Chatte (Isère)

commune française du département de l'Isère

Chatte
Chatte (Isère)
Vue sur le bourg de Chatte et son environnement.
Blason de Chatte
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté
Maire
Mandat
André Roux
2020-2026
Code postal 38160
Code commune 38095
Démographie
Gentilé Chattois
Population
municipale
2 463 hab. (2021 en diminution de 1,32 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 40″ nord, 5° 17′ 02″ est
Altitude Min. 164 m
Max. 443 m
Superficie 22,81 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Marcellin
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Marcellin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud Grésivaudan
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Chatte
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Chatte
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Chatte
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Chatte
Liens
Site web www.commune-chatte.fr

Chatte est une commune française, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Autrefois située dans la province du Dauphiné, la commune est adhérente de la communauté de communes de Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté. Ses habitants sont dénommés les Chattois[1].

Géographie modifier

Plan de Chatte et des communes limitrophes

Situation et description modifier

La commune de Chatte est située dans la partie occidentale du département de l'Isère, à l'ouest de la ville de Saint-Marcellin, dont elle est limitrophe et au sud du plateau de Chambaran.

Son environnement naturel est essentiellement composé de collines et de coteaux qui dominent la vallée de l'Isère.

Communes limitrophes modifier

Géologie modifier

Le territoire de la commune de Chatte est situé en grande partie dans la plaine alluvionnaire de l'Isère dénommé Sud-Grésivaudan et sa partie plus élevée, située plus au nord correspond à la bordure orientale du plateau de Chambaran. Le bourg ancien se positionne sur un site légèrement en surélévation par rapport à la plaine alluvionnaire.

Le plateau de Chambaran représente un modeste ensemble de reliefs à l'aspect plutôt ondulé et constitué d'une base composée de molasse du miocène, recouverte en grande partie par un placage d'un terrain original[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 962 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records CHATTE_SAPC (38) - alt : 272m, lat : 45°08'24"N, lon : 5°18'21"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,5 −0,2 2,4 5,2 9,1 12,5 14,3 14,1 10,8 7,6 3,1 0,1 6,5
Température moyenne (°C) 3,4 4,4 8,1 11,2 15,2 19 21,3 21 16,9 12,8 7,3 3,8 12
Température maximale moyenne (°C) 7,2 9 13,8 17,3 21,2 25,5 28,3 27,9 22,9 17,9 11,5 7,5 17,5
Record de froid (°C)
date du record
−16,5
11.01.10
−15,7
05.02.12
−11,4
01.03.05
−4,7
08.04.03
−0,4
17.05.12
2,5
03.06.06
5,9
13.07.00
4,8
30.08.1998
1,4
26.09.02
−4,7
31.10.1997
−10
27.11.05
−18,5
30.12.05
−18,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
19,1
28.01.1990
23,3
24.02.1990
27
22.03.1990
30,1
28.04.12
33,7
17.05.22
37,7
22.06.03
38,7
18.07.22
40,9
13.08.03
32,6
04.09.23
29,4
09.10.23
23,9
06.11.1997
22,6
18.12.1989
40,9
2003
Précipitations (mm) 66,4 53,5 64 83,5 95,8 81 68,3 82,2 100,7 107,5 98,8 66,1 967,8
Source : « Fiche 38095001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie modifier

Situé dans la plaine alluvionnaire de l'Isère, le territoire chattois est bordée par ce principal affluent du Rhône, en rive gauche. D'une longueur de 286 km, l'Isère borde la partie méridionale du territoire.

Le Merdaret, affluent de l'Isère traverse le bourg de Chatte. Le territoire est sillonné par quelques ruisseaux en provenance du plateau de Chambaran, dont notamment le Merdaret, affluent du Furand et sous-affluent de l'Isère[8].

Voies de communication modifier

Le territoire de la commune de Chatte est traversée dans sa partie méridionale par deux voies de circulation à vocation nationale :

  1. La route départementale 1092 (RD 1092) dénommée ainsi entre Romans et Voiron se dénommait avant son déclassement en route nationale 92. Cette ancienne route reliait Genève à Valence jusqu'en 1974 et traverse le territoire selon un axe nord-est sud-est, au sud du bourg.
  2. L’autoroute A49 qui traverse, un plus au sud que la route, le territoire de la commune est une voie routière à grande circulation, qui relie Romans (Valence) à Grenoble. Cette voie a été mise en service en 1992.

