Dillingen (Sarre)

Dillingen/Saar (Déllingen en francique mosellan, Dillinge en francique rhénan, en français : Dillange) est une ville de l’Arrondissement de Sarrelouis en Sarre. Elle a environ 20 000 habitants répartis sur trois quartiers : Dillingen (centre-ville), Pachten et Diefflen. Le territoire de la commune est situé au bord du Parc Naturel Sarre-Hunsrück (de), à l’embouchure de l’affluent Prims dans la Sarre.

Dillingen/Saar Dillange
Hôtel de ville.
Armoiries
Administration
Pays	Allemagne
Land	Sarre
Arrondissement (Landkreis)	Sarrelouis
Nombre de quartiers (Ortsteile)	3
Bourgmestre (Bürgermeister)	Franz-Josef Berg (CDU)
Partis au pouvoir	CDU, SPD, ÖDL, FDP
Code postal	66744–66763
Code communal (Gemeindeschlüssel)	10 0 44 111
Indicatif téléphonique	06831
Immatriculation	SLS
Démographie
Population	19 989 hab. (2022)
Densité	906 hab./km2
Géographie
Coordonnées	49° 21′ nord, 6° 44′ est
Altitude	183 m
Superficie	2 207 ha = 22,07 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Allemagne Dillingen/Saar Géolocalisation sur la carte : Sarre Dillingen/Saar
Liens
Site web	www.dillingen-saar.de

La frontière avec la France est à 10 km. Dillingen se situe à 60 km de la ville de Luxembourg et de Trèves. Metz est situé à 50 km et Sarrebruck à 30 km. La ville touche directement aux confins du territoire de Sarrelouis. Par rapport au nombre d'habitants, elle est au deuxième rang dans l'Arrondissement de Sarrelouis.

Géographie

Quartiers

• Diefflen
• Dillingen
• Pachten

Histoire

Appartenances historiques Électorat de Trèves 1152-1388 Comté de Sarrebruck 1388-1391 Nassau-Sarrebruck 1391-1550  Duché de Lorraine 1550-1661 Royaume de France 1661-1792  République française (Moselle) 1792-1804 Empire français (Sarre) 1804-1813 Royaume de Prusse (Grand-duché du Bas-Rhin) 1815-1822 Royaume de Prusse (Province de Rhénanie) 1822-1918 République de Weimar 1918-1920 Territoire du bassin de la Sarre 1920-1935  Reich allemand 1935-1945 Allemagne occupée 1945-1947 Protectorat de Sarre 1947-1956 Allemagne 1956-présent

Riches découvertes en bronze du IX^e siècle av. J.-C., Une forteresse de la culture de Hallstatt (VIII^e – VI^e siècles av. J.-C. ) sur le massif montagneux du Limberg et un cimetière avec une "tombe de princesse" de la dernière période de Hallstatt (environ 500 ans avant notre ère) témoignent du fait que la région de Dillingen et Wallerfangen/Vaudrevange avait la fonction d'un centre à l'époque préhistorique et historique.

La colonie gallo-romaine Contiomagus existait à l'intersection des routes Metz-Mayence et Trèves-Strasbourg dans l'actuel district de Pachten. Vers 275/276 Contiomagus a été détruit et reconstruit au cours de l'invasion des barbares.

Le plus ancien message écrit de "Dillingen" et "Pachten" se trouve dans un document de l'évêque de Trèves, Albero de Montreuil (1131-1152). En 1324, la première mention de Diefflen est faite et en 1357 la première mention du vieux château de Dillingen, un château du duc de Lorraine. Entre 1618 et 1648, Dillingen fut dévastée par la guerre de trente ans et par les années 1672-1678/79 lors de la guerre de Hollande. En 1685, le marquis Charles Henri de Lenoncourt reçut à Dillingen l'autorisation de construire une usine sidérurgique (Dillinger Hütte) du roi français Louis XIV.

La Révolution française a mis fin à la domination de la noblesse locale à Dillingen. En 1814, la région fut récompensée par le premier traité de Paris. Dans le deuxième traité de Paris de 1815, Dillingen était affilié à l'État de Prusse.

