Belleville-en-Beaujolais

commune nouvelle du Rhône, France

Belleville-en-Beaujolais
De haut en bas, de gauche à droite : Belleville-sud au coucher du soleil ; Rue de la République ; Monts du Beaujolais à l'ouest de nuit ; Vue de la commune depuis le lac des Sablons.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Villefranche-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Saône Beaujolais
Maire
Mandat
Frédéric Pronchery
2020-2026
Code postal 69220
Code commune 69019
Démographie
Gentilé Bellevillois, Bellevilloises
Population
municipale
13 542 hab. (2021)
Densité 592 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 06′ 34″ nord, 4° 45′ 00″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 245 m
Superficie 22,86 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Belleville-en-Beaujolais
(ville-centre)
Aire d'attraction Belleville-en-Beaujolais
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Belleville-en-Beaujolais
(bureau centralisateur)
Localisation
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Liens
Site web http://www.mairie-belleville.fr/

Belleville-en-Beaujolais est une commune nouvelle située dans le département du Rhône, en région Auvergne-Rhône-Alpes, créée le [1].

Géographie modifier

Carte
Anciennes communes formant Belleville-en-Beaujolais.

Localisation modifier

Belleville-en-Beaujolais est une commune située en Val de Saône, dans l'Est Beaujolais, au Nord du département du Rhône.

Bordée à l'ouest par les reliefs du Beaujolais et à l'est par les prairies de l'Ain, la ville est située à une cinquantaine de kilomètres de la préfecture régionale, sur l'axe Paris-Lyon.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Nord-est du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 765 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Georges-Reneins », sur la commune de Saint-Georges-de-Reneins à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 723,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ST-GEORGES-REN (69) - alt : 190m, lat : 46°03'29"N, lon : 4°42'38"E
Records établis sur la période du 01-05-2002 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −0,1 2,4 5,6 9,4 13,5 14,8 14 10,6 7,6 4 1 6,9
Température moyenne (°C) 3,5 4,3 7,9 11,8 15,4 19,8 21,4 20,7 17 12,7 7,8 4,2 12,2
Température maximale moyenne (°C) 6,8 8,6 13,5 17,9 21,4 26,1 27,9 27,3 23,3 17,8 11,6 7,4 17,5
Record de froid (°C)
date du record
−14
13.01.03
−14,1
05.02.12
−11,8
01.03.05
−6,3
08.04.21
−0,6
17.05.12
4,3
08.06.19
6,9
05.07.02
5,6
26.08.18
1,4
29.09.02
−5,4
26.10.03
−6,8
28.11.13
−12,6
30.12.05
−14,1
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
10.01.15
21,9
25.02.21
25,5
31.03.21
28,4
25.04.07
33,8
25.05.09
37,7
22.06.03
39,7
25.07.19
40,6
24.08.23
34,6
10.09.23
30,9
02.10.23
22,8
03.11.05
19,4
31.12.22
40,6
2023
Précipitations (mm) 46,4 36,9 40,1 58,1 64 68,3 70,5 72,5 46,3 82,3 85,5 52,3 723,2
Source : « Fiche 69206001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Belleville-en-Beaujolais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belleville-en-Beaujolais, une agglomération inter-départementale regroupant 5 communes[11] et 20 384 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belleville-en-Beaujolais, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Morphologie urbaine modifier

Le premier janvier 2019[1], les communes de Belleville-sur-Saône et Saint-Jean-d'Ardières ont fusionné, devenant l'actuelle Belleville-en-Beaujolais.

Les zones urbanisées se concentrent majoritairement au centre de la commune, principalement encerclée par des terres agricoles au nord, sud et est, et des vignes à l'ouest.

Infrastructures modifier

Enceintes sportives modifier

La ville est dotée d'une piscine, composée de deux bassins couverts et d'un bassin en extérieur, de cinq stades de football, d'un skatepark, de trois terrains de tennis, d'une piste de course avec un terrain de basket en son centre, et enfin de deux gymnases couverts. La grande partie de ces infrastructures sont réunies à proximité les unes des autres, au sud de l'Avenue de Verdun (D109), et permettent d'accueillir de nombreuses activités sportives, pour tous les âges, tout au long de l'année

Toponymie modifier

Le nom Belleville-en-Beaujolais provient de l'ancienne commune de Belleville (appelée aussi Belleville-sur-Saône). Le Beaujolais désigne la région dans laquelle est situé le territoire communal.

Histoire modifier

D'après des fouilles en bord de Saône, le site de Belleville était habité depuis la préhistoire.

La commune de Belleville-en-Beaujolais se trouve sur le site d'une ancienne commune romaine, Luuna. Au Nord, à l'embouchure de l'Ardière, se trouvait un village Celte, nommé Aiguerande, version latinisée de Equerande, ayant donné son nom à un quartier de la ville ainsi qu'au lycée. Le territoire faisait ainsi partie de celui du peuple des Eduens. Une voie romaine s'y trouvait alors, reliant Lyon (Lugnumun) à Mâcon. Luuna disparaît après de multiples invasions.

