Une cellule dormante relie, dans le vocabulaire en pratique dans le domaine de l'antiterrorisme et du contre-espionnage défini par les services secrets, des espions ou agents infiltrés qui ne sont pas encore passés à l'action.

Adaptation de la lutte

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La recherche de ces organisations a été recentrée dans le contexte des dix dernières années[Quand ?] sur le plan mondial.

Les actualités radiophoniques ont notamment révélé la mise en place d'une structure permanente dans la capitale française dans laquelle interopèrent des agents des services secrets britanniques, américains, allemands et français.

De telles structures de coordination sont adaptées à la mondialisation des structures de terrorisme constaté depuis les cinq dernières années[Quand ?] (les cités d'Allemagne notamment avaient servi de bases arrière à l'infiltration d'un grand nombre des vingt-sept terroristes du 11 septembre)

Le démantèlement du projet d'attentats sur les lignes aériennes transatlantiques de 2006 est un cas réussi de l'identification puis de la neutralisation d'une cellule dormante ayant des ramifications pakistanaises au Royaume-Uni.

Définition

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Quatre niveaux de risque sont définis, selon les caractéristiques observées par les comportements des agents objet d'une investigation :

  • risque modéré : low risk cells
  • risque moyen : medium risk cells
  • risque important : high risk cells
  • risque maximum : urgent risk cells

Voir aussi

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Inspirations

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Articles connexes

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