Cimetière de Fontainebleau
Le cimetière de Fontainebleau, anciennement aussi appelé cimetière du Mont-Pierreux et plus rarement les Quatre Arpents, est un lieu d'inhumation à Fontainebleau, en France. Fondé au XIXe siècle, il renferme en son noyau de nombreuses sépultures de cette époque.
Adresse | |
---|---|
Tombes |
7 000 |
Coordonnées |
BillionGraves | |
---|---|
CWGC | |
Find a Grave | |
Cimetières de France | |
Sauvons nos tombes |
Situation et accès
modifierLe cimetière se situe au nord de la ville et s'étend sur la périphérie de l'espace urbanisé de la commune de Fontainebleau. Étant à la lisière de la forêt de Fontainebleau, il est ainsi adjacent à celle-ci sur son côté nord-ouest et sud-ouest. Son côté sud-est se délimite par le boulevard du Maréchal-Joffre et son côté nord-est par la route Louise. Le côté sud-ouest se forme sur la place des Combattants-Morts-pour-la-France, où se trouve le monument aux morts, et continue par être longé par la route Louis-Philippe. Enfin, le côté nord-ouest, directement exposé au massif forestier, est longé par un chemin[1]. On retrouve l'accès principal, de deux portails, sur la place des Combattants-morts-pour-la-France, un autre depuis la route Louise et enfin un troisième secondaire qui donne sur la division B, depuis la route Louis-Philippe. Un repère de nivellement placé près du portail ouest à 44 centimètres au-dessus du sol fait état d'une altitude de 95,232 mètres[2].
Dénomination
modifierAnciennement, on l'appelle communément le cimetière du Mont-Pierreux[3],[4], en référence au Mont Perreux, Pierreux ou Paveux[5], élévation et lieu-dit dans de la forêt de Fontainebleau, où il a été bâti. Cette dénomination est toutefois devenue rare et on ne se réfère à ce cimetière, de nos jours, principalement que par le nom de la ville.
Les habitants ont aussi appelé ce lieu les « Quatre Arpents » au vu de sa forme et sa superficie simple[6].
Histoire
modifierAnciens cimetières
modifierDu XIIIe au XVIIe siècle, l'église de la paroisse d'Avon servait de lieu de sépulture aux habitants. Il a également existé un lieu d'inhumation près du château, le cimetière des Mathurins.
Après la création de la paroisse de Fontainebleau, le roi Louis XIV fait créer un cimetière dans le bourg de Fontainebleau, le : le cimetière de la rue des Petits-Champs[7]. Devenu insalubre et mal placé, il est fermé à la Révolution pour un nouveau lieu d'inhumation, plus en retrait de la ville : le cimetière de la Vallée de la Chambre.
Fondation
modifierLe cimetière a été créé par ordonnance royale du [6]. La partie la plus ancienne correspond à l'actuelle division E.
Au cours du XIXe siècle, il est avant tout réservé à une élite riche, notamment composée d'aristocrates[8].
Développement
modifierAu cours du XXe siècle, le cimetière gagne des parcelles et s'étend à l'ouest, puis à l'est. L'Abeille de Fontainebleau note, à l'occasion de la Toussaint de 1895 que le cimetière est « orné de grands pins, créé en amphithéâtre à l'entrée de notre belle forêt »[9].
Au début du siècle, un agrandissement du cimetière s'étendant déjà sur 20 725 mètres carrés est projeté. Le grand nombre d'inhumations durant la Première Guerre mondiale provoque sa réalisation : ainsi, en octobre 1918, une équipe de travailleurs indochinois abat les arbres entre la route Louis-Phillipe et la route Louise[10]. Plus tard, au cours de sa séance du , le conseil municipal approuve un projet d'aggrandissement, malgré une pétition des habitants des rues Pierre-Dan, René-Quinton et de l'Abbé-Renaudeau[11].
Vers le début des années 1980, la Ville de Fontainebleau acquiert un bois de 170 hectares vers Larchant et l'échange avec l'Office national des forêts pour un terrain de 1,7 hectare. Ainsi libre et utilisable, ce terrain adjacent au cimetière est destiné à son extension en 1981. Son défrichement est entamé par sa partie nord, mais de faux marquages bleus multipliés par des protecteurs de la forêt viennent retarder l'opération. L'intervention de riverains et de défenseurs du site laisse alors place à un compromis qui évite la coupure d'une bande forestière longeant la route Louise, faisant ainsi reculer d'une huitaine de mètres l'emplacement initialement prévu pour le mur de clôture et l'entrée[12].
