Longeville-lès-Metz
Longeville-lès-Metz est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Longevillois.
Longeville-lès-Metz | |
Longeville-lès-Metz, temple protestant réformé. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Metz |
Intercommunalité | Eurométropole de Metz |
Maire Mandat |
Delphine Firtion 2022-2026 |
Code postal | 57050 |
Code commune | 57412 |
Démographie | |
Gentilé | Longevillois |
Population municipale |
3 960 hab. (2021 ) |
Densité | 1 461 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 06′ 55″ nord, 6° 08′ 10″ est |
Altitude | Min. 165 m Max. 315 m |
Superficie | 2,71 km2 |
Type | Grand centre urbain |
Unité urbaine | Metz (banlieue) |
Aire d'attraction | Metz (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Montigny-lès-Metz |
Législatives | 1re circonscription de la Moselle |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.mairie-longeville-les-metz.org/ |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLongeville-lès-Metz est une commune située sur la Moselle et contigüe à Metz.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Le Ban-Saint-Martin, Montigny-lès-Metz, Metz et Scy-Chazelles.
Géologie et relief
modifierLa commune est adossée au mont Saint-Quentin, point culminant de l’agglomération messine.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le bras mort aval de la Moselle, la Moselle, la Moselle canalisée, le bras St Symphorien et le ruisseau des Jesuites[Carte 1].
Le bras mort aval de la Moselle, d'une longueur totale de 5,1 km, prend sa source dans la commune de Metz et se jette dans la Moselle canalisée à Metz, après avoir traversé trois communes[1].
La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[2].
La Moselle canalisée, d'une longueur totale de 135,2 km, prend sa source dans la commune de Pont-Saint-Vincent et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé 61 communes[3].
-
Le bras mort de la Moselle.
-
Vue vers le Mont-Saint-Quentin et le pont de Verdun.
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du bras mort aval de la Moselle, de la Moselle et de la Moselle canalisée, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,2 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Longeville-lès-Metz est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Metz[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant 42 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (62,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (43,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), cultures permanentes (13,2 %), eaux continentales[Note 5] (6,5 %), forêts (3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Morphologie urbaine
modifierLa commune est divisée en deux quartiers de taille voisine : l’Île Saint-Symphorien et Longeville-Centre. Le pont de Verdun, qui enjambe la Moselle, relie les quartiers entre eux. Les contours de l’île ont beaucoup évolué au cours du temps. La forme actuelle de l’île Saint-Symphorien date du XVIIIe siècle, quand deux îles séparées par un bras de la rivière ont été réunies[16].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 371, alors qu'il était de 2 232 en 2013 et de 2 024 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 89,4 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 9,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 23,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 76,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Longeville-lès-Metz en 2018 en comparaison avec celle de la Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 48,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (47 % en 2013), contre 59,8 % pour la Moselle et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Longeville-lès-Metz[I 2] | Moselle[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 89,4 | 88,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,3 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,3 | 9,2 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierAxes de communication
modifierDeux routes principales traversent la commune :
- au centre-ville, une portion de la Nationale 3 (appelée Rue du Général de Gaulle) comprise entre Scy-Chazelles à l’ouest et le Ban Saint-Martin à l’est ;
- sur l’île Saint-Symphorien, la départementale 157a (qui correspond au boulevard Saint-Symphorien) relie le centre de Metz à celui de Longeville, au-delà du pont de Verdun.
Transports en commun
modifierDepuis le , trois lignes de bus du réseau Le Met' desservent la commune :
- La ligne 5 passe par le centre-ville en provenance de l’ouest de l’agglomération (Jussy, Châtel-Saint-Germain) et à destination de Metz-Magny au sud. Un bus passe toutes les dix minutes en heure de pointe. Le niveau de service est comparable à celui de l'ancien réseau TCRM.
- La ligne 11 passe par l’île Saint-Symphorien en partant de Metz-Devant-les-Ponts au nord-ouest. À l'origine à destination de Metz-Borny à l'est, elle dessert Saint-Julien-lès-Metz, au nord-est, depuis le . La fréquence de passage est d'un bus toutes les vingt minutes en heure de pointe et toutes les trente minutes en heure creuse. En comparaison avec l'ancienne ligne 4/34 qui desservait l'île et passait tous les quarts d'heure, les fréquences diminuent de 25 % à 50 %.
- La miniligne 19 relie le centre-ville à l'île. Elle est accessible à la demande uniquement.
Toponymie
modifierL’étymologie du nom de la ville provient de sa situation géographique. À l’époque gallo-romaine, la ville était nommée 'Longa Villa’, la ville qui longe le mont Saint-Quentin.
