Chronologie du blues

La chronologie du blues présente sur une échelle de temps les événements marquants (naissance et décès de personnalités, création d'œuvres, etc.) de chaque année dans le domaine du blues et des différents courants qui en sont issus, comme le boogie woogie ou le rhythm and blues.

Couverture de James Bland's 3 Great Songs en 1879.
  • 1619 : à Jamestown (Virginie), des producteurs de tabac achètent des esclaves à un navire néerlandais[1].
  • 1764 : première mention attestée du banjo[1].
  • 1830 : parodie de blackface par Thomas "Daddy" Rice dans Jim Crow[1].
  • 1850 : Fugitive Slave Act[1].
  • 1850 : Gustave Blessner et Sarah M. Graham publient I Have Got the Blues To Day! (en), peut-être la plus ancienne chanson comportant le mot « blues » dans son titre[2].
  • 1855 : les premières troupes de minstrel show entièrement composées d'afro-américains voient le jour[3].
  • 1863 : fin de la Guerre de Sécession et abolition de l'esclavage aux États-Unis.
  • 1867 : publication de Slave Songs Of The United States de William Francis Allen, Lucy McKim Garrison et Charles Pickard Ware, premier recueil de Negro Spirituals[4].
  • vers 1870 : débuts de la danse cake-walk, qui influencera le ragtime.
  • vers 1870 : Wesley Duke, dit West Duke, est le premier leader noir d'un orchestre noir à Memphis (Tennessee) sur Beale Street[5].
  • 1883 : le Civil Rights Act de 1875 est annulé par la Cour suprême[6].
  •  : naissance de William Christopher Handy, surnommé « le père du blues »[7].
  • à partir de 1875 : James Bland (1854-1911) écrit plus de 700 chansons pour les spectacles de minstrels[8]. Sa chanson la plus populaire est Carry Me Back to Old Virginny[8].
  • vers 1880 : Jim Turner, chef d'orchestre vedette à Memphis, officie au Savoy, au Pastime, au Daisy ou au Pee Wee[5]. Il y découvrira W. C. Handy[5], avec qui il enregistrera plus tard en tant que violoniste au sein du Handy's Memphis Blues Band. Jim Turner est l'auteur de la chanson Joe Turner, qui inspirera Memphis Blues à W. C. Handy[9].
  • vers 1890 : débuts du ragtime, musique afro-américaine particulièrement populaire de 1897 à 1918.
  • 1893 : W.C. Handy joue du cornet à l'Exposition universelle de Chicago[10].
  • 1893 : Mamie Smith fait ses débuts à l'âge de dix ans dans des troupes de danse et part en tournée avec la revue The Smart Set[11].
  • 1896 : George W. Johnson est le premier artiste noir enregistré avec les chansons Whistling Coon et The Laughing Song[12].
  • décembre 1897 : publication de Harlem Rag de Tom Turpin, premier ragtime composé par un Afro-Américain[13].
  • 1898 : Jack « The Bear » Wilson et Lawrence Deas publient I Natur'ly Loves That Yaller Man, le seul exemple connu d'une progression typique du blues à 12 mesures édité avant 1900. Les paroles sont tiennent plus des coon songs que du blues[14].

Les années 1900

modifier
W. C. Handy en 1936
  • v. 1900 : The Rabbit's Foot Company (ou Rabbit's Foot Minstrels) faits ses débuts à Paterson (New Jersey). La troupe accueillera dans ses rangs Ma Rainey[15], Bessie Smith[16], Ida Cox[17] ou Daddy Stovepipe[18].
  • 1901 : Chris Smith (1879-1949) et Elmer Bowman (1879-1916) composent I've Got De Blues, une coon song qui est une des premières chansons comportant le mot « Blues » dans son titre[2].
  • 1902 : W. C. Handy parcourt le Mississippi, ce qui lui permet d'écouter des styles musicaux variés joués par des gens ordinaires.
  • v. 1902 : débuts de l'Original Louisville Jug Band d'Earl McDonald (en) (1895-1949)[19].
  • 1903 : date à laquelle W.C. Handy prétend avoir entendu du blues pour la première fois dans la gare de Tutwiler[20].
  • juillet-septembre 1903 : l'article « Notes and Negro Music » de l'archéologue de Harvard, Charles Peabody, paru dans Journal of American Folklore, comprend l'une des premières discussions publiées sur la musique qui sera connue sous le nom de blues, dans le comté de Coahoma, au nord du Mississippi[21].
  • 1904 : publication de He Done Me Wrong par Hugh Cannon, première version connue de Frankie and Johnny[22].
  • v. 1905 : Earl Harris donne des leçons de guitare au jeune Charley Patton[23].
  • v. 1907 : Charley Patton accompagne Henry Sloan (en) en tournée.
  • v. 1907 : le jug band de Gus Cannon (1883-1979), les Cannon's Jug Stompers, font leurs débuts à Memphis[5].
  • 1909 : W. C. Handy s'installe à Memphis sur Beale Street. Il compose la chanson Mr. Crump pour la campagne municipale d'Edward Crump. Ce morceau instrumental sera rebaptisé Memphis Blues[5].
  • 1909 : Robert Hoffman (1878-1964) compose The Alabama Bound, également nommée Alabama Blues[24].