Vandalisme
modifierLe , un déséquilibré macule 67 tombes de tags de croix gammées (symbole néonazi) — de couleur rose, blanche et argentée[13],[14],[15] (dite chrome dans le milieu des graffeurs) — auxquelles s’ajoutent plusieurs inscriptions « Charles » et « Biobananas »[16], en lettres capitales. Le parquet est saisi et il est alors précisé qu’« aucune revendication ni bombe de peinture n’ont été retrouvées sur place »[17].
-
Chapelles funéraires de la division D.
-
Sépultures de la division D.
-
Inscription « Charles » sur la tombe d’Auguste Dupont de Vieux-Pont.
Plusieurs responsables politiques réagissent à ces faits via Twitter :
« Je suis scandalisé et écœuré par la découverte, ce matin, de très nombreuses tombes profanées par des croix gammées. Des actes abjects et répugnants contre lesquels je vais déposer plainte. Jamais notre cimetière n’avait été la cible de tels crimes. »[18]
— Frédéric Valletoux, maire de Fontainebleau
« Le Préfet de Seine-et-Marne condamne vigoureusement la dégradation des 67 tombes du cimetière de Fontainebleau par apposition de croix gammées. Il a mobilisé les forces de l’ordre pour identifier les auteurs rapidement. »[19]
— Thierry Coudert, préfet de Seine-et-Marne
« Profanation de 60 tombes à Fontainebleau par des néo-nazis, un acte ignoble dans cette période des fêtes qui devrait nous rassembler et nous unir ! Soutien à tous les Bellifontains. »[20]
— Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d'Île-de-France
« [Retweet du préfet] Écœuré par la profanation du cimetière de Fontainebleau recouvert de croix gammées. Tout sera fait pour retrouver les auteurs de cette ignominie. Nous ne laisserons rien passer face à ceux qui déversent la haine. »[21]
— Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur
Avant le cimetière de Fontainebleau, des faits similaires ont déjà eu lieu dans le département. Les jours suivants, d’autres tags sont découverts, notamment à Melun. Le dispositif de surveillance, mis en place dans le cadre de l’enquête, mène à l’interpellation d’un homme de 41 ans, dans la soirée du , à son domicile du Mée-sur-Seine[22],[23]. Reconnu auteur des faits, les explications données par ce dernier demeurent peu rationnelles : il évoque notamment un motif de vengeance, en expliquant avoir produit ces outrages « afin d’attirer l’attention des médias ». Il est finalement placé en hôpital psychiatrique[24].
Préoccupations relatives à l’état des sépultures
modifierL’affaissement et l’effondrement de certaines sépultures ainsi que des fissures sont constatées dans les années 2020 et deviennent la préoccupation d’habitants et d’élus. Un problème que l’on imputerait à la stabilité du terrain sableux sur lequel repose Fontainebleau ; dans cette perspective, la Ville s’engage fin 2022 à lancer une étude géologique[25]. En outre, un atelier de rénovation et nettoyage de sépultures à l’occasion de la journée citoyenne du mobilise des habitants soucieux de l’entretien des lieux[25],[26].
Structure
modifierImage externe | |
[PDF] Plan officiel du cimetière avec numérotation des divisions et des tombes |
L'ensemble, de forme trapézoïdale, est installé sur une pente ascendant vers le côté nord-ouest. Il est implanté sur un sol sableux, et son érosion est limitée par la présence de végétation sur les talus[27]. Le cimetière est entièrement entouré d'un mur. Les divisions rectangulaires se coordonnent ainsi avec des allées perpendiculaires et parallèles entre elles[1].
La partie sud est occupée par le carré militaire (où reposent 567 soldats « morts pour la France »)[28]. La partie est, plus récente, gazonnée et boisée, accueille un columbarium et une parcelle de ruches[27].
Personnalités inhumées
modifierDivision AE
modifier- Pierre-Charles Comte (1823-1895), peintre français.
Division AF
modifier- Fernande Decruck (1896-1954), compositrice française de musique classique.
Division B
modifier- Oscar Vladislas de Lubicz-Milosz[29] (1877-1939), poète lituanien de langue française. Sa tombe, en granite, est ornée d'un médaillon doré[30].
- Pierre Vaudrey (1873-1951), sculpteur français.
- Jules Viatte (1872-1922), architecte et écrivain français.
