Caroline Kirkland

écrivaine américaine
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Caroline Mathilda Stansbury Kirkland, plus connue sous le nom de Caroline Kirkland, née le à New York dans l'État de New York et morte le à New York, est une romancière, nouvelliste, essayiste, mémorialiste, anthologiste, une enseignante et éditrice américaine.

Caroline Kirkland
Biographie
Naissance

New York
Décès
(à 63 ans)
New York
Sépulture
Cimetière de Green-Wood de Brooklyn
Nom de naissance
Caroline Matilda Stansbury
Pseudonyme
Mary Clavers, Aminadab Peering
Nationalité
américaine
Activité
nouvelliste, romancière, essayiste, éditrice, enseignante
Père
Samuel Stansbury
Mère
Eliza Alexander Stansbury
Conjoint
William Kirkland
Enfant
quatre enfants dont le romancier Joseph Kirkland
Autres informations
Religion
Unitarisme
Œuvres principales
Memoirs of Washington, A New Home—Who'll Follow ? A Book for the Home Circle

Très populaire de son vivant, elle est oubliée après sa mort, pour être redécouverte par les mouvements féministes des années 1960, où son style est considéré comme précurseur de celui Mark Twain par son sens de la satire et de Hamlin Garland et E. W. Howe (en) pour son réalisme.

Biographie

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Jeunesse et formation

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Le cadre familial

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Caroline Mathilda Stansbury est l'aînée des onze enfants et l'une des deux filles de Samuel Stansbury et d'Eliza Alexander Stansbury. Sa mère est une femme lettrée qui, à l'occasion rédige, des morceaux littéraires et transmet à sa fille une expression propre à la sensibilité féminine. Son grand père paternel, Joseph Stansbury, était un loyaliste convaincu durant la guerre d'indépendance et s'est fait connaître par la publication d'œuvres satiriques sous le pseudonyme de Roderick Random. Caroline Mathilda Stansbury a lu les satires de son grand père et a appris que l'humour satirique est préférable à la haine. Samuel Stansbury va d'un emploi à un autre, pour enfin se fixer comme agent d'assurance. Il transmet à sa fille son amour des livres, amour réciproque, faisant de Caroline Mathilda son enfant préférée[1],[2],[3],[4],[5],[6].

L'éducation de Caroline Mathilda Stansbury

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La sœur de Samuel Stansbury, Lydia a épousé un quaker de Philadelphie, Robert Mott. En même temps que son mariage Lydia P. Mott se convertit au quakerisme. Lydia P. Mott dirige plusieurs Séminaire féminin[a], et y intègre sa nièce qui y suit un enseignement de qualité. Caroline M. Stansbury excelle dans le latin, la littérature française, elle apprend également le grec et l'allemand. Comme toutes les jeunes filles de son temps, elle reçoit une formation en dessin, musique et danse[1],[2],[7],[5],[6].

Dès 1820, Caroline M. Stansbury seconde sa tante et commence à donner des cours de littérature anglaise dans des établissements à Poughkeepsie, New Hartford et Skaneateles[1],[2],[6],[8].

La mort de son père

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Hamilton College

Dès 1820, Samuel Stansbury souffre de paralysie, sa santé se détériore et décède durant le printemps 1822, quelques mois après le vingt-et-unième anniversaire de sa fille Caroline M. Stansbury. Sa mère, Eliza Alexander Stansbury, confie à son aînée la responsabilité de la famille. Cette épreuve fait mûrir Caroline M. Stansbury. Pour gagner sa vie elle multiplie les cours dans les établissements. Pour assurer la formation de ses jeunes frères, elle les inscrit au Hamilton College de Clinton. C'est dans ce cadre qu'elle fait la connaissance de William Kirkland qui est instructeur au sein du Hamilton College. William Kirkland est issu d'une famille d'universitaires comme Samuel Kirkland ou John Thornton Kirkland (en)[9],[1],[6].

