Chevennes

commune française du département de l'Aisne

Chevennes est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Chevennes
Chevennes
La mairie.
Blason de Chevennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Vervins
Intercommunalité CC de la Thiérache du Centre
Maire
Mandat
Patrick Legoux
2020-2026
Code postal 02250
Code commune 02182
Démographie
Gentilé Chevennois(es)
Population
municipale
121 hab. (2021 en évolution de −10,37 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 57″ nord, 3° 44′ 00″ est
Altitude 124 m
Min. 115 m
Max. 161 m
Superficie 6,06 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Marle
Législatives 3e circonscription de l'Aisne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chevennes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chevennes
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Chevennes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Chevennes

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Chevennes est un village rural de Thiérache du département de l'Aisne situé à 12 km à vol d'oiseau au sud-est de Guise, 23 km au sud-ouest de La Capelle, 35 km de la Frontière franco-belge et 83 km de Charleroi, 13 km à l'ouest de Vervins, 29 km au nord de Laon et 32 km à l'est de Saint-Quentin.

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Housset, Lemé, Marfontaine, La Neuville-Housset et Sains-Richaumont.

Hydrographie

modifier

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Chevennes[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 809 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Vervins à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

modifier
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Catte topographique de la commune en 2021.

Typologie

modifier

Au , Chevennes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,6 %), zones urbanisées (6 %), forêts (0,4 %)[11].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 61, alors qu'il était de 66 en 2015 et de 67 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 81,9 % étaient des résidences principales, 13,2 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chevennes en 2020 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,2 %) supérieure à celle du département (3,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,6 % en 2015), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Chevennes en 2020.
Typologie Chevennes[I 2] Aisne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 81,9 86,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,2 3,4 9,7
Logements vacants (en %) 4,9 10,1 8,2

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Chevesnie (1123) ; Allodium de Chevesnio (1129) ; Chavesnes (1128) ; In territorio Cavesnense (1139) ; Cavesnes (1144) ; Chevegnes (1169) ; Chevesnez (1249) ; Chevenne (1640)[12].
La présence d'un s intérieur dans toutes les formes du XIIe siècle rend malaisé l'établissement de l'origine de ce toponyme. La forme primitive Cebenna , dérivée de la racine gauloise ceb signifiait « dos, hauteur », a désigné d'abord un « petit massif »[13].

Les habitants de Chevennes sont appelés les Chevennois, Chevennoises.

Histoire

modifier

Préhistoire

modifier

Une hache polie en silex bleu d'une conservation remarquable, aux côtés réguliers et bien équarris a tét mise au jour. Ses dimensions sont les suivantes : 0,205 m de longueur, 0,06 m de largeur au tranchant et 0,026 m de largeur au sommet, 0,02 m maximum d'épaisseur médiane. La hache va en s'amenuisant aux deux extrémités. Elle est aujourd'hui conservée au musée de Vervins[14],[15].

Antiquité

modifier

La voie romaine Saint-Quentin - Macquenoise traversait la commune de Chevennes dans l'Antiquité, d'après l'historien axonais Amédée Piette (1808-1883)[16].

Une meule gallo-romaine a été découverte au XIXe siècle (F. Rogine, 1876 a)[16].

Au nord du Bon Vaillant en 1991, M. Bazzali a repéré lors d'une prospection au sol, des substructions gallo-romaines (une villa ?). Il y a observé des tuiles et des tessons de céramiques (CA SRA)[16].

Au sud du Bon Vaillant en 1992, M. Bazzali a découvert lors d'une prospection au sol, du mobilier gallo-romain (tégula et tessons de céramique grise) (CA SRA)[16].

Temps modernes

modifier
Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

Le plus vieux document écrit administratif date de 1667, il s'agit d'un acte de mariage[17]. Il est conservé dans les archives départementales de l'Aisne, à la préfecture de Laon.

La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Chevennes ets une paroisse. Un moulin à vent en bois existait à l'ouest.

Époque contemporaine

modifier

Lors de la démolition de l'église en 1875, on a découvert des fûts de colonnes (diamètre 36 cm) en remploi sciés dans le sens de la hauteur. En 1885, lors de la démolition partielle du sanctuaire pour orienter l'église à l'occident et faciliter la construction de la porte d'entrée à l'orient sous la supervision du curé, on découvrit un trésor de monnaies (7 pièces en or, 56 en argent, 242 en billon)[18] sous des pavés trouvés à une profondeur de 50 cm.

