Cranves-Sales

commune française du département de la Haute-Savoie

Cranves-Sales est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération du Grand Genève.

Cranves-Sales
Cranves-Sales
Vue des Voirons.
Blason de Cranves-Sales
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Saint-Julien-en-Genevois
Intercommunalité Annemasse - Les Voirons Agglomération
Maire
Mandat
Bernard Boccard
2020-2026
Code postal 74380
Code commune 74094
Démographie
Population
municipale
7 182 hab. (2021 en évolution de +9,45 % par rapport à 2015)
Densité 528 hab./km2
Population
agglomération
194 216 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 15″ nord, 6° 17′ 31″ est
Altitude Min. 439 m
Max. 1 440 m
Superficie 13,6 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Genève (SUI)-Annemasse (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gaillard
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Cranves-Sales
Liens
Site web cranves-sales.fr

Géographie

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Localisation

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Le territoire de la commune de Cranves-Sales est situé dans le sud-est de la France, dans la partie nord-est du département de la Haute-Savoie, sur le versant occidental du massif des Voirons[1]. Elle est limitée par les torrents de la Chandouze, affluent du Foron de Gaillard, au nord, et de la Menoge, dans sa partie sud[1]. La commune recouvre une superficie de 1 362 ha[1].

Cranves-Sales fait partie de la grande agglomération transfrontalière d'Annemasse-Genève dont elle bénéficie des infrastructures de transports et des équipements notamment hospitaliers ou scolaires.

Communes limitrophes

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Villages et hameaux

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L'ancienne commune de Cranves est situé dans la partie nord du territoire, tandis que Sales se trouve dans la partie sud[1].

Les hameaux Rosse, Borly, Montagny et La Bergue sont installés en bas du versant, Lossy, Martigny et Armiaz se trouvent au-dessus[1].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Cranves-Sales est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française)[Note 1], une agglomération internationale regroupant 34 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[3],[4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[4]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[5],[6].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (47,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (27,7 %), forêts (25,2 %), terres arables (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), prairies (7,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), zones humides intérieures (1,9 %)[7].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

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Le toponyme Cranves-Sales est composé du nom des deux anciennes paroisses, qui ont fusionné en 1801[1]. Cranves est mentionné dans un acte vers l'an mil, in dominationis villis Cranavis[8],[9]. La forme Cranves apparait dans un document de 1339[9], tandis que Sales est attestée vers 1344[10].

L'origine du toponyme Cranves aurait, pour certains auteurs — Georges-Richard Wipf (1982), repris par Gilbert Künzi (1997)[11] — pour origine un domaine gallo-romaine, *villa Cranava, composé de *caran désignant un « chêne » et ava pour l'élément « eau »[9]. Toutefois, Henry Suter souligne une interprétation très probablement douteuse[9]. La Revue savoisienne donne une origine celtique ou ligure pour Cranava[12].

Le toponyme Sales désigne une résidence seigneuriale, sans fortification, dérivant de salla[10].

La plupart des toponymes des hameaux possèderaient une origine gallo-romaine[1].

En francoprovençal ou arpitan savoyard, le nom de la commune s'écrit Cranges et se prononce [krɑ̃.ðə] (retranscrit selon la norme API) et « Kranzhe » (transcrit selon la graphie semi-phonétique de Conflans)[13].

Histoire

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Ancienne présence d'un dolmen, peut-être deux, de l'époque mégalithique, présent encore au XIXe siècle, mais depuis disparu[1], rapporté par l'historien Louis Revon (1833-1884), Conservateur du musée municipal d'Annecy[14]. Le dolmen de Cranves a été découvert, en 1864, lors de travaux effectués dans des vignes par un cultivateur qui l'a endommagé[14]. Des fouilles ont permis de mettre au jour un tas d'ossements, des fragments de poteries[1],[14]. Charles Marteaux (1861-1956) de l'Académie florimontane localise le site dans un triangle composé du chef-lieu, et des hameaux situés au sud de Cranves, du Borly et de La Bergue[1],[14].

L'enquête Delphinale de 1339 précise que le seigneur n'exerce sa juridiction que sur une partie des feux : « trente-huit feux sont aux enfants et héritiers du seigneur François, chevalier de Lucinges sur lequel il a omnimode juridiction jusqu'aux peines de sang »[15].