Carrière

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Fondation d'une première école : 1828-1835

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En 1828, après leur mariage, celle qui est devenue Caroline Kirkland et son époux William Kirkland emménagent à Geneva (New York) où ils fondent une école pour jeunes filles et y enseignent l'un comme l'autre. Pendant cette période, le couple donne naissance à quatre enfants : trois filles, Elizabeth, Lydia, Sarah et un fils Joseph Kirkland (en). L'expérience n'étant guère satisfaisante, les Kirkland décident durant le printemps 1835 de quitter l'État de New York pour se rendre dans ce qui est encore le Territoire du Michigan, pour y trouver de meilleures perspectives[10],[11],[1],[5].

L'installation à Detroit : 1835- 1843

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Edgar Allan Poe.
Fenimore Cooper.

Le Territoire du Michigan, grâce à l'ouverture du canal Érié connait une explosion économique suivi d'une vague de pionniers. Une fois arrivés à Detroit, les Kirkland cherchent des emplois pour gagner leur vie. William Kirkland accepte le poste de directeur du Detroit Female Seminary qui vient d'ouvrir et Caroline Kirkland y donne des cours. Le Michigan étant en pleine expansion, des terres en friches sont à acheter, de nouveaux villages se développent. Le village de Pinckney (Michigan) dans le comté de Livingstone fait savoir dans la presse locale qu'il est en quête de nouveaux venus, William Kirkland y achète un terrain de 52 hectares, et en 1837, lui et sa famille s'y installent. La situation géographique du village le place à la frontière de l'Ouest sauvage. C'est cette expérience de pionnière de la frontière que décrit Caroline Kirkland dans ses romans A New Home, Who'll Follow ? et Forest Life, qu'elle fait publier sous le pseudonyme de Mary Clavers, an Actual Settler (« Mary Clavers, une authentique pionnière »). Elle y décrit, sans fards, des conditions de vie rudes, voire violentes des pionniers, bien loin des images romantiques qu'elle avait perçues à la lecture du roman Atala de Chateaubriand, notamment la vie de sacrifices des femmes nullement préparées à ces épreuves. Son style à la fois direct et satirique suscite l'admiration du public notamment britannique, mais aussi celle d'Edgar Poe. Ses écrits se démarquent des récits romantiques de Washington Irving, de Fenimore Cooper ou de Charles Fenno Hoffman (en). Pendant cette période, d'autres enfants naissent : Cordelia en 1835, William en 1837 et leur dernier enfant Charles Pinckney en 1839 et qui décède l'année d'après[1],[5],[12],[3],[13],[14],[15],[16].

Le retour à New York

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Une vie littéraire
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Les Kirkland face à l'instabilité de leurs revenus, renoncent à l'agriculture pour retourner à New York en 1843. Ils y ouvrent une école pour filles, William Kirkland publie également des articles pour l'Evening Mirror, The United States Magazine and Democratic Review (en) et fonde avec le révérend Henry Whitney Bellows (en) la revue unitarienne The Christian Inquirer et de son côté, Caroline Kirkland publie en 1845, son recueil de nouvelles Western Clearings[1],[3],[6],[17].

La tragédie
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En , le corps de William Kirkland est trouvé sur les rives de l'Hudson aux abords de Fishkill, victime d'une noyade accidentelle. Caroline Kirkland, devenue veuve devient la seule à devoir pourvoir aux besoins de ses enfants[1],[3],[18].

L'éditrice

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Mary Henderson Eastman.
Evert Augustus Duyckinck.

Caroline Kirkland reprend la direction éditoriale du Christian Inquirer, puis en fonde la revue l'Union Magazine of Literature and Art 1847-1852[19], à côté de la direction de la revue, elle y écrit divers articles. Sous sa direction, l'Union Magazine of Literature and Art 1847-1852 se fait connaitre par sa qualité littéraire et par le lancement de nouveaux talents. Autour d'elle se rassemblent William Cullen Bryant, Nathaniel Parker Willis, Evert Augustus Duyckinck (en)[20] et son frère George Long Duyckinck (en), Lydia Sigouney, Lydia Maria Child, Catharine Sedgwick, elle préface des livres comme Dacotah de Mary Henderson Eastman[1],[6],[21],[22].