Sous l'impulsion des Sires de Beaujeu. Humbert III entoure la ville de remparts et y fait construire un prieuré en 1158 qui deviendra une abbaye sous la demande du Pape, suivant la règle de Saint Augustin, en 1164. À la mort de son premier fils, Guichard, Humbert III fait de Belleville le lieu de sépulture de la famille de Beaujeu. Belleville est alors dotée d'une charte de franchise. La Saône permet d'effectuer du commerce, de bois, de blé, d'huile et de vin. Au Moyen Âge, Belleville se divisait en quatre quartiers ayant chacun à sa tête un capitaine, un lieutenant et un sergent.

Après une prospérité de près de deux siècles, Belleville connait la lèpre, la peste, les destructions et pillages pendant les guerres de religion au XVIe siècle.

En 1522, le Beaujolais est confisqué au connétable de Bourbon.En 1523, le domaine de François Ier s'étend alors jusqu'au Beaujolais, puis la région, érigée en comté, passe dans la maison d'Orléans. C'est de François Ier qu'est l'origine du symbole de Belleville, la salamandre, les armes de la commune étant : "D'azur à une salamandre d'argent dans des flammes de gueules.".

Lors du soulèvement de Lyon contre la Convention nationale, Belleville prend par un arrêté du Conseil Général, le 5 pluviose an II, le nom de Belluna, faisant référence à l'ancienne ville de Lunna[16].

Au XVIIIe siècle est construit l'Hôtel Dieu, permettant d’accueillir les pauvres de Belleville et des communes environnantes.

La construction du chemin de fer à l’ouest de la ville au milieu du XIXe siècle annonce le déclin du transport fluvial. En 1869 a été construite une ligne reliant Belleville à Beaujeu, fermée en 1987. Le 10 juillet 1854 est ouverte la voie reliant Paris à Lyon de la Ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles. La ville s’étend alors vers l’ouest et des industries modernes  en lien avec la vigne  (pulvérisateurs Berthoud, tonnellerie Roux …) viennent compléter le commerce des vins (on compte une quarantaine de maisons de vins en 1875). Dans les années 1960 a été construite l'autoroute A6, reliant Paris à Lyon, passant par Belleville.

Créée par un arrêté préfectoral du , elle est issue du regroupement des deux communes de Belleville et de Saint-Jean-d'Ardières qui deviennent des communes déléguées[1]. Son chef-lieu est fixé à Belleville.

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Belleville
(siège)
69019 CC Saône Beaujolais 10,42 8 262 (2016) 793
Saint-Jean-d'Ardières 69211 CC Saône-Beaujolais 12,44 4 514 (2016) 363

Liste des maires modifier

Période Identité Étiquette Qualité
8 janvier 2019[17] 1er septembre 2019[18] Bernard Fialaire MR Médecin généraliste
Maire de Belleville (1995 → 2018)
Conseiller départemental de Belleville-en-Beaujolais (2015 → 2021)
Président de la CC Saône Beaujolais (2014 → 2020)
[18] 23 mai 2020 Serges Fessy DVD Négociant en vins
Vice-président de la CC Saône Beaujolais (2014 → 2020)
23 mai 2020 En cours
(au 10 mars 2022)
Frédéric Pronchery DVD Vigneron
Conseiller départemental de Belleville-en-Beaujolais (2021 → )
1er vice-président de la CC Saône Beaujolais (2020 → )

Jumelages modifier

La ville est jumelée avec celles de Salzkotten, en Allemagne, depuis 1991, et de Kalarach, en Moldavie.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 13 542 habitants[Note 3].

Évolution de la population  [ modifier ]
2016 2021
12 77613 542
(Sources : Insee à partir de 2016[19].)

Festivités modifier

Depuis 2015 a lieu en août le festival DeZing qui allie musique, arts de rue et gastronomie pendant trois jours[20]. Sont venus y jouer Sanseverino, Zoufris Maracas ou encore Soviet Suprem.

Voies de communication et transports modifier

Desserte ferroviaire modifier

Belleville-en-Beaujolais est desservie par la Gare de Belleville-sur-Saône, permettant des liaisons directes au nord avec Paris Bercy, Dijon-ville ou encore Mâcon-ville, puis au sud avec Lyon Part-Dieu, Lyon Perrache et Valence-Ville en passant la gare de Villefranche-sur-Saône.

Infrastructures routières modifier

Belleville-en-Beaujolais dispose d'un accès à l'autoroute A6 par la sortie 30, reliant Paris à Lyon, bordant la commune par l'est.

Vue de l'autoroute A6 depuis un champ de la commune

Le centre ville est coupé par l'ancienne route nationale 6, connectant Paris à l'Italie par Lyon et Chambéry, aujourd'hui classée sur ce tronçon route départementale 306.