  • les pièces en or étaient anglaises, espagnoles et françaises (du règne de François Ier, à l'exception d'une médaille commémorative de l'Institution de l'Ordre de Saint Michel datée de 1469) ;
  • les pièces en argent étaient pour la plupart espagnoles, mais quelques-unes portaient cependant l'effigie de Henri VII et Henri VIII, rois d'Angleterre. Les autres étaient françaises, c'étaient des spadins d'Antoine duc de Lorraine, et des testons à fleur de coin de François Ier et de Henri II. Quelques-uns de ces testons frappés sous le règne de François Ier portaient l'effigie de Louis XII ;
  • les pièces de billon étaient pour la plupart espagnoles, mais aussi quelques françaises : des blancs au soleil de Louis XI, des blancs à la couronne du même roi et de Charles VIII, des grands blancs de Charles VIII et de Louis XII, des carolus de Charles VIII, des douzains de François Ier et de Henri II, des gros de Nesles et enfin des blancs de Henri II et de Jean III d'Albret, rois de Navarre.

Les monnaies les plus communes étaient du règne de Henri II au millésime de 1549, 1550, 1551 et 1552. Cette dernière date indique qu'elles avaient été cachées au commencement de l'année 1553 pour être soustraites à l'invasion du comte de Rœux qui causa dans le royaume la destruction de 700 à 800 villages.

Carte postale du village vers 1910.

Première Guerre mondiale
Le 28 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les troupes allemandes après la défaite de l'armée française lors de la bataille de Guise[19].

Pendant toute la guerre, le village restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug des Allemands : réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés. Ce n'est que début novembre 1918 que les Allemands sont chassés du village par les troupes françaises.

Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [20].

Politique et administration

modifier
La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Rattachements administratifs

modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Vervins du département de l'Aisne[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Sains-Richaumont[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Marle[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Aisnedepuis le dernier découpage électoral de 2010[22].

Intercommunalité

modifier

Chevennes est membre de la communauté de communes de la Thiérache du Centre[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992[23] et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1877[24] après 1879 Victor-Abel Sarrazin-Wateau    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 mars 2001 André Compère CD[25]  
mars 2001 En cours
(au 6 juin 2023)
Patrick Legoux DVD Agriculteur
Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27],[28]

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 121 habitants[Note 2], en évolution de −10,37 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
426459546623573563560580591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
576534512460426383361350316
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
291267283213214201217202204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
194157132146136155144142140
2017 2021 - - - - - - -
125121-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

modifier
La place de l'église.

Lieux et monuments

modifier
  • Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 12 soldats du village morts pour la France au cours de la Guerre 1914-1918[32].

Héraldique

modifier
Blason de Chevennes Blason
D'or à l'aigle éployée de sable[33].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Chevennes » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier
  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Chevennes » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Chevennes - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Chevennes - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Aisne » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

modifier
  1. « Fiche communale de Chevennes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Chevennes et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  13. Marie-Thérèse Morlet, La Toponymie de la Thiérache, coll. « Revue internationale d'onomastique », , p. 25.
  14. Pol Baudet, Bulletin de la Société Préhistorique de France, Crécy-sur-Serre, , Volume 5, numéro 3, page 123
  15. Edouard Fleury, Antiquités et Monuments de l'Aisne, G et A de Mortillet, Le Préhistorique,
  16. a b c et d Blaise Pichon, L'Aisne, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 02), (ISBN 2-87754-081-2), p. 177-178.
  17. Archives d'état civil de Chevennes sur le site des archives départementales de l'Aisne
  18. La Thiérache, revue de la Société Archéologique de Vervins, 1875, Léandre Papillon, Edouard Fleury, (lire en ligne)
  19. « Ecole supérieure de guerre. Cours d'histoire militaire. La bataille de Guise : 29-30 août 1914 / Colonel Lestien et Lt-Colonel d'Argenlieu » Accès libre, sur Gallica, 1933-1934 (consulté le ).
  20. Journal officiel du 26 octobre 1920, p. 16541.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  23. « communauté de communes de la Thiérache du Centre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  24. Almanach...Matot-Braine, Reims, 1879, p270.
  25. « XIII - En Picardie, la bataille est à peu près circonscrite à six sièges sur quinze », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « En 1962, M. Risbourg, U.N.R., dans la 3e circonscription (Vervins) avait battu le député sortant, M. Alliot, indépendant, élu en 1958; le Centre démocrate lui oppose cette fois M. Compère, maire de Chevennes, et la Fédération M. Brugnon, maire socialiste de Saint-Michel ».
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Patrick Legoux conforté dans son fauteuil de maire : Sans difficulté particulière, Patrick Legoux est entré tout en douceur dans son troisième mandat avec une équipe inchangée. », La Thiérache, no 2575,‎ , p. 41 (ISSN 0183-8415)
  27. « Le maire de Chevennes retente sa chance pour six ans : Seconde liste ou non, celle de Patrick Legoux, maire sortant, est bien complète », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Chevennes - Monument », sur Geneanet (consulté le ).
  33. « 02182 Chevennes (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).