Pour se rendre à Chatte, il faut emprunter la sortie « Saint-Marcellin » au-delà de la barrière de péage de Chatuzange-le-Goubet dans le sens Valence-Grenoble et au-delà de la barrière de péage de Voreppe dans le sens Grenoble-Valence, puis emprunter la RD1092.

Le territoire chattois est également sillonné par des routes d'importance secondaire :

Transports modifier

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Saint-Marcellin, commune limitrophe de Chatte, laquelle est desservie par les trains TER Auvergne-Rhône-Alpes, en provenance de Valence-Ville et à destination de Genève-Cornavin, de Grenoble et de Chambéry-Challes-les-Eaux.

La commune est également desservie par les autocars du réseau interurbain de l'Isère, plus connu sous l'appellation « Cars Région Isère ».

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Chatte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Marcellin, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[12] et 20 941 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Marcellin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (29,8 %), forêts (25,4 %), terres arables (19 %), cultures permanentes (13,8 %), prairies (5 %), zones urbanisées (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine modifier

Hameaux lieux-dits et écarts modifier

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Chatte, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].

  • Colombet (zone forestière)
  • Côte Belle
  • Pin du Merle
  • Moilan (Zone forestière)
  • Cabaret Neuf
  • Grand Bois
  • Coné
  • les Martinons
  • les Carmes (Zone d'activité)
  • Ronchive
  • les Petits bois (zone forestière)
  • Hières (Château)
  • Revollat
  • la Poipe
  • Combe Muguet
  • Fond Cotte
  • Côte Froide
  • les Molles
  • les Ports
  • Bois d'Entour (zone forestière)
  • Saint-Just
  • Puvelin
  • Malatras
  • le Château
  • Montchâtel
  • Billonnières
  • le Vattillieux
  • Montloubet
  • les Boudillons
  • Girardière
  • Grand Champ
  • Combe Chatte
  • Foras (Château)
  • Côte Gallet
  • la Barme
  • la Gloriette (Zone d'activité)
  • les Gamaux
  • Paillet
  • les Siveillières
  • Pré Chatel et la Garenne
  • Gralère
  • Croix Noire
  • la Garenne
  • la Croisée
  • les Bouveyroux
  • le Girard
  • Chanon
  • Chabon
  • Château Bernard
  • Combe Chaboud
  • Épinasse
  • Gervand
  • Bas Gervand
  • les Plantées
  • le Cer de Mayard
  • Cer de Bétiquière

Risques naturels et technologiques modifier

Risques sismiques modifier

La totalité du territoire de la commune de Chatte est situé en zone de sismicité n°3, mais en limite de la zone n°4 (sur une échelle de 1 à 5) qui se situe dans la partie centrale du département de l'Isère et dont fait partie un grand nombre de communes Sud-Grésivaudan[19].

Terminologie des zones sismiques[20]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques naturels modifier

Toponymie modifier

Le nom Chatte proviendrait, d'une évolution du terme « Casta », pour château (latin « Castellum »), devenu « Chaste » puis « Chatte » au cours des siècles. Le nom de la commune est souvent l'objet de plaisanteries et de railleries et, par voie de conséquence, a même subi un vol de panneau routier indiquant son nom pour des raisons humoristiques liées à une station de radio parisienne[21].

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

Moyen Âge et Temps Modernes modifier

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

Hôtel de ville de Chatte.

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1958 Régis Darlay    
1958 1971 Charles Chapus    
1971 mars 1989 Paul Bossan CD puis UDF-CDS Technicien agricole
Conseiller général (1962-1992)
mars 1989 mars 2001 Maurice Boisset SE  
mars 2001 En cours André Roux DVG Directeur MFR
Conseiller général (2011-2015)
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 2 463 habitants[Note 4], en diminution de 1,32 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7731 7762 1051 9102 0712 1922 2562 2992 443
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3332 3472 1162 1182 0391 8981 9111 9051 885
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8521 7501 7681 5321 5621 6021 5421 5331 605
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 7051 7371 8922 0402 3472 4422 4872 5432 406
2015 2020 2021 - - - - - -
2 4962 4612 463------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Rattachée à l'académie de Grenoble, la ville de Chatte héberge un collège portant le nom d'Olympe de Gouges qui en 2019-2020 compte cinq classes de 6e, quatre classes de 5e, quatre classes de 4e et quatre classes de 3e.

