Cinéma ukrainien

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Le cinéma ukrainien est à la fois partie prenante du cinéma russe et soviétique et un cinéma original, attaché à la terre et à l'histoire ukrainienne. Certains auteurs accordent ainsi au cinéma ukrainien un développement parallèle et indépendant du cinéma soviétique, d'autres fixent son essor véritable au lendemain de l'indépendance du pays, en 1991.

L'histoire du cinéma ukrainien débute de manière précoce, en 1896. C'est aussi l'une des cinématographies qui a presque disparu durant les années 1990, avec la chute de l'URSS. Depuis 1998, elle connaît un renouveau important.

Histoire du cinéma ukrainien

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Studio d'Odessa

Depuis les premières projections organisées dans le pays en 1896, l'histoire du cinéma ukrainien est partiellement liée à celle des cinémas russe et surtout soviétique. C'est seulement à partir de 1991 (chute de l'URSS et indépendance de l'Ukraine) que l'on peut parler sans ambiguïté de cinéma ukrainien. Cependant, certains manuels ukrainiens d'histoire du cinéma estiment qu'un cinéma ukrainien s'est développé parallèlement au cinéma russe et soviétique dès les années 1920.

Les plus anciennes traces de structures cinématographiques dans le pays sont les suivantes : fondation du Studio d'Odessa en 1907[1], suivie par celle d'ateliers cinématographiques à Yalta en 1916[2],[3]. Le principal studio du pays, le Studio Dovjenko (Studio national de cinéma Dovjenko, situé à Kiev, a lui été fondé en 1927[4].

Personnalités de l'histoire du cinéma ukrainien

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Diverses personnalités artistiques ayant probablement des liens avec l'Ukraine.

Sans toutefois les distinguer nettement de l'histoire du cinéma soviétique André Z. Labarrière cite les réalisateurs suivants dans le chapitre consacré au cinéma ukrainien de son Atlas du cinéma [2] (Par convention, les titres originaux sont cités en russe lorsque la langue majoritaire du film est le russe, en ukrainien, lorsque la langue majoritaire du film est l'ukrainien.) :

  • Les « vétérans » Vladimir Gardine et Piotr Tchardynine - L'Ukrasie (Укразия, 1925), Taras Chevtchenko (Тарас Шевченко, 1926),
  • Les « fondateurs » Alexandre Dovjenko - Zvenigora (Звенигора, 1927), Arsenal ( Арсенал, 1929), La Terre (Земля, Zemlia, 1930) et Igor Savtchenko - Le Troisième Coup (Третий удар, 1948), Taras Chevtchenko (Тарас Шевченко, 1930),
  • Les « cinéastes de l'après guerre » : les tandems Alexandre Alov et Vladimir Naoumov - Jeunesse inquiète (Тревожная молодость, 1955) d'une part et Marlen Khoutsiev et Félix Mironer - Le Printemps de la rue Zaretchnaïa (Весна на Заречной улице, 1956) d'autre part, Marc Donskoï - Le Cheval qui pleure (Дорогой ценой, 1957),
  • Une place à part est accordée au réalisateur arménien Sergueï Paradjanov, notamment réalisateur de Les Chevaux de feu (Тіні забутих предків, 1965) fiction prenant place au sein d'une ethnie minoritaire d'Ukraine, les Houtsoules.
  • Les « nationalistes » Léonide Ossyka - La Croix de pierre (Каменный крест, 1968) et surtout Youri Illienko - L'Oiseau blanc marqué de noir (Білий птах з чорною ознакою , 1970), Le Lac des cygnes - La zone (Лебедине озеро. Зона, 1990).

L'historien et critique de cinéma Lubomir Hosejko complète[5] cette liste par les personnalités du cinéma suivantes. Par ordre chronologique :

Lors d'une conférence organisée par l'ENS et intitulée « L’utilitarisme politique du cinéma brejnévien contre le nationalisme ukrainien  »[7] Lubomir Hosejko a rassemblé sous l'appellation d'« École de Kiev » les réalisateurs suivants : Youri Illienko, Léonide Ossyka, Boris Ivtchenko et Volodymyr Denyssenko. Plus largement, certains historiens du cinéma parlent de « cinéma poétique » pour évoquer le cinéma ukrainien de la seconde moitié des années soixante et du début des années soixante-dix.