Un premier voyage en Europe

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En 1848, grâce à ses revenus d'éditrice, Caroline Kirkland entreprend un premier voyage en Europe. Elle fait la traversée de l'Atlantique avec un couple d'amis unitariens le révérend Henry Whitney Bellows (en)[23] et son épouse. Arrivée en Europe, elle écrit et envoie plusieurs articles à destination de l'Union Magazine of Literature and Art 1847-1852. L'ensemble de ses articles sont publiés en 1849 sous le titre de Holidays Abroad, or Europe from the West[6],[24].

Les déceptions du retour

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Quand elle retourne aux États-Unis quelques mois après, c'est pour découvrir que l'Union Magazine of Literature and Art est vendu à John Sartain et William Sloanaker pour devenir le Sartain's Union Magazine of Literature and Art, qu'elle est reléguée à un simple rôle de journaliste et de faire valoir. Elle quitte le magazine en 1851[25],[24],[22].

Rebondir

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En 1852, Caroline Kirkland publie The Evening Book Or Fireside Talk On Morals And Manners, With Sketches Of Western Life suivi de A Book For The Home Circle: Or Familiar Thoughts On Various Topics, Literary, Moral And Social publié en 1853.

La guerre de Sécession

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Vie privée

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En 1822, Caroline Mathilda Stansbury et William Kirkland se fiancent, leur mariage est célébré le [1],[6].

Caroline Kirkland repose au cimetière de Green-Wood de Brooklyn[2].

Œuvres

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Romans et nouvelles

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Traités, guides et essais

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  • Holidays Abroad, or Europe from the West, New York, Charles Scribner (1re éd. 1849), 341 p. (OCLC 50945873, lire en ligne),
  • The Evening Book : Or Fireside Talk On Morals And Manners, With Sketches Of Western Life, New York, Charles Scribner (1re éd. 1852), 326 p. (OCLC 172696049, lire en ligne),
  • A Book For The Home Circle : Or Familiar Thoughts On Various Topics, Literary, Moral And Social, New York, Charles Scribner, , 312 p. (ISBN 9781165275014, OCLC 1194283187),
  • The Helping Hand : Comprising an Account of the Home, for discharged Female Convicts, and an Appeal in behalf of that Institution, New York, Charles Scribner, , 157 p. (OCLC 367961239, lire en ligne),
  • A Few Words in Behalf of the Loyal Women of the United States, New York, Wm. C. Bryant & Co, , 32 p. (OCLC 255402808, lire en ligne),

Mémoires

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Anthologie

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  • Patriotic Eloquence : Being Selections From One Hundred Years of National Literature, New York & Cleveland, C. Scribner & Co & Ingham & Bragg, , 360 p. (OCLC 671567084, lire en ligne),

Regards sur son œuvre

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Selon Stacy L. Spencer, pasteure de la New Direction Christian Church, le roman A New Home, Who'll Follow ? montre l'influence des femmes en tant qu'épouses et mères sur la stabilisation d'une société exposée aux désordres, rejoignant en cela les thèses de Catharine Beecher et de Tocqueville sur les rôles déterminant des femmes pour établir la Démocratie. A New Home, Who'll Follow ? est une description satirique de la vulgarité, de la grossièreté des situations générées par les hommes. Pour elle, Caroline Kirkland se démarque de la littérature des auteures de son temps, elle est une des rares femmes à utiliser l'humour critique et la satire avec Fanny Fern et la britannique Frances Trollope[6].

Selon la professeure Lori Merish, avec son roman A New Home, Who'll Follow Caroline Kirkland, définit un nouveau style de roman soucieux de réalisme, de descriptions précises, voire méticuleuses de la vie quotidienne qui serait le propre des femmes attentives plus que les hommes aux détails de la vie quotidienne, apportant ainsi la vision des femmes dans la littérature. Style avant coureur de la littérature féminine de Sarah Orne Jewett ou de Mary Eleanor Wilkins Freeman[26].

Confirmant cette originalité de A New Home, Who'll Follow, la critique et professeure Kerry Driscoll écrit que ce roman apporte le point d'une femme sur la vie aux frontières de l'Ouest sauvage, complétant ainsi les rapports, articles, romans rédigés par des hommes. Originalité en décrivant les tâches quotidiennes des femmes, lavage, repassage, préparation des repas, éducation des enfants, tâches nécessaires au bon fonctionnement des implantations. Elle rappelle que les femmes ont un rôle central quant à la vie de ces nouvelles implantations. Descriptions rédigées avec des pointes d'humour plus ou moins satiriques. contrairement à des auteurs comme J. Hector St John de Crèvecoeur elle refuse élan de type romantique autour des horizons sans frontières, horizons de liberté. Son roman n'est-il pas indispensable à la compréhension de la vie des communautés, l'instauration de la démocratie et une meilleure intelligibilité de l'expérience américaine[27]?