Équipement culturel modifier

La commune gère une médiathèque, située dans le bourg, ainsi que l'Espace Vincendon-Dumoulin où se produisent des spectacles, comme le gala de danse annuel du club de Chatte.

Médias modifier

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes modifier

L'église paroissiale Saint-Vincent, propriété de la commune, est desservie par la Paroisse Saint-Luc du Sud Gresivaudan, elle même dépendante du diocèse de Grenoble-Vienne[29].

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Usine de la Galicière

Lieux et monuments modifier

Vestiges du château médiéval modifier

Ce château, dénommé sous le nom local de « château des Pauvres », a été édifié au XIe siècle et est attesté au XIIe siècle. Cependant, ces éléments actuels datent des XIVe siècle, XIVe siècle, et peut-être du XVIe siècle. Les vestiges dominent toujours le territoire sur une butte à environ 500 m à l'est du centre bourg. Il a appartenu aux Clermont de Chatte. En 1672, il devint propriété de la famille Boffin, seigneurs de La Sône, puis du maquis de la Roque en 1788. En juin 1794, l'édifice a été mis en vente comme bien national[30].

Usine de la Galicière modifier

Les bâtiments de l'usine de moulinage de la soie de la Galicière qui datent du XIXe siècle et dont la filature, la forge, la magnanerie, les installations hydrauliques et la machinerie font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du [31],[32].

Patrimoine religieux modifier

L'église Saint-Vincent, église paroissiale, est située au centre du village.

La chapelle Sainte-Philomène, située dans une petite clairière sur un promontoire à 1 km à l'ouest du village, elle a été édifiée en 1880 par Joseph Bossan dans un style néogothique[33].

Patrimoine naturel modifier

Le Jardin ferroviaire de Chatte modifier

Ce jardin, situé route de Lyon, est ouvert au public en saison. Il présente un parc paysager d'une surface de 1300 m², rassemblant plus de 200 espèces d'arbres et plantes.

Langue régionale modifier

Carte linguistique du Dauphiné : Le dauphinois est un dialecte arpitan parlé dans le nord du Dauphiné. La moitié sud du Dauphiné est quant à elle du domaine linguistique de l'occitan et de son dialecte local, le vivaro-alpin.

Historiquement, sur le plan linguistique, le territoire de Chatte ainsi que l'ensemble du Sud Grésivaudan se situent à l'ouest de l'agglomération grenobloise et donc dans la zone des patois dauphinois. Cette partie du Dauphiné appartient donc au domaine de la langue dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens[34],[35].

L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans le quart de la France du Centre-Est différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône.

Gastronomie modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Chatte (Isère) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 3 octobre 2021.
  2. Site géoglaciaire, page sur les paysages glaciaires
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chatte_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Chatte_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. Fiche sur le Merdaret, site "sandre"
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Marcellin », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Site géoportail, page des cartes IGN
  19. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  20. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  21. site 20minutes.fr, article "Malgré leurs noms, ces villes ne tirent pas la tronche", consulté le 11 décembre 2019.
  22. a et b Communes du canton de Saint-Marcellin - Jumelages
  23. a et b Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  24. EOLAS, « Site officiel de la ville de Chatte - Commune de Chatte », sur chatte.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la Paroisse St Luc Du Sud Gresivaudan, consulté le 18 avril 2021.
  30. Site commune-chatte.fr, page sur les monuments historiques de Chatte, consulté le 12 décembre 2019.
  31. « Usine de moulinage de la soie de la Galicière », notice no PA38000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 673.
  33. Chapelle Sainte Philomène, « BASE - Isere patrimoine », sur isere-patrimoine.fr (consulté le ).
  34. Site cosmovisions.com, page sur la langue dauphinoise, consulté le 16 novembre 2019
  35. Site electriccafe.org, page "Un peu de géographie", consulté le 16 novembre 2016.
  36. Raviole du Dauphin sur le site Isère Tourisme, consulté le 2 aout 2014.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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