Principaux réalisateurs

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1896-1955

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1955-1980

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Depuis 1981

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Le cinéma ukrainien récent (depuis 1991)

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Production de films

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Par ordre chronologique :

Courts-métrages primés

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Les courts métrages suivants ont été sélectionnés ou primés dans l'un des grands festivals de cinéma que sont les festivals de Cannes, de Venise, de Berlin, d'Annecy (film d'animation) et de Clermont-Ferrand (court métrage). Par ordre chronologique :

  • Tramway numéro 9 (Трамвай No 9, 2002), animation de 10 minutes de Stepan Koval. Ours d'argent au Festival de Berlin 2003.
  • Contre le soleil (Against the sun, Проти сонця, 2004), documentaire de 20 minutes de Valentin Vasyanovych (Валентин Васянович). Prix Spécial du Jury au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2005.
  • Voyageurs (Podorojni, Подорожні, 2005), fiction de 10 minutes de Igor Strembitsky. Palme d'or du court métrage au Festival de Cannes, 2005.
  • Conducteur de taxi (Таксист, 2007), fiction de 19 minutes, de Roman Bondartchouk (Роман Бондарчук).
  • Sur le bord (On The Edge, На Грані, 2007), animation de 6 minutes de Nikita Ratnikov et Artem Sukharev.

Exemples de films étrangers évoquant l'Ukraine

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Les films suivants évoquent de manière marquante l'Ukraine, sa culture ou son histoire. Certains ont été tournés en Ukraine avec l'appui éventuel de coproducteurs locaux, d'autres non. Par ordre chronologique :

Enfin, plusieurs films récents sans lien avec l'Ukraine y ont été tournés : Le film chinois Le Secret des poignards volants (十面埋伏), réalisé par Zhang Yimou en 2004 a été largement tourné les Carpates ukrainiennes. La fiction russe Le 9e Escadron (9 РОТА, Deviataia rota) réalisé par Fiodor Bondartchouk en 2005 a partiellement été tournée en Crimée. Au printemps 2008, Olivier Megaton a réalisé certaines séquences de la production Luc Besson, Le Transporteur 3 en Ukraine, etc. Le long-métrage français Ao, le dernier Néandertal, a été partiellement tourné par Jacques Malaterre en Ukraine[8].

Structures du cinéma ukrainien

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Contexte

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La production ukrainienne de films a connu un net passage à vide entre 1991 et 1999. Durant cette période de profonde mutation de l'économie ukrainienne, nombre de salles de cinéma ont ainsi été transformées en salle de billards, en casino ou en magasin de meubles.

Le succès de la distribution dans les salles ukrainiennes du film américain Titanic (James Cameron, 1997) redonne foi aux professionnels de l'audiovisuel dans la possibilité de développer le 7e art en Ukraine.

Modernisation de l'exploitation de salles

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Dès 1999, un mouvement de modernisation des salles de cinéma des grandes villes s'amorce (mise en place de système de sonorisation Dolby Digital et renouvellement des sièges notamment). Dans un second temps se mettent en place des réseaux de salles (le plus ancien est le réseau Kinopalats[9]).

Enfin, depuis le milieu des années 2000, plusieurs réseaux concurrents de miniplexes (3 à 6 salles) sont construits dans les grandes villes. Ces complexes cinématographiques, souvent construits en même temps que les centres commerciaux dans lesquels ils prennent place sont pompeusement présentés par leurs promoteurs comme étant des multiplexes[10].