Division BD-BF
modifier- René Lucet (1943-1982), directeur de caisse de la Sécurité sociale française, découvert mort dans sa villa à Marseille, le . Ses obsèques ont lieu le [31]. Afin de réaliser une nouvelle autopsie, son corps est exhumé le matin du [32],[33],[34].
Division C
modifier- Philippe Comairas (1803-1875), peintre français.
- Claude-François Denecourt[35],[29] (1788-1875), créateur des sentiers et de plusieurs aménagements dans la forêt de Fontainebleau.
- Henri Labrouste, (1801-1875), architecte français. La translation et l'inhumation de ses restes a lieu le dans un caveau dû à son fils Léon[36].
- Léon Labrouste, (1846-1907), architecte français, fils d'Henri et inhumé dans le même tombeau[36].
- Pierre Bourgoin (1912-1966), résistant français.
Division D
modifier- André d'Houdain (1859-1904), sculpteur français.
- Charles Colinet (1839-1905), continuateur de l’œuvre de Denecourt.
- Jean Lionnet (1872-1910), écrivain français.
- Paul Chrétien (1862-1948), général de division français.
- Georges Peignot (1872-1915), graveur et fondeur de caractères, gérant de la Fonderie G. Peignot & Fils
Division E
modifier- François Xavier Frossard (1769-1827), militaire français de la Révolution et de l’Empire.
- Jean Ferdinand Elie Randon (1761-1841), baron d’Hanneucourt[37].
- Antoine Fortuné de Brack (1789-1850), général et théoricien militaire français. Il a demandé à être inhumé en ce lieu pour se trouver auprès de sa mère[38]. Son monument funéraire se présente de manière plutôt simple, avec un soubassement quadrangulaire sur lequel s'appuie une colonne toute unie, elle-même surmontée d'une croix ajourée en fer forgé. Les inscriptions, bien lisibles, comprennent notamment au sommet de la colonne « Laure extincta amabitur », ce qui pourrait se traduire du latin par « elle sera aimée même après sa mort », Laure étant probablement le diminutif de sa mère, Laurence Coquet. Cette inscription est suivie de « Ici repose auprès de sa mère, Antoine-Fortuné de Brack, né à Paris le 9 avril 1789, mort à Évreux le 21 juin 1850 »[39].
- Alexandre-Gabriel Decamps (1803-1860), peintre français, décédé des suites d'une chute de cheval dans la forêt de Fontainebleau.
- Jacques-Joseph Champollion (1778-1867), archéologue français, frère aîné de Jean-François Champollion.
- Eugène Alexandre Husson (1786-1868), général et sénateur du Second Empire.
- Jules Pasdeloup (1819-1887), chef d'orchestre français. Ses obsèques ont lieu le à partir de 11 h 30 et il est inhumé après une célébration à église Saint-Louis. À l'époque, d'autres musiciens et son entourage avaient pourtant émis le souhait que cette sépulture soit provisoire et qu'il soit transféré à Paris[40].
- Denis Guérin (1798-1888), maire de Fontainebleau de 1843 à 1852 puis de 1858 à 1871. Ses obsèques ont lieu le , avec une messe donnée à l'église Saint-Louis[4].
Écosystème et gestion écologique
modifierÀ la suite des engagements pris par la municipalité, les espaces verts du cimetière ne sont plus entretenus aux pesticides depuis 2011[41]. L'absence d'utilisation de produits phytosanitaires assure au site le « label Ecojardin » depuis 2013 avec un taux de végétalisation estimé à 30,7%[42].
Dans le cadre de cette gestion écologique, des anfractuosités et des caniveaux ont été comblés par du mortier, ainsi que des interstices ont été curés et cimentés afin d'empêcher le développement d'adventices. Un « rendez-vous Écophyto » à caractère informatif a été organisé le par la Fédération régionale de défense contre les organismes nuisibles (FREDON) et a réuni une centaine de personnes[27].
Un écopâturage saisonnier a également été mis en place. Ainsi, en 2015, des poneys du centre équestre ont été amenés pour brouter l'herbe, expérience renouvelée en 2017 avec des moutons. Un rucher a aussi été disposé sur une parcelle vers l'entrée est[41].
Dans le cadre de la participation de la commune aux programmes de la Ligue pour la protection des oiseaux, le cimetière devient un « refuge LPO » de convention 2020-2024[43].
Galerie
modifier-
Sépultures dans la division E. -
Calvaire à l'intersection des allées centrales. -
Monument aux morts du carré militaire. -
Division F et E du cimetière, le soir.
