Crisolles
Crisolles est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Crisolles | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays Noyonnais | ||||
Maire Mandat |
Gérard Delanef 2020-2026 |
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Code postal | 60400 | ||||
Code commune | 60181 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Crisollois, Crisolloises | ||||
Population municipale |
914 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 87 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 37′ 20″ nord, 3° 01′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 181 m |
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Superficie | 10,54 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Noyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Noyon | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://crisolles.paysnoyonnais.fr/ | ||||
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Géographie
modifierDescription
modifierCrisolles est un bourg périurbain du Noyonnais dans l'Oise, situé à 5 km au nord de Noyon, 27 kmau nord-est de Compiègne, 70 km au vord-est de Beauvais, 60 km au sud-est d'Amiens, 14 km au sud de Ham et 31 km de Saint-Quentin.
Il est desservi par l'ancienne RN 32 (actuelle RD 932), et est traversé par le Sentier de grande randonnée GR 655 ou Via Turonensis.
L'est de la commune est constitué par une partie du Bois d'Autrecourt.
En 1850, Louis Graves indiquait que le « 'territoire de cette commune, dont l'étendue est assez considérable, eu égard aux autres communes du canton, est formé de coteaux boisés au midi , et d'une plaine marécageuse vers le nord[1] ».
Communes limitrophes
modifierMuirancourt | Guiscard | Quesmy | ||
Bussy | N | Grandrû | ||
O Crisolles E | ||||
S | ||||
Genvry | Salency Noyon |
Béhéricourt |
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Verse, le fossé 01 de la commune de Genry[2], le Fossé de la Gleue[3], le ru des Yeppes[4], divers bras de la verse[5],[6],[Carte 1].
La Verse, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune de Ugny-le-Gay et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Sempigny, après avoir traversé 15 communes[7].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[8].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 15 km à vol d'oiseau[11], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Crisolles est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), forêts (35,1 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), prairies (0,5 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 421, alors qu'il était de 400 en 2013 et de 387 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 93,3 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crisolles en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Crisolles[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93,3 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,4 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,2 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie, en 2023, par les lignes 676, 677, 678, 6308 et 6333 du réseau interurbain de l'Oise[19].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Carisiola[1] (851) ; Carisiolas (vers 982)[20] ; Carisiolam (988)[20] ; Carisoles (1162) ; Carisiolis (1168) ; apud Karisiolas (1201) ; Manasserus dominus de crisoles (1249) ; Kierisoles (1220) ; de Kerisoles (1260) ; de Kyerisoles (1304) ; Grisolles (vers 1575)[20] ; Chrysoles[1] (vers 1575) ; Crisolles[1] (1730)[20].
Histoire
modifierMoyen-Âge
modifierLa cure dé Crisolles est donnée avec plusieurs autres à l'Abbaye Saint-Éloi de Noyon, vers 988, par Liudolphe, évêque de Noyon[1].
Les Templiers et les Hospitaliers
modifierAu Moyen Âge, une maison forte et un château, appartenant aux Templiers de la commanderie d'Eterpigny protégeaient le village, qui appartenait en grande part à l'ordre religieux. Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple la maison forte et le château reviennent aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. L'église, détruite pendant la Première Guerre mondiale, était considérée comme une ancienne chapelle templière[21],[22].
Époque contemporaine
modifierXIXe siècle
modifierEn 1846, le maire, M. Gellée, interdit les toitures de chaume[1], sans doute pour lutter contre les incendies.
En 1850, la commune est propriétaire de la mairie, du presbytère, d'une école, d'un terrain de jeu d'arc, d'une grande place garnie de plantations, ainsi que de portions de terrain à l'état de friche et de marais. On comptait alors sur le territoire communal un moulin à vent ainsi qu'un moulin à eau, et une exploitation considérable de grès[1].
Une sucrerie est construite à Crisolles par Alphonse Labarre en 1863. Elle employait 75 salariés pendant la saison[23].
La sucrerie ferme en 1966 et ses installations sont détruites, à l'exception de la maison de maître[23].