Transports routiers modifier

Transports publics à Belleville-en-Beaujolais (novembre 2022)

Neuf lignes d'autocars sillonnent le territoire communal :

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Maison des Templiers (non localisée)
  • L'abbatiale de l'Assomption de Belleville (ou Notre-Dame de Belleville) est un édifice classé monument historique depuis 1862. Témoin majeur de l'art roman dans la région, de par son architecture et ses dimensions, sa construction débute en 1168 par Humbert III, sire de Beaujeu et seigneur du Beaujolais et s'achève seulement 11 ans après, en 1179. L'église est consacré à la Vierge Marie. Il s'agit du cœur d'une abbaye de l'ordre de Saint-Augustin, détruite lors de la Révolution française. L'église Notre-Dame comprenait par ailleurs la nécropole des sires de Beaujeu. Les dimensions de l'édifice sont remarquables : 63 m de long et 28 m de large au niveau du transept. Son architecture extérieure présente une très grande homogénéité de style roman. L'intérieur est également de pur style roman, avec cependant quelques éléments du XIVe siècle dans le chœur. Subsistent à l'intérieur du bâtiment des peintures aux styles et couleurs médiévaux (plafonds, murs, colonnes) datant de la dernière grande restauration du XIXe siècle. Le mobilier liturgique du chœur a été créé en 2004 par l'artiste Goudji. L'église Notre-Dame de Belleville est l'église principale de la paroisse Saint-Augustin en Beaujolais qui regroupe les communes de Belleville, Saint-Georges-de-Reneins, Saint-Jean d'Ardières, Taponas et Dracé.
  • Les Etablissements C.Roux et fils, fondés par la famille Roux en 1854, spécialisés dans la fabrique de parquet et de tonneaux. L'usine Roux constituait un site patrimonial exceptionnel présentant l'histoire d'une des plus grandes entreprise de la région entre le XIXème et XXème siècles. La commune a acheté les bâtiments de la tonnellerie en 2015 pour y aménager un musée.
  • La maison des Beaujolais offre un intéressant point de départ à une découverte du vignoble. Inaugurée en 1952, véritable nouveauté à une époque où les lieux de ce type étaient rares, elle est située le long de la nationale qui, jusqu'à l'ouverture de l'autoroute, voyait défiler les amateurs de soleil et de douceur méditerranéenne. Elle donne au visiteur un aperçu complet de l'ensemble des appellations beaujolaises et le guide dans ses achats.
  • Le château de Pizay date des XIVe et XVIIe siècles. Situé au milieu de 50 hectares de vignes, avec un jardin à la française, il abrite un hôtel et un SPA renommé.
  • La chapelle de Brouilly, appelée Notre-Dame-du-Raisin ou Madone de Brouilly, est une chapelle votive consacrée à la Vierge pour qu'elle détourne la grêle, les gelées et autres fléaux (oïdium) de la vigne. Depuis 1857, la Dame est l'objet chaque 8 septembre d'un pèlerinage.
  • L'aérodrome de Belleville, qui permet une activité essentiellement tournée vers l'ULM, se trouve sur la commune.

Personnalités liées à la commune modifier

  • La famille Roux, notamment Charles Roux (1854-1921), César Roux (1884-1927) et Charles Roux (1911-1979), propriétaires des Etablissements C.Roux et Fils, qui firent rayonner la ville de Belleville.
  • Victor, Germain Roux (dit "Cossieux") (1922-1945), fils de César (1884-1927), directeur des Etablissements C.Roux et fils, et de Blanche Mulsant (1884-1968), Lieutenant l'Armée Secrète, groupe Périclés; instructeur puis chef de groupe à Lyon. Mort pour la France, Croix de guerre 39/45 avec palme, Légion d'Honneur, Médaille de la Résistance. Il grandit à Belleville.
  • Philibert Claitte (1859-1938), sculpteur français, y est né.
  • Francis Popy (1874-1928), compositeur de musique, y est mort. L'école de musique de Belleville porte son nom, comme le parc qui l'entoure (et jouxte la mairie) ainsi qu'une rue de la ville.
  • Gabriel Voisin (1880-1973), pionnier français de l'aéronautique, y est né.
  • Philippe Gardent (1964-), ancien joueur de handball, notamment champion du monde, y est né.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. a b et c Emmanuel Aubry, « Arrêté relatif à la création de la commune nouvelle de Belleville-en-Beaujolais », Recueil des actes administratifs spécial n°69-2018-089,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Belleville-en-Beaujolais et Saint-Georges-de-Reneins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-Georges-Reneins », sur la commune de Saint-Georges-de-Reneins - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St-Georges-Reneins », sur la commune de Saint-Georges-de-Reneins - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Belleville-en-Beaujolais », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belleville-en-Beaujolais », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Recherches sur l'emplacement de Lunna: et sur deux voies romaines traversant la partie Nord du département du Rhône, Lyon, L. Perrin, , 27 p. (lire en ligne), p23
  17. « Belleville-en-Beaujolais : une direction tricéphale pour la commune nouvelle », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
  18. a et b « Belleville-en-Beaujolais : Serges Fessy assis dans le fauteuil de maire », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Ingrid Becuwe, « À force de volonté, ces « Dezingués » ont fait naître leur festival », sur La Progrès, (consulté le ).