Le professeur Nathaniel Lewis du Saint Michael’s College, contextualise A New Home, Who'll Follow par une étude comparative des divers romans traitant l'Ouest sauvage et les oeuvres que connaissait Caroline Kirkland par ses divers correspondances. Son travail critique valorise l'innovation stylistique de Caroline Kirkland en faisant la démonstration qu'elle su se libérer des conventions stylistiques de son temps pour apporter avec autorité son propre style[28].

Notes et références

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Références

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  1. a b c d e f g h i et j (en-US) Paul Wilson Boyer (dir.), Notable American Women : A Biographical Dictionary, vol. 2 : G-O, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of Harvard University Press, , 659 p. (ISBN 9780674288355, lire en ligne), p. 337-339
  2. a b c et d (en-US) Anne Commire & Deborah Klezmer (dir.), Women in World History : A Biographical Encyclopedia, vol. 8 : Jab-Kyt, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications / Gale Cengage, , 879 p. (ISBN 9780787640675, lire en ligne), p. 687-688
  3. a b c et d (en-US) John A. Garraty (dir.), American National Biography, vol. 12 : Jeremiah - Kurtz, New York, Oxford University Press, USA, , 955 p. (ISBN 9780195127911, lire en ligne), p. 759-760
  4. (en-US) William S. Osborne, Caroline M. Kirkland, New York, Twayne Publishers, , 170 p. (OCLC 566091224, lire en ligne), p. 16-17
  5. a b c et d (en-US) Ana-Isabel Aliaga-Buchenau, « 'The Magic Circle': Women and Community Formation of a Frontier Village in Caroline Kirkland's "New Home - Who'll Follow?" », Critical Survey, Vol. 16, No. 3,‎ , p. 62-77 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  6. a b c d e f g h et i (en-US) Stacy L. Spencer, « Caroline Kirkland (1801–1864) », Legacy, Vol. 8, No. 2,‎ , p. 133-140 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  7. William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 17
  8. William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 18
  9. William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 18-19
  10. William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 18
  11. William S. Osborne, op.cit. (lire en ligne), p. 22
  12. William S. Osborne, op.cit. (lire en ligne), p. 22-26
  13. (en-US) Lina Mainiero (dir.), American Women Writers : A Critical Reference Guide From Colonial Times To The Present, New York, Frederick Ungar, , 583 p. (ISBN 9780804431514, lire en ligne), p. 471-473
  14. (en-US) Annette Kolodny, The Land Before Her : Fantasy and Experience of the American Frontiers, 1630-1860, Chapel Hill, Caroline du Nord, University of North Carolina Press, , 299 p. (ISBN 9780807841112), p. 131-158
  15. (en-US) Christine Daniels (dir.), Over the Threshold : Intimate Violence in Early America, New York, Routledge, , 297 p. (ISBN 9780415918053, lire en ligne), p. 135-147
  16. (en-US) Cathryn Halverson, Playing House in the American West : Western Women’s Life Narratives, 1839-1987, Tuscaloosa, Alabama, University Alabama Press, , 256 p. (ISBN 9780817318031, lire en ligne), p. 14-35
  17. William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 26
  18. William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 28
  19. (en-US) « Union Magazine of Literature and Art 1847-1852 », sur Archive.org
  20. (en) « Evert Augustus Duyckinck », sur Britannica
  21. William S. Osborne, op.cit. (lire en ligne), p. 28-29
  22. a et b (en-US) Audrey J. Roberts, « New Light on Caroline Kirkland's New York Years », American Literary Realism, Vol. 36, No. 3,‎ , p. 269-276 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  23. (en-US) John A. Garraty & Mark C. Carnes (dir.), American National Biography, vol. 2 : Baker-Blatch, New York, Oxford University Press, USA, , 959 p. (ISBN 9780195206357, lire en ligne), p. 530-531
  24. a et b William S. Osborne, op. cit. (lire en ligne), p. 30
  25. (en-US) Heidi M. Schultz, « The Editor's Desk at "Sartain's Magazine": 1849—1851 », American Periodicals, Vol. 6,‎ , p. 92-134 (43 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  26. (en-US) Lori Merish, « "The Hand of Refined Taste" in the Frontier Landscape: Caroline Kirkland's "A New Home, Who'll Follow?" and the Feminization of American Consumerism », American Quarterly, Vol. 45, No. 4,‎ , p. 485-523 (39 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  27. (en-US) Kerry Driscoll, « Reviewed Work: A New Home, Who'll Follow? by Caroline Kirkland », Legacy, Vol. 8, No. 1,‎ , p. 66-68 (3 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  28. (en-US) Nathaniel Lewis, « Penetrating the Interior: Recontextualizing Caroline Kirkland's "A New Home, Who'll Follow?" », American Literary Realism, 1870-1910, Vol. 31, No. 2,‎ , p. 63-71 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices dans des encyclopédies et manuels de références