Les années 1910

modifier
Première page de The St. Louis Blues de W. C. Handy.
The Memphis Blues par le Victor Military Band en 1914

Les premières publications de chansons de blues interviennent au début de la décennie. Mais les premiers enregistrements de blues sont souvent le fait d'orchestres composés de musiciens blancs.

Les années 1920

modifier
Crazy Blues par Mamie Smith en 1920.
Mamie Smith
Bessie Smith
Ma Rainey
Blind Lemon Jefferson
Blind Willie McTell : Statesboro Blues.
Charley Patton : Mississippi Bo Weavil Blues.
T-Bone Walker à l'American Folk Blues Festival à Hambourg en 1972.

Les premiers disques de blues sont enregistrés par des chanteuses, ce qu'on appelle généralement Classic (female) blues singers[38]. Issues des spectacles de vaudeville, elles sont souvent accompagnées d'un pianiste ou d'un orchestre de jazz. Le premier enregistrement de blues rural a lieu en 1923, mais c'est surtout à partir de 1927 que ce genre devient populaire, lorsque les maisons de disques, principalement implantées à New York et Chicago, envoient des équipes dans le Sud enregistrer les artistes locaux[25].

  • 14 février : sur l'insistance du compositeur Perry Bradford, Mamie Smith enregistre son premier disque That Thing Called Love / You Can’t Keep A Good Man Down à New York pour Okeh Records[39].
  • 10 août : Mamie Smith enregistre Crazy Blues. Ceci est le premier disque de blues enregistré par une artiste noire[40]. Le disque se vend à 75000 exemplaires le mois de sa sortie[41]. Le succès de Crazy Blues incite les autres maisons de disque à produire des chanteuses de blues[41].
  • novembre : Lucille Hegamin enregistre Jazz Me Blues et Everybody's Blues. Elle est la seconde artiste noire à enregistrer du blues[42].
  • Daddy Stovepipe enregistre Sundown Blues. Il est l'un des plus anciens bluesmen (par l'âge) à avoir enregistré[53].
  • avril : Ed Andrews enregistre Barrelhouse Blues à Atlanta pour Okeh. C'est le premier blues traditionnel enregistré dans le Sud[52].
  • août : premiers enregistrements de Papa Charlie Jackson, dont Papa Lawdy Lawdy Blues[54].
  • 16 octobre : Ma Rainey et son Georgia Jazz Band enregistrent See See Rider Blues[55].
  • 31 décembre : Clara Smith enregistre My Doggone Lazy Man avec l'harmoniciste Herbert Leonard. C'est le premier enregistrement de blues connu comprenant un harmonica[56].

Les années 1930

modifier
Son House
Leadbelly
L'une des tombes de Robert Johnson.
Po' Boy par Bukka White.
  • février : Skip James enregistre 6 chansons pour Paramount à Grafton, dont Hard Time Killin’ Floor Blues[86], Devil Got My Woman et I'm So Glad[87].

Les années 1940

modifier
Memphis Minnie
Louis Jordan à New York en juillet 1946.
Lightnin' Hopkins en 1946.
Eddie Boyd en 1968.
Muddy Waters à Paris en novembre 1976.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les enregistrements se font plus rares. La fin de la guerre marque l'avènement du rhythm and blues, du jump blues et ses blues shouters, et du West Coast blues.

Les années 1950

modifier
John Lee Hooker en 1997.
Willie Dixon en 1981.
B. B. King
Screamin' Jay Hawkins en 1979.
Bo Diddley en 2005.
Lowell Fulson en 1980.
Otis Rush en 1997.

Vers le milieu des années 1950, le blues devient moins populaire. Il est supplanté par l'apparition de rock 'n' roll et de la musique soul[25]. La décennie marque pourtant un âge d'or du blues électrique à Chicago, avec Muddy Waters et Howlin' Wolf en tête de file.

Les années 1960

modifier
Freddie King à Paris en 1975.
Etta James en 2000.
Memphis Slim avec Lowell Fulson à Paris en 1980.
Junior Wells au New Orleans Jazz & Heritage Festival en 1996.
Taj Mahal en 2005.
Brownie McGhee en 1981.
Sonny Terry en 1980.
Albert King
Eric Clapton au Madison Square Garden à New York en mai 2015.
Canned Heat en 1970.