La paroisse de Sales est dédiée aux saints Ferréol Forruce[1],[16]. Elle est unie à la paroisse de Cranves de 1604 à 1618, dédiée elle à saint Jean-Baptiste[1],[16]. En 1803, elles sont à nouveau réunies[16].

Entre 1780 et 1837, Cranves-Sales fait partie de la province de Carouge, division administrative des États de Savoie.

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 31 pour la commune[19]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et 23 avril 1860 où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[20].

Le hameau de Rosses (Rosse) est détachée de la commune de Vétraz-Monthoux pour être unis à la commune, par décret du [16].

Une communauté Emmaüs s'est établie en 1988[21].

Politique et administration

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La mairie de Cranves-Sales.

Administration territoriale

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La commune est rattachée administrativement à l’arrondissement de Saint-Julien-en-Genevois. Elle fait partie du canton d'Annemasse-Nord jusqu'à sa suppression en 2015 et depuis cette date de celui de Gaillard. Enfin, elle est rattachée à la quatrième circonscription de la Haute-Savoie.

Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt-neuf[22].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 2001 Louis Briffod[23] (1930-2007)   Dirigeant d'entreprise de charpente, maire honoraire (2001)
Chevalier des Palmes académiques (2004)[24]
mars 2001 mars 2008 Denis Thomas DVD  
mars 2008 En cours
(au 27 mai 2020)
Bernard Boccard UMP-LR Chef d'entreprise
Conseiller départemental du canton de Gaillard (2015 → )
7e vice-président de Annemasse Agglo
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune fait partie d'Annemasse - Les Voirons Agglomération.

Population et société

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Les habitants de la commune sont appelés les Cranves-Saliens[16].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 7 182 habitants[Note 5], en évolution de +9,45 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
5366937137651 1371 1811 1261 1361 048
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 0791 0751 0891 1071 1771 0171 0791 015950
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
9089039629499439781 0601 2962 001
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
2 7533 9314 3584 9735 1466 2926 9027 182-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Jumelages

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Drapeau de l'Italie Torella Dei Lombardi (Italie)

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Armes de Cranves-Sales

Les armes de Cranves-Sales se blasonnent ainsi :

Écartelé : au premier de gueules à la croix d'argent, au deuxième d'azur à la montagne de deux monts pointus de sinople mouvant de la pointe, sommée sur le mont sénestre d'un sapin du mème, au troisième d'azur à la montagne de deux coupeaux de sinople adextrée d'un clocher d'argent ajouré de sable, sommé d'une flèche de tenné, le tout mouvant de la pointe, au quatrième palé d'or et de gueules ; sur le tout cinq points d'or équipolé à quatre d'azur.

Voir aussi

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Panorama du Genevois.
Panorama du Genevois.

Bibliographie

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  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 110-112.
  • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) comprend une ville-centre et 33 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[17],[18].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. a b c d e f g h i j k et l Pierre Broise, « Antiquités gallo-romaines du Faucigny », Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, vol. 3, t. XVIII,‎ , p. 253-257, « Cranves-Sales » (lire en ligne).
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cranves-Sales ».
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  8. Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 110, « Le moyen âge ».
  9. a b c et d Henry Suter, « Cranves », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  10. a et b Henry Suter, « Sales », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  11. Georges-Richard Wipf, Noms de lieux franco-provençaux. Région Rhône-Alpes, Suisse romande, Val d'Aoste : histoire et étymologie, Chambéry, Éditions des imprimeries réunies de Chambéry, , 342 p., et cité par Gilbert Künzi, Lieux-dits entre Dranse et Arve : Chablais savoyard et Faucigny, Éditions Cabédita, , 201 p. (ISBN 978-2-88295-203-5)[réf. incomplète].
  12. Revue savoisienne, volumes 81 à 86, 1940, p. 88.
  13. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
  14. a b c et d Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 110, « Vestiges préhistoriques et gallo-romains ».
  15. Élisabeth Sirot 2007, p. 42.
  16. a b c d et e « Cranves-Sales », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  17. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  18. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
  19. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 20.
  20. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
  21. VERS UNE COMMUNAUTE, Emmaüs Annemasse Annecy
  22. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  23. [PDF] « Hommage à M. Louis Briffod »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cranves-sales.fr, Bulletin municipal n°56, , p. 5.
  24. G.D., « Coup de chapeau à Lossy : Remise des palmes académiques à Louis Briffod ancien maire de Cranves-Sales dans la plus grande intimité par le député Claude Birraux », Le Dauphiné libéré,‎
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.