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  • (en-US) Paul Wilson Boyer (dir.), Notable American Women : A Biographical Dictionary, vol. 2 : G-O, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of Harvard University Press, , 659 p. (ISBN 9780674288355, lire en ligne), p. 337-339. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
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  • (en-US) Cathryn Halverson, Playing House in the American West : Western Women’s Life Narratives, 1839-1987, Tuscaloosa, Alabama, University Alabama Press, , 256 p. (ISBN 9780817318031, lire en ligne), p. 14-35. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,

Essais et biographies

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Articles

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  • (en-US) Stacy L. Spencer, « Caroline Kirkland (1801–1864) », Legacy, Vol. 8, No. 2,‎ , p. 133-140 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Lori Merish, « "The Hand of Refined Taste" in the Frontier Landscape: Caroline Kirkland's "A New Home, Who'll Follow?" and the Feminization of American Consumerism », American Quarterly, Vol. 45, No. 4,‎ , p. 485-523 (39 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Dawn E. Keetley, « Unsettling the Frontier: Gender and Racial Identity in Caroline Kirkland's A New Home, Who'll Follow? and Forest Life », Legacy, Vol. 12, No. 1,‎ , p. 17-37 (21 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Nathaniel Lewis, « Penetrating the Interior: Recontextualizing Caroline Kirkland's "A New Home, Who'll Follow?" », American Literary Realism, 1870-1910, Vol. 31, No. 2,‎ , p. 63-71 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Jennifer Andrews, « A Different Kind of Reality: Reading the Humor of Caroline Kirkland's "A New Home, Who'll Follow?" », Studies in American Humor, New Series 3, No. 10,‎ , p. 5-20 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Elizabeth C. Barnes, « The Politics of Vision in Caroline Kirkland's Frontier Fiction », Legacy, Vol. 20, No. 1/2,‎ , p. 62-75 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Ana-Isabel Aliaga-Buchenau, « 'The Magic Circle': Women and Community Formation of a Frontier Village in Caroline Kirkland's "New Home - Who'll Follow?" », Critical Survey, Vol. 16, No. 3,‎ , p. 62-77 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Audrey J. Roberts, « New Light on Caroline Kirkland's New York Years », American Literary Realism, Vol. 36, No. 3,‎ , p. 269-276 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Noreen Groover Lape, « The Frontier Origins of North American Realism: Metarealism and the Travel Writings of Susanna Moodie and Caroline Kirkland », Western American Literature, Vol. 42, No. 4,‎ , p. 362-394 (33 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Melissa Gniadek, « “Outré-mer adventures”: Caroline Kirkland's A New Home, Who'll Follow? and the Maritime World », Legacy, Vol. 32, No. 2,‎ , p. 196-213 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en) Alexandra Ganser, « From "Wall-Flower" to "Queen of the Forest": Frontier Migration, Nature, and Early Ecofeminism in Caroline Kirkland's "A New Home, Who'll Follow?" (1839) », Amerikastudien / American Studies, Vol. 61, No. 4,‎ , p. 469-488 (20 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Articles connexes

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Liens externes

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