Des musiciens anglais découvrent le blues et de nombreux groupes mélangeant blues et rock se créent au Royaume-Uni. Le British blues boom permettra au public américain de redécouvrir cette musique par l'intermédiaire de la British Invasion. Apparition du Blues rock. À l'opposé, la mode de la musique folk apporte un regain d'intérêt aux musiciens de blues traditionnel.

Les années 1970

modifier
Bobby Blue Bland à Baltimore en 2010
Johnny Winter en 1990.
Edgar Winter en 1974.
Buddy Guy au Long Beach Blues Festival en 1998.
Rory Gallagher au Manchester Apollo en 1982.
Albert Collins à Mantes-la-Jolie en avril 1980.
  • mai : mort de Robert Petway, 70 ans.
  • fondation de Ace Records, label anglais spécialisé dans la réédition de disques de blues et de rhythm & blues des années 1940[275].

Les années 1980

modifier
James Cotton au Monterey Jazz Festival en 1981.
Eric Bibb en 2006.
R. L. Burnside Knoxville (Tennessee) en 1982.
Bonnie Raitt au New Orleans Jazz & Heritage Festival en 2004.

Les années 1990

modifier
Luther Allison au Riverwalk Blues Festival de Fort Lauderdale en 1996.
Ry Cooder en 2009.
Robert Cray à Austin (Texas) en mars 2007.
Lucky Peterson au Festival National de Blues du Creusot en 1994.

Les années 2000

modifier
Koko Taylor au New Orleans Jazz & Heritage Festival en 2006.
Popa Chubby en 2012.
Allen Toussaint au Roosevelt Hotel de La Nouvelle Orléans en 2009.
Keb' Mo' au Crossroads Guitar Festival, Toyota Park (Bridgeview), en 2010.

Le Sénat américain proclame 2003 « Année du Blues » aux États-Unis[338].

Les années 2010

modifier
Dr. John au festival de Rudolstadt en 2011.
Eddy Clearwater au Iron Horse Music Hall de Northampton (Massachusetts) en 2008.
Joe Bonamassa à la Jahrhunderthalle de Francfort en 2016.
B. B. King vers 2013.
Chuck Berry au Steinegg Live Festival, près de Bolzano, en 2013.

Les années 2020

modifier
Samantha Fish en concert à Zurich en 2019.