On rencontre les noms de Langevilla (910), Lungeville devant Mets (XVe siècle), Longueville (XVIIe siècle), Longeville-lès-Metz (1801). En lorrain, le nom de la commune est Longevelle.
Histoire
modifierAntiquité
modifierL’histoire de la ville remonte à l’époque gallo-romaine où Longa-Villa est traversée par une voie romaine. L’île Saint-Symphorien est une zone marécageuse et inondable. Elle complète les fortifications romaines qui la surplombent.
Époque contemporaine
modifierComme les autres communes de Moselle, Longeville-lès-Metz est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918 et de 1940 à 1944. Le développement de la ville prend véritablement son essor fin XIXe siècle-début XXe siècle avec la création de casernes au centre-ville et l’urbanisation progressive de l’Île Saint-Symphorien, le long du boulevard du même nom.
La construction du pont du Sauvage en 1906 (l’ancêtre du pont de Verdun) et l’assèchement des marécages de l’île lance son développement. En effet, les fréquentes crues de la Moselle, la piètre qualité des terrains et le caractère militaire de l’endroit (utilisé comme terrain d’exercice) rendaient l’endroit peu attractif. Les pâturages sont remplacés peu à peu par des habitations. Horticulteurs et pépiniéristes font leur apparition sur l’île après la mise en service du pont. Les pépinières disparaissent en 2010, mais laissent toujours leurs traces dans le nom de plusieurs rues de la commune (rue des Pépinières, rue de l’Horticulture).
-
Quartier des officiers du 131e régiment d'infanterie, 2e lorrain
Lors de la seconde annexion, le , la commune de Longeville-lès-Metz, rebaptisée « Langenheim » intègre le district urbain de Metz ou « Stadtkreis Metz ». Le pont du Sauvage est détruit par les Allemands le , pendant la libération de Metz. Il est remplacé peu après par un ouvrage provisoire de construction américaine[17]. Malgré la combativité des troupes allemandes de la 462e Volks-Grenadier-Division de l'armée de Knobelsdorff, Longeville-lès-Metz est libérée par la 5e DI de l'armée Patton le [18], à la fin de la bataille de Metz.
Les travaux de canalisation de la Moselle qui débutent à la fin des années 1950 et se terminent en 1964 rendent nécessaire le remplacement du pont provisoire. Le pont de Verdun est mis en construction en 1965 et inauguré le . La canalisation de la Moselle limite alors l’impact des inondations et facilite le développement de l’île.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouvait jusqu'en 2015 dans l'arrondissement de Metz-Campagne du département de la Moselle. Depuis lors, il fait partie de l'arrondissement de Metz.
Elle faisait partie de 1801 à 1873 du canton de Metz-1, année à laquelle la commune intègre le canton de Metz-Campagne. En 1967, Longeville rejoint le canton de Woippy[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Montigny-lès-Metz
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Moselle.
Intercommunalité
modifierLongeville-lès-Metz est membre de la métropole (intercommunalité française) dénommée Metz Métropole (dite Eurométropole de Metz) , un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2018 auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette métropole a été constituée par transformation de l'ancienne communauté d'agglomération éponyme (ou CA2M) constituée en 2002 et dont la ville était déjà membre.
Tendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour de l'élections municipales de 2014 en Moselle, la liste DVD menée par le maire sortant Alain Chapelain obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 025 voix (60,08 %, 22 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire), devançant très largement celle SE menée par Fabrice Perrot, qui a recueilli 681 voix (39,91 %, 5 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 39,00 % des électeurs se sont abstenus[20].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Moselle, la liste DVD menée par Manuel Brocart obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 583 voix (57,38 %, 22 conseillers municipaux dont 1 métropolitain), devançant largement celle également DVD menée par Thierry Weizman — où figure en dernière position le maire sortant, Alain Chapelain — qui a recueilli 433 voix (42,62 %, 5 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 63,95 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierÉquipements sportifs
modifierLa ville accueille deux installations sportives situées sur l’île Saint-Symphorien à proximité du centre-ville et de Metz:
- le complexe sportif Saint-Symphorien qui correspond à l’ancien Palais des sports de Metz, détruit la nuit du 6 au par un incendie criminel[32]. Le complexe est la propriété de la ville de Metz ;
- le stade Saint-Symphorien où évolue le FC Metz. Les architectes de la tribune Nord inaugurée en 1987 sont Jean-Luc Gibert et Gérard Hypolite, ceux des tribunes Ouest et Est inaugurées en 1999 et 2001 sont Patrick Triacca et Roland Carta[33]. La tribune Sud est due au cabinet Fiebiger[34]. Ce stade a appartenu à la ville de Metz jusque sa revente au FC Metz en mars 2018 via la signature d'un bail emphytéotique de 50 ans[35].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2021, la commune comptait 3 960 habitants[Note 9], en évolution de −2,68 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports et loisirs
modifierLa majeure partie du plan d’eau de Metz, où les Messins aiment se retrouver les week-ends ensoleillés, est située sur le ban de la commune.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- le plan d’eau Saint-Symphorien (ou du Saulcy) ;
- la tour Bismarck, sur la pente du mont Saint-Quentin. C’est la seule, parmi les très nombreuses tours Bismarck érigées dans l’empire allemand, qui soit située en France. À l’origine, sa silhouette altière, bien visible depuis Metz, dominait la vallée de la Moselle. Aujourd’hui, noyée dans la forêt, elle est régulièrement victime d’actes de vandalisme ;
- demeure où Napoléon III a séjourné.