Développement de la distribution de films

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Typologie des distributeurs ukrainiens

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Le marché audiovisuel ukrainien reste largement dépendant de la politique d'acquisition des distributeurs moscovites[11]. En effet, les distributeurs ukrainiens sont liés par des accords exclusifs avec les distributeurs russes. À leur tour, ces derniers sont liés par des accords exclusifs avec les majors américaines. Ce mécanisme influe significativement sur le genre et la variété des films distribués sur le marché ukrainien. Par exemple, l'important distributeur ukrainien Cinergia[12] est le distributeur exclusif des films produits par la major Warner Bros. Pictures, et par les filiales New Line Cinema (WarnerMedia, ex-Time Warner) et Miramax (Walt Disney Company).

Depuis 2004 parallèlement à ces accords d'exclusivité, les distributeurs ukrainiens mènent une politique d'achat directe, notamment auprès d'opérateurs européens tels que les majors EuropaCorp et StudioCanal et les vendeurs internationaux Gaumont, Pathé Distribution, TF1 International, Wild Bunch[13], etc.

Le distributeur indépendant le plus significatif, ArtHouse Traffic[14] s'attache depuis 2003 à faire connaitre le cinéma indépendant international. La structure, dirigée par Dennis Ivanov, s'est également lancée en 2007 dans la production de longs-métrages.

En 2008, souhaitant aider les distributeurs ukrainiens à s'émanciper de la tutelle russe, le gouvernement de Viktor Iouchtchenko a mis en place une loi imposant à tous les films distribués dans les salles ukrainiennes d'être doublés ou sous-titrés en ukrainien. Plusieurs effets secondaires résultant de cette politique, la loi est largement controversée[15].

Répartition des films distribués par nationalité

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Considérés comme un secret commercial, les chiffres du box-office ne sont pas divulgués par les distributeurs ukrainiens. Tous les observateurs reconnaissent cependant que le marché ukrainien du cinéma est majoritairement dominé par les films de production américaine. La place du challenger, longtemps occupée par le cinéma français lui est depuis le milieu des années 2000 disputée par le cinéma russe[16]. En effet cette cinématographie connaît depuis le début des années 2000 un important boom de production (voir à ce propos Cinéma russe et soviétique).

Un certain nombre de films récents ukrainiens, d'autres cinématographies européennes ou asiatiques (essentiellement japonais, chinois ou coréens) sont également distribués[17].

Festivals

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Plusieurs festivals de cinéma prennent place chaque année en Ukraine. Le plus important d'entre eux est le Molodist[18].

  • Molodist est le nom court sous lequel est connu le « Kyiv International Film Festival Molodist »[19]. Créé en 1970, c'est un festival international de premières ("Molodist" signifie jeunesse en ukrainien) œuvres : courts-métrages, premiers longs métrages et films d'étudiants. Longtemps dirigé par Andreï Khalpakhchi, la structure est maintenant coordonnée par Maxime Ilyashenko. Le Molodist prend place à Kiev, chaque année durant la dernière semaine d'octobre[20]. Le festival s'est également lancé avec succès dans la distribution de films internationaux à prétention artistique.
  • KROK International Animated Film Festival est un festival annuel et itinérant consacré au film d'animation. Durant une douzaine de jours, il prend place chaque année durant la fin septembre sur un bateau qui traverse le pays. Il est dirigé par Irina Kaplichnaia[21].
  • Dok-Maidan Festival est un festival pluriannuel consacré au documentaire. Créé en 2005 par Jacques Pelissier et Joanna Schecroun, chaque édition du festival est centré autour d'une thématique différente diffusée dans différentes villes du pays[22].
  • Ukrainian International Documentary Film Festival « Contact » est un festival consacré au documentaire. Créé par l'équipe du festival Molodist en 2005, il prend place chaque année au mois d'avril[23].
  • Festival international du film d'Odessa prend place à Odessa chaque année au milieu du mois de juillet.

Voir aussi les festivals suivants aux prétentions internationales moindres :

  • Le festival Stojary, centré sur les films d'Europe centrale et orientale (Kiev, annuel, août).
  • Le Festival prolog est un festival de court-métrage étudiant (Kiev, annuel, mai).