Références

modifier
  1. a b c et d Eagle et LeBlanc 2013, p. xxiii.
  2. a et b Birnbaum 2013, p. 66.
  3. (en) Robert C. Toll, Blacking Up : The Minstrel Show in Nineteenth-century America, New York, Oxford University Press, .
  4. Komara 2006, p. 112.
  5. a b c d e et f Mazzoleni 2006.
  6. Eagle et LeBlanc 2013, p. xxiv.
  7. Komara 2006, p. 400.
  8. a et b (en) The Editors of Encyclopaedia Britannica, « Minstrel show », sur Encyclopaedia Britannica, .
  9. (en) Preston Lauterbach, Beale Street Dynasty : Sex, Song, and the Struggle for the Soul of Memphis, W. W. Norton & Company, , 377 p. (ISBN 978-0-393-35213-9, lire en ligne).
  10. (en) « From the Heart of Dixie, composer W.C. Handy », sur African American Registry (consulté le ).
  11. Olivier Douville, « Crazy Blues », sur African American Registry (consulté le ).
  12. Komara 2006, p. 812.
  13. Sullivan 2017, p. 7.
  14. Birnbaum 2013, p. 71.
  15. Komara 2006, p. 802.
  16. a et b Herzhaft 1992, p. 315.
  17. a b et c Komara 2006, p. 235.
  18. (en) Nigel Williamson (préf. Robert Plant), Rough Guide to the Blues, Londres, Rough Guides, , 393 p. (ISBN 978-1-84353-519-5, BNF 41041797).
  19. (en) Michael L. Jones, Louisville Jug Music : From Earl McDonald to the National Jubilee, Charleston, The History Press, , 128 p. (ISBN 978-1-62619-496-0, lire en ligne).
  20. a et b Koechlin 2014.
  21. Sullivan 2017, p. 10.
  22. Eagle 2013, p. xxiv.
  23. Komara 2006, p. 748.
  24. a et b (en) David Evans (dir.), Ramblin' on My Mind : New Perspectives on the Blues, University of Illinois Press, , 440 p. (ISBN 978-0-252-07448-6, lire en ligne), p. 53.
  25. a b c et d Oakley 1985.
  26. Sullivan 2017, p. 20.
  27. Eagle 2013, p. 114.
  28. a et b Eagle 2013, p. 221.
  29. Malone 2008, p. 243.
  30. Nick Tosches (trad. Héloïse Esquié), Blackface : au confluent des voix mortes [« Where Dead Voices Gather »], Allia, , 320 p. (ISBN 978-2-84485-110-9, lire en ligne), p. 37-38.
  31. Komara 2006, p. 925-926.
  32. Birnbaum 2013, p. 73.
  33. Komara 2006, p. 1055.
  34. (en) John Robert Brown, A Concise History of Jazz, Mel Bay Publications, , 228 p. (ISBN 0-7866-4983-6, lire en ligne), p. 24-25
  35. Komara 2006, p. 459.
  36. Komara 2006, p. 402.
  37. (en) Frank Hoffman, Encyclopedia of Recorded Sound, Taylor & Francis, , 1200 p. (ISBN 978-0-203-48427-2), p. 765.
  38. Komara 2006, p. 1096.
  39. Oakley 1985, p. 108.
  40. Herzhaft 1992, p. 813.
  41. a et b Oakley 1985, p. 109.
  42. Komara 2006, p. 113.
  43. (en) Jitu K. Weusi, « The Rise and Fall of Black Swan Records »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), A History of Jazz Before 1930, sur The Red Hot Jazz Archive, (consulté le ).
  44. (en) Allan Sutton et Kurt Nauck, American Record Labels and Companies : An Encyclopedia (1891-1943), Denver, Mainspring Press, , 1re éd., 417 p. (ISBN 0-9671819-0-9), p. 417.
  45. Komara 2006, p. 281.
  46. Komara 2006, p. 480.
  47. (en) Karen Coker, « George W. Thomas, Jr.: Piano Blues and Boogie Woogie Legend », sur PB Junction, (consulté le ).
  48. a b c d e et f (en) « Discography of American Historical Recordings ».
  49. a et b (en) « The Red Hot Jazz Archive ».
  50. Eagle 2013, p. 44.
  51. Komara 2006, p. 134.
  52. a et b Oakley 1985, p. 146.
  53. Komara 2006, p. 1059.
  54. Birnbaum 2013, p. 76.
  55. Herzhaft 1992, p. 469.
  56. Komara 2006, p. 407.
  57. (en) Bill Dahl, « Biographie de B. B. King », sur allmusic.com (consulté le ).
  58. Komara 2006, p. 520.
  59. Birnbaum 2013, p. 80.
  60. Herzhaft 1992, p. 438.
  61. Birnbaum 2013, p. 79.
  62. Birnbaum 2013, p. 83.
  63. a et b Komara 2006, p. 527.
  64. Sullivan 2017, p. 72.
  65. (en) « Rubin Lacey », sur The-Blues-Trail (consulté le ).
  66. Sullivan 2013, p. 741.
  67. Evans 1982, p. 269.
  68. (en) Sean Styles, « Trail of the Hellhound : Tommy Johnson », sur nps.gov, National Park Service, (consulté le ).
  69. Birnbaum 2013, p. 131.
  70. Gioia 2009, p. 120.
  71. Birnbaum 2013, p. 105.
  72. Sullivan 2013, p. 518.
  73. Sullivan 2013, p. 98.
  74. (en) Bobb Edwards, « Clarence “Pine Top” Smith », Find a Grave.
