Chailly-en-Brie
Chailly-en-Brie (prononcé [ ʃa.ˈji ɑ̃ ˈbʁi]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Chailly-en-Brie | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Meaux |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie |
Maire Mandat |
Sébastien Corbisier 2020-2026 |
Code postal | 77120 |
Code commune | 77070 |
Démographie | |
Gentilé | Caïbotins |
Population municipale |
1 539 hab. (2021 ) |
Densité | 89 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 47′ 25″ nord, 3° 07′ 29″ est |
Altitude | Min. 72 m Max. 159 m |
Superficie | 17,36 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Coulommiers |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierChailly-en-Brie est un village de la plaine de Brie, riche région agricole, situé par la route à environ 4,1 kilomètres[Note 1] au sud-est de Coulommiers[1].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes incluent : Beautheil-Saints, Coulommiers, Boissy-le-Châtel, Marolles-en-Brie, Saint-Siméon, Chauffry et Amillis.
Géologie et relief
modifierL'altitude de la commune varie de 72 mètres à 159 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 140 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLe réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
- la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[4], affluent en rive gauche de la Marne ;
- le fossé 02 de la Commune de Beautheil, 3,05 km[9], affluent du ru Maclin ;
- le ru de Orgeval, long de 12,81 km[10] ;
- le ru de la Baguette, long de 3,15 km[11], affluent de la Aubetin.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,34 km[12].
Gestion des cours d'eau
modifierAfin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[13].
La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[14]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[15].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[17].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 7 km à vol d'oiseau[18], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Milieux naturels et biodiversité
modifierAucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Chailly-en-Brie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[26]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[26]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].
Lieux-dits et écarts
modifierLa commune compte 116 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[29] (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77% ), zones agricoles hétérogènes (6,9% ), prairies (6,6% ), forêts (5,9% ), zones urbanisées (3,5% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[30].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
modifierLa loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[33].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[34]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Logement
modifierEn 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 595 dont 89,4 % de maisons et 8,7 % d’appartements.
Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 79,6 % contre 17,4 % de locataires et 3 % logés gratuitement[35][Note 4].
Voies de communication et transports
modifierTransports
modifierLa commune est desservie par les lignes 10, Express 17 et 25 du réseau de bus Brie et 2 Morin et 3262 du réseau de bus Provinois - Brie et Seine.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est mentionné sous les formes Calagum (Carte de Peutinger, Corpus inscript., XIII, p. 463) ; Ecclesia de Challiaco en 1184 (Cartulaire La Charité, p. 9.) ; Th. de Chaailli en 1265 (Longnon, I, p. 228.) ; Chailli en 1325 (Longnon, II, 239.) ; Chailliacum en 1353 (Longnon, Pouillés de Sens, p. 466.) ; Chailli lez Coulommiers en 1380 (Archives nationales, X1c 40, n° 222.) ; Chailly Malle Daurée en 1479 (Bibl. nat., Champagne 153, n° 27.) ; Chailly en Brie au XVe siècle (Obit. prov. Sens, IV, p. 116.); Chailly en 1508 (Archives nationales, S 1413)[36].
Sur la table de Peutinger, Chailly-en-Brie est mentionné sous le nom de Calagum pour *Caliacum du gaulois calia « caillou, pierre » et suffixe -acum ou directement du nom du coq, *caliācos en gaulois, voire de Calliacum, avec [l] géminé qui peut remonter à *Calliācon, un dérivé en -acum de callio- « sabot »[37]. Cf. Autres Chailly et Cailly.
Homophonie fortuite avec Chailly-en-Bière dans le même département qui semble représenter le type Catiliacum (voir ce nom et Cadillac).
La Brie est une région naturelle française située dans la partie orientale du bassin parisien, entre les vallées de la Marne, de l'Orge, de la Seine et la côte d'Île-de-France.
Histoire
modifier- Traces d'habitat préhistorique au lieu-dit la Bassinière.
Chailly-en-Brie fut une station sur la voie romaine de Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer).
Équipements et services
modifierEau et assainissement
modifierL’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38],[39].
Assainissement des eaux usées
modifierEn 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Chailly-en-Brie est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [40],[41],[42].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40],[44].
Eau potable
modifierEn 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[40],[45],[46].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].
