Château d'Yzengremer

château à Yzengremer, France

Le château d'Yzengremer est une propriété privée située sur le territoire de la commune d'Yzengremer, dans le département de la Somme à l'ouest d'Abbeville.

Château d'Yzengremer
Début construction première moitié du XVIIe siècle
Fin construction seconde moitié du XIXe siècle
Destination initiale résidence privée
Propriétaire actuel personne privée
Protection Logo monument historique Inscrit MH (2018)[1]
Coordonnées 50° 03′ 40″ nord, 1° 31′ 07″ est
Pays Drapeau de la France France
Province Picardie Picardie
Région Hauts-de-France
Département Somme
Commune Yzengremer
Géolocalisation sur la carte : Somme
(Voir situation sur carte : Somme)
Château d'Yzengremer
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
(Voir situation sur carte : Hauts-de-France)
Château d'Yzengremer
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château d'Yzengremer

Historique modifier

Le château fut la propriété de la famille de Fautereau. Anne de Fautereau, baron de Noleval, épousa, en 1647, Marie de Strozzi, originaire de Florence. C'est lui qui fit construire le château d'Yzengremer dans le goût italien de l'époque. Le château fut remanié dans la seconde moitié du XIXe siècle[2].

Caractéristiques modifier

Le château construit en brique et pierre possède de très beaux bossages dits « en pointes de diamant », c'est-à-dire taillés en pyramide. Ces bossages ornent à l'aile sud-ouest du bâtiment, l'angle de l'étage et les deux pieds-droits de la fenêtre qui le jouxtent. Ce décor est exceptionnel en Picardie et même en France[2].

Le château se compose d'un corps principal rectangulaire et d'une seule aile à l'ouest.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Ressource relative à l'architectureVoir et modifier les données sur Wikidata :

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. « Recueil des actes administratifs, préfecture de la Somme » [PDF], (consulté le ).
  2. a et b Sartre 2012, p. 122