Consentement des gouvernés
En philosophie politique, l'expression consentement des gouvernés fait référence à l'idée que la légitimité et le droit naturel d'un gouvernement à utiliser le pouvoir de l'État ne sont justifiés et licites que lorsqu'ils sont consentis par le peuple ou la société sur laquelle ce pouvoir politique est exercé.
Histoire
modifierCette théorie du consentement est historiquement opposée au droit divin et a souvent été invoquée contre la légitimité du colonialisme[réf. nécessaire].
L'article 21 de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 des Nations Unies stipule que « la volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics »[réf. nécessaire].
Types de consentement
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifier- (en) Edward Herman et Noam Chomsky, La Fabrication du consentement [« Manufacturing Consent: The Political Economy of the Mass Media »] [« La fabrication du consentement : de la propagande médiatique en démocratie »], (ISBN 0-375-71449-9)
- (en) Rebecca MacKinnon (en), Consent of the Networked (en), États-Unis, Basic Books, (ISBN 978-0-465-02442-1)