Bordes-Uchentein
Bordes-Uchentein est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Bordes-Uchentein | |||||
De haut en bas, de gauche à droite : l'église St-Étienne d'Uchentein ; Mont Valier vu d'avion ; vue des Bordes-sur-Lez ; l'église Notre-Dame d'Ourjout ; l'église St-Pierre d'Ourjout. |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Patrick Laffont 2020-2026 |
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Code postal | 09800 | ||||
Code commune | 09062 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
213 hab. (2021) | ||||
Densité | 3,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 53′ 55″ nord, 1° 01′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 548 m Max. 2 838 m |
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Superficie | 54,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Couserans Ouest | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | com-bordes-uchentein.pagesperso-orange.fr | ||||
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De statut commune nouvelle, elle est issue le des anciennes communes des Bordes-sur-Lez et d'Uchentein.
Bordes-Uchentein est une commune rurale qui compte 213 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons.
Le patrimoine architectural de la commune comprend cinq immeubles protégés au titre des monuments historiques : la chapelle d'Aulignac, inscrite en 1995, le dolmen d'Ayer, classé en 1889, l'église Notre-Dame d'Ourjout, classée en 1910, le Pont de Bordes-sur-Lez, inscrit en 1941, et l'église Saint-Étienne d'Uchentein, classée en 1941.
Géographie
modifierLocalisation
modifierC'est une vaste commune de montagne située au sud-ouest du département de l'Ariège, dans le Couserans, et qui comprend sur son territoire l'emblématique mont Valier et sa réserve domaniale. Des passages pédestres vers l'Alt Aneu (comarque de Pallars-Sobirà), notamment par le col de la Pale de la Claouère (2 522 m), col assez difficile côté espagnol.
Uchentein est un village en soulane, c'est-à-dire particulièrement bien exposé, il offre un belvédère depuis le village et tout au long de la route plane conduisant à Balacet, commune proche. Ce parcours est adapté aux personnes ayant des difficultés à randonner et aux jeunes enfants.
Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais, en Couserans, elle fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Castillon-en-Couserans, Bethmale, Arrien-en-Bethmale, Bonac-Irazein, Balacet, Seix, Salsein et Audressein.
Géologie et relief
modifierLa commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Elle est traversée par la Faille nord-pyrénéenne, qui sépare la Zone axiale pyrénéenne (ZA) ou haute chaîne primaire de la Zone nord-pyrénéenne (ZNP), au nord. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma, et pour d'autres du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma (millions d'années). La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « no 1073 - Aspect » et « no 1074 - Saint-Girons » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[3],[4] et leurs notices associées[5].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 54,48 km2[6],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 49,48 km2[4]. Son relief est particulièrement découpé puisque la dénivelée maximale atteint 2 290 mètres. L'altitude du territoire varie entre 548 m et 2 838 m[9].
Hydrographie
modifierLa commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[10]. Elle est drainée par le Lez, le Riberot, le Balamet, le ruisseau de l'Etruc, le Lazié, le Muscadet, le Trapech, le ravin de Roule, le ruisseau d'Aouen, le ruisseau de Barlonguère, le ruisseau de Cazalus, le ruisseau de Gerbat, le ruisseau de Langue, le ruisseau de Lazié, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 74 km de longueur totale[11],[12].
Le Lez, d'une longueur totale de 35,8 km, prend sa source dans la commune de Sentein et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Saint-Girons, après avoir traversé 11 communes[13].
Le Riberot, d'une longueur totale de 13,8 km, est entièrement situé sur la commune. Il prend sa source en amont de l'étang Long, près du pic de Sernaille, à l'extrémité sud de la commune, et se jette dans le Lez près du hameau de Ayer, en amont du bourg[14].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 096 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Augirein à 10 km à vol d'oiseau[17], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 257,9 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bordes-Uchentein est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Hameaux et lieux-dits
modifierLes Bordes-sur-Lez détient deux églises car autrefois divisé en deux paroisses : Ourjout sur la rive gauche du Lez et Bordes qui a donné son nom au village sur la rive droite. Deux hameaux possèdent aussi des chapelles : Aulignac et Idrein. La fusion opérée avec Uchentein, effective en 2017, ajoute l'église Saint-Étienne.