  75. a et b (en) Robert Sacre, Charley Patton : Voice of the Mississippi Delta, Jackson, University Press of Mississippi, , 256 p. (ISBN 978-1-4968-1856-0, lire en ligne), p. 76, 85.
  76. a b et c Herzhaft 1992, p. 468.
  77. Herzhaft 1992, p. 33.
  78. Herzhaft 1992, p. 444.
  79. Sullivan 2017, p. 89.
  80. Komara 2006, p. 304.
  81. (en) « Blind Lemon Jefferson Biography »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur The Biography.com, A&E Television Networks, (consulté le ).
  82. Sullivan 2013, p. 280.
  83. Herzhaft 1992, p. 462.
  84. Sullivan 2013, p. 223.
  85. a et b Sullivan 2017, p. 99.
  86. Sullivan 2017, p. 104.
  87. Sullivan 2013, p. 524.
  88. (en) Ellen Harold et Don Flemming, « Lead Belly/Lomax Chronology », sur Cultural Equity (consulté le ).
  89. Sullivan 2017, p. 116.
  90. Eagle 2013, p. 325.
  91. Herzhaft 1992, p. 55.
  92. Sullivan 2017, p. 124.
  93. Birnbaum 2013, p. 108.
  94. Herzhaft 1992, p. 476.
  95. a b et c (en) Stephen LaVere, Robert Johnson, The Complete Recordings (livret du coffret CD), collection Roots N'Blues - Columbia Records (1990, C3 46222).
  96. Sullivan 2017, p. 129-130.
  97. Sullivan 2017, p. 311.
  98. Sullivan 2017, p. 132.
  99. (en) Chris Albertson, Bessie : Empress of the Blues, Londres, Sphere Books, , 253 p. (ISBN 978-0-8128-1406-4), p. 196.
  100. Eagle 2013, p. 504.
  101. a b et c Herzhaft 1992, p. 445.
  102. Herzhaft 1992, p. 455.
  103. Sullivan 2017, p. 160.
  104. a et b Herzhaft 1992, p. 442.
  105. Sullivan 2013, p. 653.
  106. Sullivan 2017, p. 168.
  107. a b c d e f g h i j k l m et n (en) Phil Wight et Fred Rothwell, « The Complete Muddy Waters Discography », Blues & Rhythm, no 200,‎ , p. 36-53 (lire en ligne [PDF]).
  108. Sullivan 2017, p. 170.
  109. Ford 2007, p. 407.
  110. Tosches 2000, p. 90.
  111. Eagle 2013, p. xxv.
  112. Herzhaft 1992, p. 441.
  113. Youtube : T-Bone Walker - T-Bone Boogie
  114. (en) Johnny Harper, « T-Bone Walker: Blues Guitar Godfather », sur There Productions, .
  115. Sullivan 2017, p. 199.
  116. (en) Jim Dawson et Steve Propes, What Was The First Rock'n'roll Record ?, Faber and Faber, , 201 p. (ISBN 978-0-571-12939-3).
  117. (en) Bob Leszczak, Encyclopedia of Pop Music Aliases, 1950-2000, Rowman & Littlefield, , 201 p. (ISBN 978-0-571-12939-3, lire en ligne), p. 84.
  118. Herzhaft 1992, p. 458.
  119. (en) Alberta Hunter, « Mamie Smith Last of Blues Quintet », The Afro-American,‎ (lire en ligne).
  120. Evans 1982, p. 377.
  121. Sullivan 2013, p. 68.
  122. (en) « Ahmet Ertegun's Atlantic Records », sur The History of Rock and Roll (consulté le ).
  123. Sullivan 2017, p. 213.
  124. Sullivan 2017, p. 209.
  125. Oakley 1985, p. 265.
  126. Komara 2006, p. 137.
  127. Birnbaum 2013, p. 158.
  128. (en) Robert Palmer, Rock & Roll : An Unruly History, Harmony Books, , 325 p. (ISBN 978-0-517-70050-1).
  129. (en) John Nova Lomax, « Wham, Bam, Thank You MAMH », Houston Press,‎ (lire en ligne).
  130. (en) Roger Wood, Down in Houston : Bayou City Blues, University of Texas Press, , 358 p. (ISBN 978-0-292-74419-6, lire en ligne).
  131. Herzhaft 1992, p. 473.
  132. Eagle 2013, p. 301.
  133. (en) Rick Coleman, Blue Monday : Fats Domino and the Lost Dawn of Rock 'n' Roll, Cambridge, Massachusetts, Da Capo Press, , 416 p. (ISBN 978-0-306-81491-4).
  134. (en) Christian O'Connell, Blues, How Do You Do? : Paul Oliver and the Transatlantic Story of the Blues, Ann Arbor, University of Michigan Press, , 264 p. (ISBN 978-0-472-07267-5, lire en ligne), p. 29.
  135. Herzhaft 1992, p. 60-61.
  136. (en) Robert Palmer, Deep Blues, Penguin Books, , 310 p. (ISBN 0-14-006223-8), p. 104
  137. Evans 1982, p. 137.
  138. a et b Sullivan 2013, p. 295.
  139. (en) Stephen Wirz, « Illustrated Arthur Crudup Discography », sur Wirz' American Music (consulté le ).
  140. Tosches 2000, p. 159-161.
  141. Sullivan 2013, p. 841.
  142. Herzhaft 1992, p. 446.
  143. Komara 2006, p. 472.
  144. Sullivan 2013, p. 430.
  145. Sullivan 2017, p. 242.
  146. CD Little Richard, Tutti Frutti, Selected singles 1951-1956, All Star Series, Saga, 2007.