Représentations culturelles
modifierLittérature
modifier« Vorski ! Vorski ! L’être innommable dont le souvenir l’emplissait d’horreur et de honte, le monstrueux Vorski n’était pas mort ! L’assassinat de l’espion par un de ses camarades, son enterrement dans le cimetière de Fontainebleau, tout cela, des fables, des erreurs ! Une seule réalité, Vorski vivait ! »
« Il nous priait de le mettre en terre sainte, et nous le portions, vous et moi, au cimetière de Fontainebleau. »
« Ce grand-père, qu’il avait payé cinq cents francs, à qui il avait cassé l’oreille, pour qui il avait acheté un terrain au cimetière de Fontainebleau »
« Plus, une concession à perpétuité que ton mari a payée d’avance dans le cimetière de Fontainebleau. »
- 2011 : Frédéric Gruet, L'Art de creuser un trou, Éditions Gallimard (ISBN 978-2-072-42465-6). En évoquant sa grand-mère :
« Mais elle repose aujourd’hui entre six planches de chêne, au fond du cimetière de Fontainebleau. Elle occupe la troisième tombe de la quatrième rangée à l’ouest de l’angle nord-est. Elle ne doit pas être bien fleurie. Je ne vois pas ce que l’on peut ajouter d’autre. »
Références
modifier- Ressources de geoportail.gouv.fr/carte, Géoportail de l'IGN.
- « Repère de matricule W.D.M3 - 310 du nivellement général de la France », notice no 474139 [PDF], sur geodesie.ign.fr, plateforme du Service de géodésie et de métrologie, Institut national de l'information géographique et forestière,
- Bourges 1896, p. 105.
- Alexandre Guérin, « Obsèques de M. Guérin », L'Abeille de Fontainebleau, no 33 de la 54e année, , p. 2 (lire en ligne )
- André Billy, Fontainebleau: délices des poètes de la Renaissance à nos jours, Horizons de France, (lire en ligne), p. 128
- Eugène Plouchart, Le Cimetière des Mathurins : Premier Cimetière de Fontainebleau, Fontainebleau, Cuënot-Bourges, , 22 p. (lire sur Wikisource, lire en ligne [DjVu]), p. 6
- Serge Ceruti, « Les cimetières de Fontainebleau », Fontainebleau, la revue d'histoire de la ville & de sa région, (ISSN 2119-6710)
- Auguste Luchet, « Le confessional de la sœur Marie : X. L'hospice de la forêt », L'Esprit public, , p. 2 (lire en ligne , consulté le )
- « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, vol. 61, no 45, , p. 1/6 (lire en ligne , consulté le )
- « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, vol. 84, no 41, , p. 2/4 (lire en ligne , consulté le )
- « Conseil municipal », L'Abeille de Fontainebleau, no 9 de la 99e année, , p. 1/4 (lire en ligne )
- « L'extension du cimetière de Fontainebleau », Bulletin trimestriel de l'Association des naturalistes de la vallée du Loing et du massif de Fontainebleau, Fontainebleau, ANVL, vol. 52, no 3, , p. 82 (lire en ligne )
- « Seine-et-Marne : des croix gammées taguées sur 67 tombes du cimetière de Fontainebleau » , sur lci.fr, LCI, (consulté le )
- « Fontainebleau : des croix gammées taguées sur 67 tombes » , sur francebleu.fr, France Bleu, (consulté le )
- « Seine-et-Marne : 67 tombes profanées à Fontainebleau, le maire dénonce un acte "abject" » , sur francetvinfo.fr, France Info, (consulté le )
- « Des croix gammées taguées au cimetière de Fontainebleau » , sur marianne.net, Marianne, (consulté le )
- Catherine Unac, « Des croix gammées taguées sur une soixantaine de tombes à Fontainebleau » , sur midilibre.fr, Midi libre, (consulté le )
- Frédéric Valletoux (@fredvalletoux), « Je suis scandalisé et écœuré par la découverte » [archive du ], sur Twitter, (consulté le )
- Préfet de Seine-et-Marne (@Prefet77), « Le Préfet de Seine-et-Marne condamne vigoureusement la dégradation des 67 tombes du cimetière de Fontainebleau » [archive du ], sur Twitter, (consulté le )
- Valérie Pécresse (@vpecresse), « Profanation de 60 tombes à #Fontainebleau par des neo-nazis » [archive du ], sur Twitter, (consulté le )
