Champsac

commune française du département de la Haute-Vienne

Champsac
Champsac
L'église de Champsac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Maryse Parverie
2020-2026
Code postal 87230
Code commune 87036
Démographie
Gentilé Champsacois, Champsacoises
Population
municipale
673 hab. (2021 en diminution de 0,74 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 13″ nord, 0° 57′ 27″ est
Altitude Min. 267 m
Max. 399 m
Superficie 23,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Champsac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Champsac
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Champsac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Champsac

Champsac (Chamçac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord Limousin.

Les habitants de la commune s'appellent les Champsacois et les Champsacoises [1].

Géographie modifier

Situation de la commune de Champsac en Haute-Vienne.

Commune du canton d'Oradour-sur-Vayres, dans l’arrondissement de Rochechouart. Le territoire communal s'étend de la vallée de la Gorre, qui lui sert de limite au nord-est, et celle de la Tardoire, qui marque sa limite sud-ouest. Il est traversé par deux petits affluents de la Gorre, les ruisseaux du Gabaret et de la Monnerie.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 048 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Champagnac-la-Rivière à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Champsac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), forêts (25,5 %), terres arables (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Champsac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champsac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 19,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Champsac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Histoire modifier

Le tumulus de la Motte de Jouveaux, interprété comme un monument funéraire, constitue une trace de l'occupation du territoire lors du premier âge du fer, avec son mobilier inventorié en 1895, dont l'urne au décor graphité est conservée au musée de Rochechouart[21].

Un domaine gallo-romain serait à l'origine de Champsac, dont le toponyme proviendrait du nom d'homme "Camiccius" et du suffixe -acum (domaine de Camiccius)[22].

Avant la Révolution, Champsac était une paroisse du Haut-Limousin, dans l'archiprêtré de Nontron, diocèse de Limoges. Généralité, élection et sénéchaussée de Limoges. Relevant essentiellement de la juridiction de Châlus, Champsac avait plusieurs seigneurs fonciers : le comte de Châlus, celui des Cars, le commandeur de Puybonnieux, les marquis du Masnadaud et de Sauveboeuf.

La paroisse avait pour fête patronale la Décollation de Saint-Jean-Baptiste.

Passé ferroviaire du village modifier

L'ancienne gare de Champagnac de nos jours de venue une habitation.
Carte postale de Champsac vers.
Horaire de la ligne en 1956.

De 1880 à 1996, la commune de Champsac a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant de Champagnac-la-Rivière se dirigeait ensuite vers la gare de Châlus.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D'azur à la paysanne vêtue d'or, semant dans le vent une plaine labourée de gueules.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean Piere Chalard PS  
mars 2008 juin 2020 Guy Baudrier[24] ADS Conseiller général du canton d'Oradour-sur-Vayres (2008-2015)
juin 2020 En cours Maryse Parverie    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 673 habitants[Note 4], en diminution de 0,74 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1501 1201 2681 4171 3211 4351 3801 5081 520
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4951 3781 3951 2781 2811 4501 5291 5131 587
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5731 5581 5171 3211 2191 2061 1931 057864
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
766687639618567550587597670
2018 2021 - - - - - - -
668673-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Le tumulus de la Motte de Jouveaux est un monument funérairedaté du premier âge du fer. Son mobilier a été inventorié en 1895 et l'urne au décor graphité est conservée au musée de Rochechouart.

Entreprises modifier

La principale entreprise située sur le territoire de la commune est un vinaigrier spécialisé dans les produits haut-de-gamme, l'entreprise Delouis

Église modifier

L'église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste de Champsac est un édifice de construction romane plusieurs fois remanié, notamment dans la 1re moitié du XVIIe siècle. Elle a une nef unique de 6,50 m de largeur et un chœur en abside. Son clocher primitif, en pierre, a été démoli vers 1850 et remplacé par le clocher actuel, en bois, à l'extrémité occidentale de la nef.

En 1587, Marguerite de La Rochefoucauld, comtesse de Châlus, fit peindre par François Limosin, peintre de Limoges, une ceinture à ses armes à l'église de Champsac comme à plusieurs autres de sa juridiction (La Chapelle-Montbrandeix, Dournazac, Lageyrat, Pageas).

Patrimoine naturel modifier

La commune présente trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

  • La ZNIEFF de type 2 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat)[29].
  • La ZNIEFF de type 1 de la Lande de la Judie[30].
  • La ZNIEFF de type 1 de la « lande de la Martinie (vallée de la Tardoire)  »[31], soit 32,17 hectares, concerne Châlus, Champagnac-la-Rivière et Champsac et vise un affleurement de serpentine, roche très basique, entre Châlus et Cussac. Cet affleurement, contrairement aux affleurements de serpentine habituels de Haute-Vienne, n'est accompagné ni de pelouse sèche ni d'affleurement rocheux. Il abrite la gentiane pneumonanthe (Gentiana pneumonanthe, protégée en Limousin) et la bruyère à balais ou Brande du Poitou. On y trouve régulièrement le busard Saint-Martin (Circus cyaneus) qui y a établi des dortoirs ; les mares et ornières de la lande humide hébergent le sonneur à ventre jaune (Bombina variegata), petit crapaud protégé en France. Cette ZNIEFF est entièrement incluse dans la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) ».

Personnalités liées à la commune modifier

  • Eugène Nicolas, né le 8 décembre 1879 à Champsac et mort le 26 février 1965 à Champsac, est un homme politique français. Médecin de profession, il succède en 1902 à son père à la mairie de Champsac. Il est à 22 ans, le plus jeune maire de France.
  • Émile-Roger Lombertie, né à Champsac le 20 février 1951, homme politique français, psychiatre chef de pôle hospitalier à Limoges, et actuel maire de Limoges.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Champsac et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Champsac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. « Prospections anciennes dans les tumulus du Premier Age du Fer de la partie sud du Limousin, J.P. Mohen, G.N. Lambert, J. Gomez, J.P. Daugas, Bulletin de la Société préhistorique française, Année 1976, Volume 73, Numéro E&T, pp. 437-456 », sur Persée, revues scientifiques, (consulté le ).
  22. Marcel Villoutreix, Les noms de lieu du Limousin, in Travaux d'archéologie limousine, supp. n°6, Association des Antiquités Historiques du Limousin, 2002.
  23. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  24. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. ZNIEFF 740000072 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat), INPN.
  30. / Date d'édition : 20/01/2020https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/740030029-1/ 12 -LANDE DE LA JUDIE(Identifiant national : 740030029), pdf
  31. « Lande de la Martinie (vallée de la Tardoire) » - 740120049. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.