Longeville-lès-Metz compte trois lieux de culte :
- l’église Saint-Quentin, à Longeville-Centre, de style néo-gothique 1867 ;
- l’église Saint-Symphorien, 1 rue des Pépinières sur l’île Saint-Symphorien, architectes Félix Madeline et Yves Rolland ; commencée en 1955 ; inaugurée le par Mgr Louis, vicaire général ; Pierre Koppe, des ateliers Simminger, a exécuté les vitraux[39] ;
- le temple protestant réformé, rue du Général-de-Gaulle à Longeville-Centre, construit entre 1907 et 1908.
Plusieurs édifices témoignent du passé militaires de la ville :
- la caserne Roques, élevée par les Allemands fin XIXe siècle pendant l’annexion, au pied du mont Saint-Quentin et bordant la Moselle. Cette caserne est transformée en cité universitaire à la fin des années 1970. Elle se nomme désormais Résidence Saint-Quentin ;
- le groupe fortifié du Saint-Quentin, construit sur les flancs du mont. Les premiers bâtiments sont une initiative de Napoléon III. Les ouvrages sont achevés par les Allemands. Un grand projet de mise en valeur du secteur est en cours. Il ne devrait pas voir le jour avant le début des années 2020. Les acquisitions foncières par la communauté d’agglomération de Metz Métropole ont commencé début 2008. Les premiers travaux de dépollution et de débroussaillage du site ont été lancés en décembre de cette année. Le fort de Plappeville est également concerné[40] ;
- le château construit au XVIIe siècle, démoli en 1970. Une salle des fêtes l’a remplacé depuis ;
- l’ancien donjon des Gournay, des XIIe siècle-XVIe siècle, situé 78-80 rue du Général-de-Gaulle, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [41].
-
Demeure où Napoléon III a séjourné
-
La Promenade du Site.
-
Église Saint-Symphorien.
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Temple protestant réformé.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean-François Clervoy, spationaute français, né en 1958 à Longeville-lès-Metz ;
- Patrick Clervoy, son frère jumeau, médecin psychiatre français, né en 1958 à Longeville-lès-Metz ;
- René Fuchs (1928-1982), footballeur et entraîneur français de 1949 à 1963, né à Longeville-lès-Metz ;
- Olivier Krumbholz, handballeur international français reconverti entraîneur de l’équipe de France féminine de handball, né en 1958 à Longeville-lès-Metz ;
- Auguste Migette, (1802-1884), peintre et dessinateur français né à Trèves, a vécu à Longeville-lès-Metz ;
- Ludovic Obraniak, footballeur international franco-polonais reconverti entraîneur, né en 1984 à Longeville-lès-Metz.
Héraldique
modifierPour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Olivier Hallez d'Arros, « Notice sur Longeville-lès-Metz », dans Bulletin de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, 1860, p. 103-108 (lire en ligne)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie
- Histoire de l’île Saint-Symphorien
- « Dossier complet : Commune de Longeville-lès-Metz (57412) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- Résumé statistique de Longeville-lès-Metz sur le site de l'Insee
- « Longeville-lès-Metz » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Metz comprend une ville-centre et 41 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Une place de la commune porte le nom de ce maire.