  147. Eagle 2013, p. 270.
  148. Birnbaum 2013, p. 234.
  149. Herzhaft 1992, p. 474-475.
  150. Sullivan 2013, p. 845.
  151. Eagle 2013, p. 293.
  152. Herzhaft 1992, p. 460.
  153. Sullivan 2013, p. 201.
  154. Eagle 2013, p. 228.
  155. Herzhaft 1992, p. 454.
  156. Sullivan 2017, p. 280.
  157. Sullivan 2013, p. 83.
  158. Sullivan 2013, p. 388.
  159. Sullivan 2013, p. 849.
  160. Sullivan 2017, p. 283.
  161. Sullivan 2013, p. 470.
  162. Sullivan 2017, p. 279.
  163. a et b Komara 2006, p. 579.
  164. Komara 2006, p. 219.
  165. Sullivan 2013, p. 452.
  166. Michka Assayas (dir.), Dictionnaire du rock, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2000-2001 (ISBN 978-2-221-09565-2), p. 221-222.
  167. Komara 2006, p. 392-393.
  168. Sullivan 2013, p. 304.
  169. Herzhaft 1992, p. 437.
  170. Komara 2006, p. 388-389.
  171. Komara 2006, p. 674.
  172. Sullivan 2013, p. 547.
  173. (en) Samuel B. Charters, « Pochettes du disque »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur Smithsonian Folkways Recordings (consulté le ).
  174. Ford 2007, p. 1162.
  175. Ford 2007, p. 72.
  176. Sullivan 2013, p. 622.
  177. Sullivan 2017, p. 338.
  178. Sullivan 2017, p. 693.
  179. (en) « The Chess Era (1955-1966) », sur Chuck Berry Collector's Guide (consulté le ).
  180. Sullivan 2017, p. 337.
  181. (en) « At Last, Record Details », sur 45Cat.com (consulté le ).
  182. Ford 2007, p. 52.
  183. Sullivan 2017, p. 340.
  184. (en) George Bedard, « My Kind of Blues : Review », Allmusic (consulté le ).
  185. a et b Eagle 2013, p. 52.
  186. (en) « King of the Delta Blues Singers - Robert Johnson : Songs, Reviews, Credits », sur AllMusic (consulté le ).
  187. a et b George-Warren et Romanowski 2001, p. 239
  188. Sullivan 2017, p. 349.
  189. (en) « American Folk Blues Festival : Live in Paris 1962 », sur Fremeaux.com (consulté le ).
  190. a et b Greil Marcus (trad. de l'anglais par Héloïse Esquié et Justine Malle), Mystery Train : Images de l'Amérique à travers le Rock'n'roll [« Mystery Train: Images of America in Rock'n'roll Music »], Paris, Allia, , 432 p. (ISBN 2-84485-077-4, lire en ligne), p. 254.
  191. Sullivan 2013, p. 479.
  192. François Bon, Rolling Stones : une biographie, Fayard, , 682 p. (ISBN 978-2-213-61308-6, lire en ligne), p. 186.
  193. Eagle 2013, p. 79.
  194. (en) « John Edwards Memorial Foundation Records, circa 1930s-1980s (bulk 1960-1988) », sur UNC Chapel Hill Libraries (consulté le ).
  195. Sullivan 2017, p. 355.
  196. (en) « Blues Unlimited Number One (April 1963) » [PDF], sur Stefan Wirz (consulté le ).
  197. a et b Eagle 2013, p. 82.
  198. Komara 2006, p. 57.
  199. Sullivan 2013, p. 97-99.
  200. Komara 2006, p. 500.
  201. Komara 2006, p. 185.
  202. Jean-Michel Guesdon et Philippe Margotin, Les Rolling Stones, La Totale : les 340 chansons expliquées, Chêne E/P/A, , 704 p. (ISBN 978-2-85120-858-3).
  203. Komara 2006, p. 272.
  204. Herzhaft 1992, p. 102.
  205. Ford 2007, p. 789.
  206. Sullivan 2013, p. 386.
  207. Eagle 2013, p. 190.
  208. Herzhaft 1992, p. 409.
  209. Herzhaft 1992, p. 477.
  210. Herzhaft 1992, p. 371.
  211. Sullivan 2017, p. 394.
  212. Herzhaft 1992, p. 432.
  213. (en) Bruce Eder, « John Mayall with Eric Clapton, Blues Breakers : Biography & History », sur AllMusic (consulté le ).
  214. Komara 2006, p. 482.
  215. Komara 2006, p. 1050.
  216. (en) Stephen Thomas Erlewine, « Cream, Fresh Cream : Overview », sur AllMusic (consulté le ).
  217. Komara 2006, p. 332.
  218. Komara 2006, p. 594-595.
  219. (en) John McDermott, Ultimate Hendrix : An Illustrated Encyclopedia of Live Concerts and Sessions, New York, BackBeat Books, , 256 p. (ISBN 978-0-87930-938-1), p. 50.
  220. Sullivan 2013, p. 559.
  221. Komara 2006, p. 123.
  222. Malone 2008, p. 218.
  223. Komara 2006, p. 624.
  224. Komara 2006, p. 525.
  225. Komara 2006, p. 945.
  226. Komara 2006, p. 952.
  227. Sullivan 2017, p. 435.
  228. (en) Michael J. Fairchild, Jimi Hendrix : Blues (notes de CD), Universal City, Californie, MCA Records, , p. 22.
  229. Jean-Claude Legros, « Taj Mahal – « The Natch’l Blues » », sur Blues Attic, (consulté le ).