La majeure partie de la superficie de la commune est composée de la vallée du Ribérot et de la haute montagne qu'elle dessert pour une grande part domaniale. Ayer est le seul hameau encore habité de cette vallée qui s'étend jusqu'à la frontière espagnole. La crête partant du Tuc de la Pale de la Clauère (2 677 m) jusqu'au Tuc de Mil (2 802 m) est commune avec la Catalogne espagnole mais c'est le Mont Valier (2 838 m), sommet emblématique du Couserans, qui est le pic le plus fréquenté de cette vallée grâce notamment au refuge des Estagnous (gardé à la belle saison).
Les Arts, Esperris, Seps, Lafajole.... sont des hameaux liés à l'ancienne commune d'Uchentein.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Bordes-Uchentein est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[24],[25].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, le Lens, ou ruissellement d'un versant[26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Bordes-Uchentein[27]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[28].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation, mouvement de terrain et avalanche approuvé le 4 décembre 2015et le 18 octobre 2018 pour l'ancienne commune des Bordes-sur-Lez[29].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Bordes-Uchentein est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].
Toponymie
modifierHistoire
modifierPréhistoire
modifierUn menhir de deux mètres de haut, situé au lieu-dit les Arz à Uchentein, a été signalé en 1882 par Félix Pasquier, archiviste de l'Ariège à Foix et membre de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts. L'abbé David Cau-Durban signale la découverte d'ossements humains, de fragments de poterie et 27 objets de bronze datés de l’âge du fer, ces derniers outils été trouvés en 1880 au lieudit Grotte / Garrides de Bacher ou encore Garricks de Bacher à Uchentein.
Le dolmen d'Ayer est classé monument historique depuis 1889.
Moyen Âge
modifierParmi les ponts remarquables du département, le pont à Ourjout a été construit dès la seconde moitié du XIIIe siècle. Les chapelles d'Ourjout et d'Aulignac remontant également au Moyen Âge.
En 2012, des peintures murales romanes ont été découvertes dans l'église Saint-Pierre du hameau d'Ourjout lors de travaux de restauration. Pour la DRAC, ces œuvres dateraient du XIIe siècle et elles sont comparables en de nombreux points aux peintures du Maître de Taüll. En décembre 2014, le préfet de région Pascal Mailhos annonce la restauration et la valorisation de cette fresque romane dont l'état de conservation est exceptionnel.
Pour en savoir plus, vous pouvez visiter le site Internet de l'association Patrimoine Art Culture de Bordes-Uchentein[31].
Carrières de marbre réputées
modifierÀ Uchentein, un marbre beige teinté de rosé, veiné de vert ou de rouge appelé l’Escalette en était extrait jusqu'en 1977. Destiné à l'export vers les États-Unis, il fut également en France l'apparat de bâtiments notamment à la Défense, Lyon, Bordeaux, Tours... Si Raymond Lizop (1879-1969), professeur à l'Université de Toulouse et membre de la Société française d'archéologie, a démontré que les marbres de la haute vallée du Lez ont été exploités dans l'Antiquité, ni le baron de Dietrich, ni Louis Marrot ne font état de l'existence de carrières à Uchentein du XVIIIe siècle au début du XIXe. Ils ne signalent pas non plus une quelconque tradition antérieure. L'exploitation n'en est du reste documentée qu'à partir de 1920.
Ces carrières de marbre, d'accès difficile, sont situées à 1 215 m d'altitude. Un sentier de randonnée balisé offre une immersion dans les vestiges de ces carrières. Il en était extrait des blocs taillés avec des câbles d'acier, pesant jusqu'à 14 tonnes. Descendus sur un chariot retenu par un câble, ils étaient ensuite transportés dans l'Hérault pour y être débités et polis.
Le chemin de la Liberté à son point haut
modifierLors de la Seconde Guerre mondiale, la frontière franco-espagnole devient une possibilité de transit pour de nombreuses personnes fuyant le régime nazi ou voulant poursuivre le combat au sein de la France libre. Le chemin de la Liberté[32] de Saint-Girons à Esterri d'Àneu passait au refuge des Estagnous, puis franchissait la frontière par le col de la Pale de la Claouère où une stèle rend hommage aux Passeurs.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Bordes-Uchentein est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[34].
Communes déléguées
modifierNom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Les Bordes-sur-Lez (siège) |
09062 | CC Couserans-Pyrénées | 50,46 | 165 (2014) | 3,3
|
Uchentein | 09317 | CC Couserans-Pyrénées | 4,02 | 20 (2014) | 5 |
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2021, la commune comptait 213 habitants[Note 3], en évolution de +17,03 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Loisirs et festivités
modifierÉconomie
modifier- Usine hydroélectrqiue EDF de Bordes
- Restaurant : "Le Sainte-Hélène", cuisine traditionnelle du terroir, à Bordes.