Première Guerre mondiale
modifierLe kronprinz Frédéric Guillaume, fils du Kaïser, allemand, Guillaume II a eu son quartier général à Crisolles, dans ce qui est actuellement le Bar du Centre[21].
Crisolles a été le théâtre de durs combats de mars à septembre 1918, qui l'ont fortement endommagée et le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].
La maison de maître de la sucrerie est reconstruite en 1924 et est aujourd'hui encore appelée le Manoir de Crisolles[23]
La commune n'ayant pas les moyens d'élever un monument aux Morts. le maire Albert Poulin, fit appel à la générosité des habitants de Deville-les-Rouen pour aider à ériger le monument actuel[21].
-
La sucrerie, en 1915
-
Rue du Clos, vers 1920.
-
L'église
Seconde Guerre mondiale
modifierLors de la Seconde Guerre mondiale, à l'annonce du Débarquement de Normandie, un maquis se constitue dans le Bois des Usages par des résistants noyonnais. Celui-ci est attaqué sans succès par l'occupant le , mais le garde-chasse Gaston Devulder et Maurice Moreau sont tués lors du combat. En représailles, les Allemands procèdent à une rafle à Crisolles, puis à Salency le [26],[27].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
modifierCrisolles est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Politique locale
modifierLors du second tour des électiuons municipales de 2020 où ne se représentait pas le maire sortant Gérard Lecomte, trois listes étaient en lice, celles menées par Gérard Delanef (apolitique mais soutenue par des élus de l'UMP[29]), par l'ancienne première maire-adjointe Annie Lalanne-Kesterman et par Joachim Gomes, qui ont recueilli 235, 234 et 58 voix. Compte tenu de la voix d'écart qui séparaient les deux premières listes et d'une irrégularité dans la tenue de la liste d'émargement, qui a permis à 4 personnes de voter sans être régulièrement des électeurs de la commune, le tribunal administratif d'Amiens[30] puis le Conseil d'État[31] ont annulé le scrutin.
Au terme des élections qui se sont ensuivies le 5 juillet 2015[32], au terme duquel la liste conduite par Gérard Delanef (SE) a remporté l'élection avec 174 de plus que celle d'Annie Lalanne-Kesteman (SE) et 220 de plus que celle de Gérard Lecomte (SE)[33], Gérard Delanef a été réélu maire de la commune.
Liste des maires
modifierInstances de démocratie participative
modifierLa commune s'est doté d'un conseil municipal des enfants, dont les membres ont participé à la plantation d'arbres près de la maison des associations en 2021[37].
Politique de développement durable
modifierFin 2021, les habitants de Crisolles ont planté près de la Maison des associations 125 arbres, principalement des jeunes arbustes et des arbres fruitiers, dans le cadre de l'appel à projet régional du plan « 1 million d'arbres en Hauts-de-France »[37].
Équipements et services publics
modifierLes enfants de la commune sont scolarisés dans le groupe scolaire Raymond Senter, qui compte quatre classes et une centaine d'enfants[38].
La commune dispose d'une maison des associations[39].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2021, la commune comptait 914 habitants[Note 3], en évolution de −7,02 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 463 hommes pour 455 femmes, soit un taux de 50,44 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église paroissiale Saint-Eloi, quasiment détruite en septembre 1918, reconstruite en 1925 en style néogothique sur le modèle de l'édifice précédent, lui-même refait au XIXe siècle mais dont la façade est orientée à l'est[45].
- Le Monument du Maquis des Usages[46],[27]
- Le Manoir de Crisolles, maison de maître de la sucrerie, reconstruite en 1924 et est aujourd'hui un gite touristique.
- Le monument aux morts
- L'ancien parc de loisirs médiéval Carisiolas , fermé en 200 et racheté par un investisseur local qui le transforme en centre de ball-trap[47],[48]
-
La place de la mairie
-
L'église.
-
Monument en hommage aux 9e, 10e et 1re fivision (1918)
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | D'argent, à l'arc de gueule posé en barre ; au renard rampant d'azur, posé en bande et brochant sur l'arc ; à la bordure d'azur, chargée : en chef d'une croix pattée d'or accompagnée aux angles de deux besants d'argent ; sur les flancs deux calices d'or ; en pointe d'une billette couchée d'argent, accompagnée sur les flancs de deux autres besants du même[49]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Processions de géants
modifierVoir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Crisolles (60181) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Crisolles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Crisolles » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Crisolles » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Crisolles ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Crisolles » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Crisolles - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Crisolles - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 40-42.
- Sandre, « le fossé 01 de la commune de Genry »
- Sandre, « le Fossé de la Gleue »
- Sandre, « le ru des Yeppes »
- Sandre, « divers bras de la verse »
- « Fiche communale de Crisolles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « la Verse »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Crisolles et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Crisolles », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 172.
- « Histoire de Crisolles », sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
- « Ces héros légendaires picards : Rigobert, le templier maure de Crisolles : Ils sont purement fictifs ou ils ont eu une existence réelle avant que la légende ne s'en empare : les héros et héroïnes légendaires de Picardie sont nombreux. Allons à leur rencontre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Rien n'atteste l'existence historique de Rigobert, mais les Crisollois n'ont plus de doutes à son sujet. En 2006, ils en firent un géant processionnel ; l'un des rares géants du nord de la France à la peau noire ».
- « L'histoire du Manoir de Crisolles », sur lemanoirdecrisolles.com (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
- « À Crisolles, le souvenir du maquis », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Frédéric Stévenot, complétée par Annie Pennetier, « Crisolles (Oise), 23 juin 1944 », Le Maitron - Dictionnaire biographique - Fusillés, guillotinés, exécutés, massacrés 1940-1944 (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Gérard Delanef vise la mairie de Crisolles », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Gérard Delanef part donc au combat pour succéder au maire socialiste Gérard Lecomte, en poste depuis 1995 et qui ne se représentera pas. Bien que théoriquement apolitique, la liste Réanimons Crisolles a reçu le soutien, sur sa page Facebook, d'élus de droite comme l'ancien député UMP, François-Michel Gonnot, le conseiller général UMP de Compiègne-Nord, Eric de Valroger et le responsable UMP du Noyonnais, Alexandre Cavé ».
- Pierre Pauma, Karine Leroy, « Le maire de Crisolles saisit le Conseil d'État et reste en place », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- CE, no 382162, 27 mai 2015.
- « De nouvelles élections municipales programmées en juillet à Crisolles », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- Florent Hélaine, « Élections municipales à Crisolles : Gérard Delanef reprend son bien », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « Les Maires et adjoints de Crisolles de 1880 à nos jours », Histoire de Crisolles, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
- « CRISOLLES (60) Un maire élu, et... trois démissions : L'ex-adjointe Annie Lalanne-Kesteman et ses colistiers ont démissionné vendredi lors de l'élection Gérard Delanef comme nouveau maire de Crisolles (nord-est de l'Oise) », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le mot du maire », Actualités 2020, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
- Stephane Lebarber, « À Crisolles, les habitants plantent 125 arbres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Ecole de Crisolles », Vie locale, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
- « La maison des associations de Crisolles », sur maisondesassociations-crisolles.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Crisolles (60181) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Crisolles, église Saint-Eloi : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « Monument du Maquis des Usages », CANOPÉ - Site de Beauvais.
- Alexis Bisson, « Oise : fermé depuis deux ans, le parc Carisiolas bientôt reconverti... en centre de ball-trap : L'ancien parc de loisirs médiéval de Crisolles, en proie à des difficultés financières, avait fermé ses portes début 2020. Le site de 13 hectares a été racheté par un entrepreneur habitant la commune et passionné de tir aux plateau », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- « À Crisolles, le centre de ball-trap prêt à dégainer dans l'ancien parc Carisiolas : Un couple d'entrepreneurs compte ouvrir le mois prochain son centre de tir de loisir dans le site boisé de l'ancien parc d'attractions médiévales de Crisolles, après d'importants travaux depuis l'été 2021 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le blason de Crisolles », Histoire de Crisolles, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).