Presse écrite

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La presse écrite ukrainienne consacrée au cinéma a connu un développement avorté. Plusieurs titres ont été lancés au début des années 2000 (chiffres de diffusion 2004[24]) :

  • Kino-Kolo (trimestriel, 1 000 exemplaires), dirigé par Volodymir Voitenko. Parmi les contributeurs réguliers, on compte Alexeï Perschko et Alik Chpilouk.
  • Kino-Teatr (bimensuel, 800 exemplaires), dirigé par Larissa Brioukhovetska, il publie notamment les mémoires des étudiants en cinéma des universités de Kiev.
  • Cinema (mensuel, 15 000 exemplaires).
  • Kino-digest (mensuel, 35 000 exemplaires).
  • Total film (mensuel, 15 000 exemplaires).

L'ensemble de ces supports spécialisés a disparu entre 2005 et 2007. En 2008, les cinéphiles intéressés par l'actualité du cinéma ne peuvent que se rabattre sur les rubriques consacrées au 7e art de la presse généraliste (hebdomadaires des sorties notamment) ou sur les sites Internet spécialisés.

Presse sur internet

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Deux titres Internet méritent d'être cités selon Jean-Max Méjean[25] :

  • Kinokolo.ua[26] Principale source d'information sur le cinéma ukrainien et l'actualité du cinéma aujourd'hui en Ukraine. Il a été créé par la rédaction du défunt trimestriel Kino-Kolo.
  • Cinema-francais.kiev.ua[27] est un site consacré à l'actualité du cinéma français en Ukraine. Créé en 2001 par Jacques Pelissier, alors attaché audiovisuel français, sa mise à jour est confiée à Serguei Perschko, journaliste.

Structures publiques et parapubliques

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Les autorités ukrainiennes ont tardivement pris conscience de la nécessité d'accompagner les opérateurs audiovisuels ukrainiens. C'est seulement en 2007 qu'a été créé l' Ukrainian Cinema Foundation et en 2008 l' Ukrainian Film Commission.

  • Ukrainian Cinema Foundation[28] a pour objectif de soutenir la promotion internationale des films ukrainiens. Lors de la présentation internationale de la structure (au Festival de Berlin, 2008), son directeur, Andreï Khalpakhchi a précisé qu'il s'inspirerait de l'expérience accumulée par les structures équivalentes en France (Unifrance), en Allemagne (German films) et en Pologne (Polish Film Institute)[29].
  • Ukrainian Film Commission[30] s'est fixé pour objectif de favoriser le tournage de films en Ukraine.

On notera enfin que le nom de National cinematheque of Ukraine[31] est détenu par le studio spécialisé en documentaires et films scientifiques, le Kyiv Naouk Film, fondé en 1941.

Institutions

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Voir aussi

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Bibliographie

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  • (fr) Histoire du cinéma ukrainien (1896 - 1995), Lubomir Hosejko, Éditions à Dié, Dié, 2001, (ISBN 9782908730678), traduit en ukrainien en 2005 : (uk) Istoria Oukraïnskovo Kinemotografa, Kino-Kolo, Kiev, 2005, (ISBN 966-8864-00-X)
  • (fr) Ciné-Ukraine, histoire(s) d'indépendance, Anthelme Vidaud, WARM, Luçon, 2023, (ISBN 9782493524089)
  • (uk) Kinosvit Iouria Illienka, Larissa Brioukhovetska, Kino-Teatr, Kiev, 2006, (ISBN 966-7944-93-X)
  • (fr) Comment parler de cinéma, pages 64 à 67, Jean-Max Méjean, Éditions L'Harmattan, Paris, 2005, (ISBN 2747592200)
  • (ru) Kino sovietskoï Oukraïni, I. C. Kornienko, Moscou, 1975
  • (uk) Ctorinki z istorii kino na Oukraïni, O. O. Chimon, Kiev, 1986
  • (uk) Istoria oukraïskovo padianskovo kino, collectif, Kiev, 1986
  • (uk) Pivstolittia oukraïnskovo radianskovo kino, I. C. Kornienko, Kiev, 1970
  • (fr) Atlas du cinéma, page 327, André Z. Labarrère, coll. Encyclopédies d'aujourd'hui, Le Livre de poche, Paris, 2002, (ISBN 2-253-13015-X)
  • (ru) Faktograficheskaya istoriya kino v Ukraine. 1896—1930, partie 1-4. V. N. Mislavskiy , Khar'kov, 2016-2017. (ISBN 978-966-2149-61-6)