- Restaurant et gîte : "La Maison du Valier", auberge de montagne et gîte d'étape au départ des randonnées du massif du mont Valier, au plat de la Lau, à l'extrémité de la vallée du Ribérot.
- Refuge des Estagnous[36] : situé à 2 246 m d'altitude sur le mont Valier (2 848 m), ouvert de juin à octobre (vérifier les dates de début et fin de saison, la météo du jour, réservation obligatoire, longue marche assez difficile avec chaussures et vêtements appropriés, coupe-faims), repas et nuitées (72 places en dortoir). Une via ferrata relie le refuge à l’étang long. Surplombant l’étang rond, elle permet une découverte de la verticalité en sécurité et un point de vue de grande qualité. Avec un départ possible depuis le refuge ou de l’étang Long, l'itinéraire total orienté ouest est de 1 200 m, dont 620 m équipés en deux parties et pour 150 m de dénivelé. La durée aller est de 2 h 30. Cette via ferrata est classée en difficulté D, c'est-à-dire difficile.
Culture locale et patrimoine
modifierLa commune compte un patrimoine préhistorique et historique important et remarquable mis en valeur et sauvegardé notamment par l'association Patrimoine Art Culture de Bordes-Uchentein[31]. Des conférences et visites sont régulièrement organisées[37].
Le patrimoine naturel est étendu et également remarquable, notamment avec le massif du mont Valier, les lacs d'altitude et cascades, les gouffres...
Lieux et monuments
modifier- Église Saint-Pierre d'Ourjout, classée en 1910
- Chapelle d'Aulignac (XIIIe siècle), inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1995[38].
- Pont de Bordes-sur-Lez (XIIIe siècle) inscrit en 1941
- Église Saint-Étienne d'Uchentein (XVIIIe siècle), classée en 1995.
- Église Saint-Germier des Bordes-sur-Lez.
- Église Saint-Jean-Baptiste d'Idrein.
- Dolmen d'Ayer, classé en 1889
- Dolmen de l'Auerde
- Refuge des Estagnous sur la voie en randonnée du mont Valier par le col de Faustin
- étang Long et étang Rond, près du Mont Valier, pic de Barlonguère...
- Cascade de Nérech sur le cours du Ribérot.
- Gouffre du Pourtillou, jusqu'à -332 m de dénivelé.
Personnalités liées à la commune
modifier- David Cau-Durban (1844-1908), abbé de Bordes-sur-Lez et archéologue-historien du Couserans, auteur de nombreux ouvrages historiques.
- Jean-Louis Georgelin (1948-2023), général d'armée, ancien chef d'état-major des Armées, et responsable de la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris de 2019 décède le vendredi 18 août 2023 en contrebas du col du Faustin, sur le territoire communal, lors d'une randonnée au mont Valier[39].
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierIl convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.
Articles connexes
modifier- Liste des communes de l'Ariège
- Liste des communes nouvelles créées en 2017
- Frontière entre l'Espagne et la France
- Couserans
- Liste des refuges des Pyrénées
- Liste des cavités naturelles les plus profondes de l'Ariège
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[7],[8]
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifierRéférences
modifierSite de l'Insee
modifierAutres sources
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
- « Carte géologique de Bordes-Uchentein » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Bordes-Uchentein », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 1074 - Saint-Girons de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Bordes-Uchentein », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- Source : Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Bordes-Uchentein », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- « Carte hydrographique de Bordes-Uchentein » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « le Lez »
- Sandre, « le Riberot »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bordes-Uchentein et Augirein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Augirein » (commune d'Augirein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Augirein » (commune d'Augirein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bordes-Uchentein », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », sur georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque radon.
- « Patrimoine, art et culture de Bordes-Uchentein » (consulté le ).
- « Le chemin de la Liberté ».
- « communauté de communes Couserans-Pyrénées - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Refuge des Estagnous ».
- « Bordes-Uchentein. Préparation de la journée médiévale : "C’est la dernière ligne droite" », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- « Chapelle d'Aulignac », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/le-general-jean-louis-georgelin-qui-supervisait-la-reconstruction-de-la-cathedrale-notre-dame-de-paris-est-mort-lors-d-un-accident-de-randonnee-en-ariege_6014378.html