- Le centre socioculturel Saint-Symphorien ouvert en 2013 porte le nom de ce maire[24]
- Le centre socio-éducatif de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Longeville-lès-Metz » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Longeville-lès-Metz ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Longeville-lès-Metz - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Longeville-lès-Metz - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Moselle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Sandre, « le bras mort aval de la Moselle »
- Sandre, « la Moselle »
- Sandre, « la Moselle canalisée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Longeville-lès-Metz et Augny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « L’Île Saint-Symphorien », dans Carte des balades nature Metz Métropole, édition 2007
- [1] 95th Infantry Division, le pont du Sauvage
- 1944-1945:Les années liberté, Le républicain Lorrain, 1994 (p. 14 : Recensement préfectoral sur les dates de libération)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Longeville-lès-Metz
- « Pierre, François Hennocque (1788-1878) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Année 1953 (janvier - avril) : Presse locale : Informations, Faits divers, Courriers, Annonces » [PDF], Raconte-moi Woippy (consulté le ).
- Éric Belouet, Jean-Marie Conraud, « HENRY Robert : Né le 4 octobre 1919 à Norroy-le-Veneur (Moselle), mort le 22 août 1987 ; employé de bureau, directeur de CAF ; militant jociste de Moselle, permanent (1940-1945) et trésorier national (1943-1945) de la JOC, syndicaliste CFTC ; conseiller municipal de Rozérieulles (Moselle), puis maire de Longeville-lès-Metz (1955-1987, Moselle) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- « Nouvel espace Henri Chateau », La Gazette de Longeville, no 75, , p. 20 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Après trois mandats, Alain Chapelain range son écharpe : Alain Chapelain, maire de Longeville-lès-Metz depuis 2001, ne se représente pas. Il se félicite d’avoir été entouré de personnes dont il a apprécié l’implication dans ce qui pour lui a été une aventure fantastique de près de 30 années », Le Républicain lorrain, (lire en ligne) « C’est difficile de résumer 30 années au sein d’une municipalité, d’abord comme conseiller municipal, ensuite comme adjoint, et pour finir comme maire ».
- S.-G. Sebaoui, « Le maire s’installe, l’opposant fait un recours : Il n’y a pas eu de second tour, à Longeville-lès-Metz. Le 15 mars dernier, Manuel Brocart et son équipe ont pris la mairie, faisant de l’adjoint sortant Thierry Weizman l’un de ses principaux opposants. Ce dernier est aussi à l’origine d’un recours contestant cette élection inédite. Autant que toutes les autres », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le maire Manuel Brocart s’en va, fin d’un feuilleton mouvementé à Longeville-lès-Metz : La préfecture de Moselle a accepté la démission du maire de Longeville-lès-Metz Manuel Brocart, chahuté depuis deux ans », La Semaine, (lire en ligne, consulté le ).
- S.-G. Sebaoui, « Thierry Weizman, le président-candidat : Vingt-cinq ans déjà que Thierry Weizman siège au sein du conseil de Longeville-lès-Metz. Dans l’ombre, ou presque. Mais ça ne saurait durer puisque le patron du Metz Handball convoite désormais le fauteuil de maire, parce qu’il aime sa commune et lui promet un avenir vert », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre Théobald s, « Conseil Municipal de Longeville-lès-Metz : ainsi fronde, fronde, fronde… : Après deux ans de mandat, le divorce paraît consommé entre le maire, Manuel Brocart, et sa propre majorité municipale. Celle-ci a réclamé sa démission, allant jusqu’à lui infliger un « blâme ». L’opposition se dit médusée », La Semaine, (lire en ligne, consulté le ).
- « Delphine Firtion élue maire de Longeville-lès-Metz », Le Républicain lorrain, 5/8/2022 mis à jour le 6/8/2022 (lire en ligne, consulté le ) « La nouvelle première magistrate de la commune l’a emporté avec 19 voix, devant les opposantes Sandrine Barbieri (6 voix) et Anna Kulichenski (2 voix) ».
- « Politique : qui est la nouvelle maire de Longeville-lès-Metz ? : Ancienne première adjointe de Manuel Brocart, démissionnaire, Delphine Firtion, 53 ans, a été élue maire de Longeville-lès-Metz », La Semaine, (lire en ligne, consulté le ).
- Laura MAURICE, « Le jour où l’ASPTT Metz a « dit adieu » au Palais des Sports », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Structurae, « Stade Saint-Symphorien (Metz, 1923) », sur Structurae.net, (consulté le ).
- « La rénovation du Stade Saint-Symphorien dévoilée ! », sur Football Club de Metz, (consulté le ).
- Arnaud Demmerlé, « Le FC Metz devient « propriétaire » du stade Saint-Symphorien et c’est rare en France », sur Lasemaine.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L’île Saint-Symphorien. Consulté le 10 octobre 2009.
- « Attention travaux », dans Metz Métropole, numéro 31, novembre 2008, p. 8
- « Donjon des Gournay (ancien) », notice no PA00107033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.