  230. « Un bref historique de Soul Bag », sur soulbag.presse.fr.
  231. Tosches 2000, p. 73.
  232. Sullivan 2013, p. 119.
  233. (en) « Ann Arbor Blues Festival 1970 Setlists », sur Setlist.fm (consulté le ).
  234. Komara 2006, p. 503-504.
  235. Komara 2006, p. 581.
  236. (en) Stephen Thomas Erlewine, « Super Black Blues », sur All Music (consulté le ).
  237. (en) Bruce Eder, « Willie Dixon, I Am the Blues », sur All Music.
  238. Komara 2006, p. 410.
  239. Komara 2006, p. 458.
  240. Komara 2006, p. 915-916.
  241. Komara 2006, p. 532-533.
  242. Eagle 2013, p. xxvii.
  243. Eagle 2013, p. 353.
  244. Charles R. Cross, Jimi Hendrix : L'expérience des limites, Camion Blanc, , 512 p. (ISBN 978-2-910196-45-5).
  245. Jimbo, « La mort solitaire de Janis Joplin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur e-torpedo, (consulté le ).
  246. « Documenting the Blues », sur Mississippi Blues Trail (consulté le ).
  247. Komara 2006, p. 443.
  248. Komara 2006, p. 841.
  249. Komara 2006, p. 959.
  250. a et b Komara 2006, p. 805.
  251. Malone 2008, p. 166.
  252. Komara 2006, p. 746.
  253. Komara 2006, p. 256-257.
  254. Komara 2006, p. 686.
  255. Komara 2006, p. 102.
  256. Komara 2006, p. 978.
  257. (en) Songfacts, « La Grange by ZZ Top - Songfacts », sur songfacts.com (consulté le ).
  258. Herzhaft 1992, p. 115-116.
  259. Komara 2006, p. 136-137.
  260. « Memphis Slim, Canned Heat, The Memphis Horns - Memphis Heat », sur Discogs (consulté le ).
  261. Tosches 2000, p. 63.
  262. (en) Jeff Perkins, AC/DC : Uncensored on the Record, Archive Media Publishing, , 183 p. (ISBN 978-1-78158-195-7).
  263. Komara 2006, p. 1044.
  264. Komara 2006, p. 958-959.
  265. a et b Eagle 2013, p. xxviii.
  266. Gioia 2009, p. 306.
  267. Komara 2006, p. 824.
  268. Komara 2006, p. 922.
  269. Komara 2006, p. 572-573.
  270. (en) « The Devil's Music A History of the Blues », sur Librairy Of Congres (consulté le ).
  271. (en) Stefan Wirz, « The Devil's Music », sur Wirz' American Music (consulté le ).
  272. Komara 2006, p. 1070-1071.
  273. Komara 2006, p. 304-305.
  274. Eagle 2013, p. 121.
  275. Komara 2006, p. 5.
  276. Eagle 2013, p. 213.
  277. Tosches 2000, p. 164.
  278. (en) « Blues All of Fame - About/Inductions », sur Blues Foundation (consulté le ).
  279. Tosches 2000, p. 196.
  280. Komara 2006, p. 786.
  281. Komara 2006, p. 130.
  282. Herzhaft 1992, p. 411.
  283. Komara 2006, p. 101-102.
  284. Eagle 2013, p. 101.
  285. (en) « Canned Heat: The Official Band Biography », sur Canned Heat Music (consulté le ).
  286. Tosches 2000, p. 101.
  287. Komara 2006, p. 226.
  288. « Qu’est ce que tu vas faire ? – 1981 », sur Bill Deraime (consulté le ).
  289. Eagle 2013, p. 294.
  290. Sullivan 2017, p. 558.
  291. « Historique du Festival », sur Cahors Blues Festival (consulté le ).
  292. Eagle 2013, p. 216.
  293. George-Warren et Romanowski 2001, p. 1050
  294. Komara 2006, p. 1032.
  295. Komara 2006, p. 949.
  296. a b c d e et f Komara 2006, p. 1032-1033.
  297. (en) « Chicago Blues Festival », sur Sooze Blues and Jazz (consulté le ).
  298. Eagle 2013, p. 92.
  299. Komara 2006, p. 663.
  300. (en) « Blues Explosion (Vinyl, LP, Compilation) », sur Discogs (consulté le ).
  301. Eagle 2013, p. 271.
  302. Tosches 2000, p. 50.
  303. Eagle 2013, p. 71.
  304. « John Broven - Biography », sur Johnbroven.com (consulté le ).
  305. Komara 2006, p. 1035.
  306. (en) « Crossroads (1986) - Release Info », sur Internet Movie Database (consulté le ).
  307. (en) « Robert Johnson », sur Rock & Roll Hall of Fame (consulté le ).
  308. (en) Ronald L. Soble, « Paul Butterfield, Blues Innovator in Rock Music, Dies », Los Angeles Times Articles,‎ (lire en ligne).
  309. Eagle 2013, p. 174.
  310. Komara 2006, p. 688.
  311. Eagle 2013, p. 187-188.
  312. Malone 2008, p. 253.
  313. Komara 2006, p. 461.
  314. Komara 2006, p. 395.
  315. Eagle 2013, p. 222.
  316. Komara 2006, p. 567.
  317. Eagle 2013, p. 269.
  318. a b et c Komara 2006, p. 209.
  319. Komara 2006, p. 415.
  320. Eagle 2013, p. 296.