Avec la chute de la dynastie des Hohenzollern en 1918, Dillingen devint une partie de l'État libre de Prusse. Entre 1920 et le plébiscite de 1935, Dillingen faisait partie du territoire du bassin de la Sarre sous l'administration de la Société des Nations, conformément aux dispositions du traité de Versailles. Après le plébiscite de 1935, Dillingen retourna dans le Reich allemand sans faire à nouveau partie de la Prusse. En 1936, le village de Pachten a été incorporé. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les destructions ont été considérables, notamment lors des violents combats de l'hiver 1944-1945 entre la Wehrmacht allemande et l'armée américaine. En 1947, Dillingen est devenu une partie de l’État de la Sarre. En 1949, Dillingen obtint le privilège urbain du gouvernement de la Sarre, dirigé par le Premier ministre Johannes Hoffmann. En 1957, Dillingen est devenu politiquement et, le 5 juillet 1959, économiquement une partie de la République fédérale d’Allemagne. En 1969, le village Diefflen a été incorporé. En 1990, ils fêtèrent à Dillingen une célébration de 2000 ans de la colonie romaine Contiomagus.

• 
  Gare
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  Zone piétonne Stummstraße.
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  Statue de sainte Odile devant le Saardom.
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  Église Saint-Jean-Baptiste.
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  Église Saint-Maximin et des saints auxiliateurs, Pachten.
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  Église Consolatrice des Affligés, Pachtener Heide.
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  Église Saint-Joseph et Saint-Wendelin, Diefflen.
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  Église du Très-Saint-Sacrement (Saardom).
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  Église protestante.
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  Camp romain, Reconstruction, Pachten.
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  Fontaine Sainte-Odile.
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  Aciérie "Dillinger Hütte", haut fourneau.
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  Vieux château.
• 
  Cimetière juif.
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  Diefflen, La place du village.

Administration

• 1956-1974 : Eduard Jakobs, CDU
• 1974-1994 : Gerhard Leonardy, CDU
• 1994-2004 : Erwin Planta, SPD
• 2004– : Franz-Josef Berg, CDU

Héraldique

Blasonnement : En bleu, une muraille argentée, épinglée et noire, surmontée d'un aigle lorrain assis, soutenu et orné de rouge et soutenu par une langue rouge, dans le mur une grande porte dorée, couverte d'une barre en zigzag rouge, surmontée d'un collier bleu à trois rangs.

Explication

Le blason rouge et or de la Maison de Lorraine est le blason d'origine des armoiries de la ville de Dillingen

Les armoiries rouges et or de la dynastie lorraine sont les armoiries d'origine des armoiries de la ville de Dillingen: l'aigle d'argent lorrain sur le casque de l'écusson couronné avec la couronne ducale des armoiries lorraines apparaît dans les armoiries de Dillingen au-dessus d'une couronne de mur de la ville. Le couvre-casque lorraine aux couleurs rouge et or a été adopté comme couleurs du drapeau de la ville de Dillingen. La barre transversale rouge des armoiries de Lorraine dorées est utilisée dans les armoiries de Dillingen comme une barre en zigzag sur fond d'or.

Le blason de la Prévôté Siersberg

Les armoiries de Dillingen reprennent une partie des armoiries lorraines (aigle en argent avec couronne ducale, couleurs lorraines rouge et or, barre rouge en zigzag dans le champ d'or comme déclinaison de la barre diagonale rouge lorraine dans le champ d'or). De plus, sa conception est basée sur les armoiries des seigneurs nobles lorrains de Siersberg, seigneurs de Dillingen (barre en zigzag rouge et col de tournoi bleu sur fond doré) et les armoiries officielles de l'ancienne prévôté lorraine (Vogtei) Siersberg (tour d'argent avec un aigle sur fond bleu). Les colliers de tournoi sont très souvent utilisés dans l'héraldique rhénane pour distinguer les branches plus jeunes des familles nobles. Le col du tournoi présente les armoiries de Dillingen comme symbole d'un pouvoir dépendant de la Lorraine. Les deux armoiries (Seigneurs de Dillingen-Siersberg et prévôté Siersberg) sont combinées. Les armoiries des seigneurs nobles sont réinterprétées dans les armoiries de Dillingen pour la porte d'un mur d'enceinte.

Jumelages

La commune de Dillingen est jumelée avec :

•  Creutzwald (France) depuis le 9 décembre 1967 ;
•  Hoyerswerda (Allemagne) depuis 1988 ;
•  Sutera (Italie).

Personnalités liées à la ville

• Guillaume Albert de Lasalle de Louisenthal (1768-1846), officier français de l'Armée des émigrés né à Dillingen. Ce cousin royaliste du général Lasalle fut aussi corsaire et planteur.
• Egon Gindorf (1930-2020), dirigeant de football né à Dillingen.
• Jan Spurk (1956-), sociologue né à Diefflen.
• Christiane Weber (1962-), fleurettiste, championne olympique.