En 2021, la commune comptait 1 539 habitants[Note 5], en évolution de +10,88 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Médias
modifierLa commune de Coulommiers et les communes environnantes (Mouroux, Boissy-le-Châtel, Aulnoy, Chailly-en-Brie, Chauffry, Faremoutiers, Pommeuse, Giremoutiers, Saint-Germain-sous-Doue) ont été choisies pour être les premières à passer au tout numérique pour la diffusion de la télévision hertzienne. Depuis le 8 novembre 2008, l'émetteur de Mouroux, site des Parrichets, diffuse la TNT. L'extinction du signal analogique a eu lieu le 5 février 2009[51].
Économie
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEn 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 561, représentant 1 521 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 260 euros[52].
Emploi
modifierEn 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 279, occupant 697 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,3 % contre un taux de chômage de 6,3 %. Les 20,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,1 % de retraités ou préretraités et 4,7 % pour les autres inactifs[53].
Secteurs d'activité
modifierEntreprises et commerces
modifierEn 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 84 dont 7 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 20 dans la construction, 25 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 12 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 10 étaient relatifs aux autres activités de services[54].
En 2020, 15 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 12 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[55].
Agriculture
modifierChailly-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[56].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[57]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 21 en 1988 à 12 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 50 ha en 1988 à 115 ha en 2010[56]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chailly-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[56],[Note 7] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 21 | 14 | 12 |
Travail (UTA) | 27 | 30 | 39 |
Surface agricole utilisée (ha) | 1 049 | 1 324 | 1 378 |
Cultures[58] | |||
Terres labourables (ha) | 928 | 1 206 | 1 306 |
Céréales (ha) | 615 | 708 | 735 |
dont blé tendre (ha) | 433 | 558 | 570 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 131 | s | 105 |
Tournesol (ha) | 62 | ||
Colza et navette (ha) | 59 | 39 | 62 |
Élevage[56] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 8]) | 310 | 250 | 92 |
Politique et administration
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Médard (XIIe XVIe)
L'église de Chailly est fondée avant 1107 puisqu'elle est citée dans un acte de Manassès II, évêque de Meaux à cette date.
Cependant, l'édifice est en grande partie du XIIIe siècle, avec des aménagements intérieurs datant des XVe et XVIe siècles, notamment pour les parties basses de la nef.
Construit sur un plan rectangulaire, l'édifice est précédé d'une tour-clocher carrée, datée du XIIIe siècle. La nef, sur laquelle ouvre un narthex, est flanquée de deux bas-côtés et une abside polygonale à cinq pans ferme le chœur, qui est vraisemblablement la partie la plus ancienne de l'église.
Personnalités liées à la commune
modifier- Étienne-Geoffoy Saint-Hilaire possède une ferme nommée la Bretonnière, commune de Chailly. (Richard, « Épisode de la vie Étienne-Geoffoy Saint-Hilaire », La terre et la vie, Société nationale d’acclimatation et de protection de la nature 2e série, t. 1, 1864, p. 454-455.)
Héraldique
modifierBlason | Écartelé : au 1er de gueules à trois gouttes d'argent, au 2e d'azur à trois fleurs de lys d'or, au 3e d'azur à la bande d'argent côtoyée de deux cotices potencées et contre-potencées d'or, au 4e de gueules à la croix d'argent chargée d'une pointe de silex de gueules en abîme ; un écusson d'azur brochant sur le tout, chargé d'un cœur enflammé de gueules percé de deux flèches tombantes d'or passées en sautoir et surmonté de deux étoiles du même.
|
|
---|---|---|
Détails | Composé par Jean-Claude Molinier. L'écusson en cœur est celui de François Allaine, curé du village au XVIIe siècle. Adopté le en conseil municipal[59]. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Chailly-en-Brie », p. 321–322
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Voir le paragraphe introductif de l’Insee concernant les fusions de communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Chailly-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
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- « Chailly-en-Brie » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Plan séisme consulté le 11 octobre 2021 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Grand Morin (F65-0400) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Charcot (F6538600) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Bareaux (F6538500) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Coutant (F6539000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Fausse Rivière (F65-4501) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 02 de la Commune de Beautheil (F6574100) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Orgeval (F6540600) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Baguette (F6573000) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 12 décembre 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
- site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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