Climax (album)
Climax est une compilation d'Alain Bashung, parue le chez Barclay Records. L'album contient des versions inédites de certains titres, en collaboration avec d'autres artistes de la scène francophone, tels Noir Désir, Rodolphe Burger, Rachid Taha ou Matthieu Chedid. Il comporte aussi plusieurs reprises, dont Les Mots bleus de Christophe et Le Tango funèbre de Jacques Brel.
Sortie | |
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Genre | Chanson française, rock |
Label | Barclay Records |
Albums de Alain Bashung
Liste des titres modifier
Les 38 titres sont souvent livrés dans une nouvelle version, réinterprétés ou chantés en duo, dans ce double album[1],[2],[3],[4].
CD 1 modifier
Toutes les chansons sont écrites et composées par Alain Bashung - Jean Fauque / Alain Bashung, sauf mention contraire.
CD 2 modifier
Toutes les chansons sont écrites et composées par Alain Bashung - Jean Fauque / Alain Bashung, sauf mention contraire.
Contributions sur les versions inédites modifier
- À Ostende :
- Marc Ribot : guitare
- Jean-Paul Roy : basse
- Jean-Pierre Pilot : programmations
- Samuel Hall :
- Rodolphe Burger : guitare, programmation
- Vincent Pierins : basse
- Jean-Pierre Pilot : claviers
- Overmars : programmations
- Ode à la vie :
- Rachid Taha : voix
- Hakim Hamadouche : oud
- Serge Salibur : basse
- Abdelouab Abrit : batterie
- Hassan Lachal : percussion
- François Delfin : guitare
- Ad Cominotto : claviers
- What's in a Bird :
- Matthieu Chedid : guitare, chœurs
- Cyril Atef : batterie
- Vincent Ségal : violoncelle électrique
- Les Grands Voyageurs :
- Marc Ribot : guitare
- Volontaire :
- Noir Désir :
- Bertrand Cantat : voix, guitare
- Serge Teyssot-Gay : guitare
- Denis Barthe : batterie
- Jean-Paul Roy : basse
- Noir Désir :
Références modifier
- Guillaume Fraissard, « Avec Christophe, en 1974, et Alain Bashung, en 1992, Les Mots bleus, du slow à la plainte fiévreuse », Le Monde, (lire en ligne)
- Vincent Monnet, « «Climax», pour comprendre comment Bashung est devenu saint patron du rock made in France », Le Temps, (lire en ligne)
- « Alain Bashung, Climax », RFi, (lire en ligne)
- Véronique Mortaigne, « Bashung signe malgré lui la fin de Noir Désir », Le Monde, (lire en ligne)