  321. Komara 2006, p. 561.
  322. Eagle 2013, p. 192.
  323. Florent Mazzoleni, Nirvana et le Grunge : 15 Ans de Rock Underground américain, Paris, Presses de la Cité, coll. « Gilles Verlant présente », , 159 p. (ISBN 2-258-06963-7), p. 150.
  324. David Baerst, Hexagone Blues : 130 interviews et biographies inédites - Tome 2, Rosières-en-Haye, Camion Blanc, , 743 p. (ISBN 978-2-35779-685-0 et 978-2-35779-686-7, lire en ligne), « Autres acteurs et passionnés du blues en France ».
  325. Komara 2006, p. 357.
  326. (en) « Simply Fantastic : Congratulations to our 1996 Grammy Winners », Billboard, vol. 108, no 11,‎ , p. 23 (ISSN 0006-2510, lire en ligne).
  327. Eagle 2013, p. xxix.
  328. Komara 2006, p. 41.
  329. Komara 2006, p. 1094.
  330. Eagle 2013, p. 196.
  331. (en) Chris Handyside, « The White Stripes: Biography », AllMusic (consulté le ).
  332. Eagle 2013, p. 163.
  333. Tosches 2000, p. 84.
  334. Komara 2006, p. 350.
  335. « Disparition de Screamin'Jay Hawkins, chanteur de blues africain-américain », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  336. Sylvain Siclier, « La mort de John Lee Hooker, maître à jouer du blues », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  337. Komara 2006, p. 987.
  338. Eddie Bob Loney, « Il y a cent ans, sur un quai de gare... », Libération,‎ (lire en ligne).
  339. « Sam Phillips : on l'appelait le « père du rock » », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne).
  340. Komara 2006, p. 127.
  341. Eagle 2013, p. 98.
  342. Komara 2006.
  343. Eagle 2013, p. 57.
  344. Eagle 2013, p. 118.
  345. Eagle 2013, p. 381.
  346. « Ike Turner a succombé à une overdose de cocaïne », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  347. (en) « Black Strobe : Soundtrack », sur Internet Movie Database (consulté le ).
  348. « Black Strobe / I'm A Man », sur Musique de pub.tv (consulté le ).
  349. Eagle 2013, p. 227.
  350. Eagle 2013, p. 246.
  351. (en) « Former Thin Lizzy guitarist Gary Moore dies », sur The Telegraph, (consulté le ).
  352. Arumbaya, « L'album de Hugh Laurie "Let Them Talk" disponible le 9 mai », sur House-Fr, (consulté le ).
  353. Dominique Queillé, « Etta James, diva enragée de la soul »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Libération, .
  354. (en) Cos Staff, « R.I.P. Johnny Winter, blues legend, dead at 70 », sur Consequence of Sound, (consulté le ).
  355. (en) Daniel Kreps, « Cream Bassist Jack Bruce Dead at 71 », sur Rolling Stone, (consulté le ).
  356. « B.B. King, légende du blues, est mort », sur L'Express, (consulté le ).
  357. Sylvain Siclier, « Mort d'Allen Toussaint, illustre pianiste de La Nouvelle-Orléans », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  358. (en) « Lonnie Mack, July 18, 1941 - April 21, 2016 », sur Alligator, .
  359. (en) Bill Friskics-Warren, « James Cotton, Blues Harmonica Legend, Dies at 81 », sur nytimes.com (consulté le ).
  360. (en) St. Charles County Police Department, « Post Facebook annonçant le décès de Chuck Berry », sur Facebook, (consulté le ).
  361. « Musique : décès de Gregg Allman, pionnier du rock sudiste », sur Le Courrier de Floride, (consulté le ).
  362. (en) « Fats Domino, 89, One of Rock 'n' Roll's First Stars, Is Dead », sur The New York Times, (consulté le ).
  363. (en) « Bluesman Eddy Clearwater dies of heart failure at age 83 », sur San Francisco Chronicle, (consulté le ).
  364. (en) « Matt "Guitar" Murphy Dies: Blues Brothers Guitarist And Noted Sideman Was 88 », sur Deadline.com, (consulté le ).
  365. (en) Bill Friskics-Warren, « Otis Rush, Influential Blues Singer and Guitarist, Is Dead at 83 », sur The New York Times, (consulté le ).
  366. (en) Juli Thanki, « 'Polk Salad Annie' songwriter Tony Joe White dead at 75 », sur The Tennessean, (consulté le ).
  367. Alain Gouvrion, « « Confessin’ The Blues » : ceux qui ont inspiré les Stones », Rolling Stone,‎ (lire en ligne).
  368. (en) Jackson Maxwell, « Jody Williams, Famed Chicago Blues Guitarist, Dead at 83 », sur Guitar World, (consulté le ).

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier