert. Il s’y bâtit une petite cellule avec des branches d’arbre, et, la sainteté de son nom lui ayant attiré plusieurs disciples, ceux-ci se construisirent des cabanes auprès de la sienne, afin de vivre sous sa discipline[19],[20],[21]. Ce lieu fut, depuis, appelé Belhomer.

Fusion réalisée de Belhomert d’avec Guéhouville, sous le nom de Belhomert-Guéhouville, par ordonnance royale du 5 septembre 1834[22] ; la commune de Guéhouville correspond à la section de la Gravardière de la nouvelle commune[20].

Histoire

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Ancien Régime

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Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Mars 2001 Mars 2014 François Perrot    
Mars 2014 Juillet 2020 Jean-Louis Igier SE Retraité
Juillet 2020 En cours Laurent Martineau    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Carte
Jumelages et partenariats de Belhomert-Guéhouville.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Belhomert-Guéhouville.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePays
Villafranca PiemonteItalie

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 794 habitants[Note 2], en évolution de −1,24 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
505603539451548621612623677
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
652637682662636630609595536
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
550535504456470451410468447
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
443437472589773808783800833
2014 2019 2021 - - - - - -
807799794------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Abbaye de Belhomer, de l'ordre de Fontevraud (détruite).
  • Église Saint-Jean, datant du XIIIe siècle.
  • Ancienne église Saint-Éloi de Guéhouville

Personnalités liées à la commune

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Blasonnement

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Les armoiries de Belhomert-Guéhouville se blasonnent ainsi :

D'azur à la porte de ville du lieu d'or, ouverte du champ, surmontée d'une banderole d'argent chargée de l'inscription « Beatus Launomatus » en lettres de sable, accompagné en chef dextre d'un écusson d'argent à trois chevrons de gueules et en chef senestre de l'inscription « Belhomert » en lettres gothiques d'or.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Belhomert-Guéhouville et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « La Loupe », sur la commune de La Loupe - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Loupe », sur la commune de La Loupe - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Loupe », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Belhomert-Guéhouville », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 983 (lire en ligne) [1].
  18. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  19. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, vol. 10, Société historique et archéologique de l'Orne, , p. 12.
  20. a et b Daniel Delattre, L'Eure-et-Loir : es 403 communes, Editions Delattre, , p. 22.
  21. L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, , p. 1001.
  22. Archives Nationales-F 2 II Eure-et-Loir 1.
  23. Laurent-Henri Cottineau, Répertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurés, 1935, p. 326, sur Gallica.
  24. Louis Joseph Fret, Antiquités et chroniques percheronnes, 1840, p. 428-429.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.