- Gérald Darmanin (@GDarmanin), « Écœuré par la profanation du cimetière de #Fontainebleau » [archive du ], sur Twitter, (consulté le )
- Julien Van Caeyseele, « Tags et croix gammées en Seine-et-Marne. Un individu interpellé au Mée-sur-Seine » , sur actu.fr, La République de Seine-et-Marne, (consulté le )
- Thomas Segissement, « Fontainebleau : le tagueur présumé du cimetière trahi par la vidéosurveillance » , sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le )
- Julien Van Caeyseele, « Tags et croix gammées en Seine-et-Marne. On connaît enfin l’explication du message Biobananas » , sur actu.fr, La République de Seine-et-Marne, (consulté le )
- Julien Van Caeyseele, « Fontainebleau : une étude diligentée sur l’état du cimetière », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne , consulté le )
- Ville de Fontainebleau, Plan de travail de la journée citoyenne du 24 septembre 2022, Fontainebleau, Ville de Fontainebleau, , 1 p. (lire en ligne [PDF]), p. 1
- Préfet de l'Île-de-France et Direction régionale interdépartementale, de l'alimentation, de l'argiculture et de la forêt (DRIAAF), « Gestion écologique des cimetières », Actualités phyto Ile-de-France, , p. 3 (lire en ligne [archive du ] )
- Julien Van Caeyseele, « Fontainebleau : une stèle pour sept héros oubliés de l'Histoire », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne , consulté le )
- Yoann Vallier, « Fontainebleau. Toussaint : les stars de nos cimetières » , sur actu.fr, La République de Seine-et-Marne, (consulté le )
- André Billy, Fontainebleau: délices des poètes de la Renaissance à nos jours, Horizons de France, (lire en ligne), p. 195
- (en-GB) Patrick Siccoli, « Obsèques de René Lucet A Fontainebleau En 1982 », sur Getty Images (consulté le )
- L.G., « Une nouvelle autopsie a été décidée », Le Monde, (lire en ligne , consulté le )
- François Caviglioli, « Lucet : une balle de trop... », Le Nouvel Observateur, no 2228 « Les cadres ont-ils raison d'avoir peur ? - La contre-attaque de Mitterrand », , p. 45-46 (ISSN 0029-4713, lire en ligne )
- [vidéo] INA Actu, « 20h Antenne 2 du 18 mars 1982 - L'affaire René Lucet », sur YouTube, (consulté le )
- René Alleau, Guide de Fontainebleau mystérieux, Tchou, (lire en ligne), p. 253
- « Chronique », Revue de l'architecture et des travaux publics, no 5, , p. 232 (lire en ligne , consulté le )
- Bourges 1896, p. 12.
- « Le 4e hussards à Fontainebleau. 1835-1837 », L'Abeille de Fontainebleau, vol. 56, no 39, , p. 2/4 (lire en ligne , consulté le )
- « La tombe du général de Brack », L'Abeille de Fontainebleau, vol. 87, no 7, , p. 5-6 (lire en ligne , consulté le )
- « Nécrologie », L'Abeille de Fontainebleau, no 33 de la 48e année, , p. 2 (lire en ligne )
- Yoann Vallier, « Zéro phyto : comment Fontainebleau a montré l’exemple » , sur actu.fr, La République de Seine-et-Marne, (consulté le )
- EcoJardin, « Cimetière communal de Fontainebleau », sur label-ecojardin.fr (consulté le )
- Panneau sur l'allée est-ouest, devant la division G.
Bibliographie
modifier- [Bourges 1896] Ernest Bourges (monographie publiée à titre posthume), Recherches sur Fontainebleau, Fontainebleau, Maurice Bourges, , 551 p. (BNF 33987105, lire en ligne), p. 15-21
Annexes
modifierArticles connexes
modifier- Cimetière juif de Fontainebleau
- Monument aux morts de Fontainebleau
- Église Saint-Louis de Fontainebleau
- Lycée François-Ier (Fontainebleau)
- Catégorie « Décès à Fontainebleau »
Liens externes
modifier- Ressource relative à l'architecture :
- Cimetière communal de Fontainebleau sur label-ecojardin.fr
- Mesures de l'IGN pour le repère de nivellement de matricule W.D.M3 - 310 indiquant 95,232 mètres d'altitude
- Le Cimetière de Fontainebleau profané : Frédéric VALLETOUX écœuré, communiqué de la Ville de Fontainebleau sur le vandalisme du sur fontainebleau.fr, le site officiel de la ville