Événements et conférences

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. (en + ru + uk) Site officiel du studio d'Odessa.
  2. a et b (fr) Atlas du cinéma, André Z. Labarrère, coll. Encyclopédies d'aujourd'hui, Le Livre de poche, Paris, 2002, (ISBN 2-253-13015-X)
  3. (en + ru + uk) C'est aujourd'hui Yalta Films qui perpétue la tradition cinématographique à Yalta.
  4. (ru) Voir ce site non officiel sur cette question.
  5. (fr) Histoire du cinéma ukrainien (1896 - 1995), Lubomir Hosejko, Éditions à Dié, Dié, 2001, (ISBN 9782908730678)
  6. (en + fr) Fiche du film La Côte d'Adam sur le site de la Quinzaine des cinéastes (Quinzaine des réalisateurs).
  7. (en + fr + ru) Semaine culturelle de l’Ukraine et la Biélorussie (20-25 mars 2006) organisée par l'École normale supérieure. Voir la liste des conférences ayant pris place durant cet événement.
  8. Olivier du Jaunet, « Des pellicules plein les yeux », Écran Total n°772, 7 octobre 2009,
  9. Le réseau Kinopalats se met en place dès 2000.
  10. (en) New mega cinema for Kyiv, article paru dans l'hebdomadaire Kyivpost le 28 novembre 2007.
  11. (en) L'hebdomadaire spécialisé Variety affirme ainsi que la distribution de 90 % des films montrés en Ukraine est contrôlée -plus ou moins directement- par les distributeurs russes, dans un article publié le 12 février 2008.
  12. (uk) Site officiel du distributeur Cinergia
  13. (fr) Les films français achetés - Ukraine listés par les services d'Unifrance.
  14. (en + ru) Site officiel du distributeur
  15. (en) Ukraine defends new cinema rules : All films must be in local language article publié dans Variety, le 12 février 2008.
  16. (fr) L'ex-URSS retrouve son engouement d'antan pour le cinéma français chiffres Unifrance - communiqué de presse publié par Unifrance, le 21 septembre 2007
  17. (ru) Voir la liste des films distribués à Kiev en 2007 sur le site www.kino-teatr.kiev.ua
  18. (fr) Voir la liste des festivals ukrainiens établie par Unifrance.
  19. (en + uk) Site officiel du Kyiv International Film Festival Molodist.
  20. (fr) Un journal de bord rédigé par Virginie Devesa, distributrice internationale, offre un regard exhaustif et chaleureux sur le fonctionnement et le déroulement de la 29e édition (1999) de ce festival.
  21. (ru) Voir le Site officiel du Festival Krok.
  22. (uk) Voir la liste des thématiques abordées sur le Site officiel du Dok-Maidan Festival.
  23. (en) Voir à ce sujet l'appel à film du festival.
  24. (fr) Chiffres cités dans Comment parler de cinéma, pages 65 et 66, Jean-Max Méjean, Éditions L'Harmattan, Paris, 2005, (ISBN 2747592200)
  25. (fr) Comment parler de cinéma, pages 67, Jean-Max Méjean, Éditions L'Harmattan, Paris, 2005, (ISBN 2747592200)
  26. (uk) site du support www.kinokolo.ua.
  27. (ru) site de ce média consacré exclusivement au cinéma français.
  28. (en + uk) Site officiel de Ukrainian Cinema Foundation.
  29. (en) Communiqué de presse du 13 février 2008 disponible sur le site du Molodist.
  30. (en + ru + uk) Site officiel de l'Ukrainian Film Commission.
  31. (en + ru + uk) cf. le site officiel de la structure à ce sujet.