Bibliographie

• Wolfgang Adler, Monika Schwarz: Neues zur Spätzeit des römischen vicus Contiomagus (Dillingen-Pachten). In: Landesarchäologie Saar 2005–2009. Band 2 der Reihe Denkmalpflege im Saarland. Saarbrücken 2010, S. 217 ff.
• Maria Daniela Alecu, Peter Robert Franke: Der römische Münzfund von Dillingen-Pachten 1968. In: Beiträge zur Archäologie und Kunstgeschichte. 16. Bericht der Staatlichen Denkmalpflege im Saarland 1969. Saarbrücken 1969, S. 141 ff.
• AG der Dillinger Hüttenwerke (Hrsg.): Zum 275-jährigen Jubiläum der Dillinger Hütte – 1685–1960. Dillingen 1960.
• AG der Dillinger Hüttenwerke (Hrsg.): 300 Jahre Dillinger Hütte – Ein Rückblick. Dillingen 1985.
• AG der Dillinger Hüttenwerke (Hrsg.): 325 Jahre Dillinger Hütte. Dillingen 2010.
• Georg Baltzer: Die Geschichte der Stadt Saarlouis und ihrer unmittelbaren Umgebung. Saarlouis 1865.
• Günther Bellmann, Armin Jost: Die Alte Pfarrei – Geschichte der Pfarrei St. Johann Dillingen. Geschichtswerkstatt Dillingen/Saar e. V., Dillingen 2010.
• Georg Colesie: Geschichte des Nalbacher Tales – Eine saarländische Heimatgeschichte. Nalbach 1990.
• Erhard Dehnke: Die römischen Münzen von Pachten. In: Beiträge zur saarländischen Archäologie und Kunstgeschichte. 11. Bericht der Staatlichen Denkmalpflege 1964. Saarbrücken 1964, S. 51 ff.
• Johannes Dräger, Stefan Reuter: Der Westwall im Raum Dillingen von 1936 bis heute. Geschichtswerkstatt Dillingen/Saar e. V., Dillingen 2006.
• Förderverein Heimatmuseum Pachten (Hrsg.): Das römische Pachten und seine Umgebung. Dillingen 1990.
• Freiwillige Feuerwehr Dillingen/Saar (Hrsg.): 100 Jahre Freiwillige Feuerwehr Dillingen/Saar. Geschichte der Freiwilligen Feuerwehr Dillingen/Saar anlässlich ihres 100-jährigen Bestehens 1864–1964 auch unter Berücksichtigung der 100-jährigen Vergangenheit der Freiwilligen Feuerwehr Pachten 1862–1962, ohne Orts- und Jahresangabe.
• Freiwillige Feuerwehr Dillingen/Saar (Hrsg.): 125 Jahre Freiwillige Feuerwehr Dillingen. 1864–1989. Geschichte der Feuerwehr Dillingen/Saar anlässlich ihres 125-jährigen Bestehens 1864–1989 auch unter Berücksichtigung der Vergangenheit der Feuerwehr Pachten, Feuerwehr Diefflen und der Werkfeuerwehr der Dillinger Hüttenwerke, Dillingen 1989.
• Edith Glansdorp: Das Gräberfeld „Margarethenstrasse“ in Dillingen-Pachten. Studien zu gallo-römischen Bestattungssitten. Habelt, Bonn 2005, (ISBN 3-7749-3360-X)
• Hermann van Ham: Beiträge zur Geschichte der Aktiengesellschaft der Dillinger Hüttenwerke – 1685–1935. Astra-Werke, Saarlautern 1935.
• Petra Held, Kurt W. Alt: Anthropologische Auswertung der Skelettfunde des ehemaligen Friedhofs an der Kirche St. Maximin in Dillingen-Pachten. Fundjahre 2007 und 2008. In: Landesarchäologie Saar 2005–2009. Band 2 der Reihe Denkmalpflege im Saarland. Saarbrücken 2010, S. 243 ff.
• Franz Hennes: Pachtener Flurnamen. Dillingen 1977.
• Hans-Walter Herrmann: Endkampf und Durchbruch im Saarraum 1944/45. In: Geschichte und Landschaft. 1964, Nr. 48, Heimatbeilage der Saarbrücker Zeitung
• Kurt Hoppstädter: Die Burg in Dillingen. In: Geschichtliche Landeskunde des Saarlandes. Vom Faustkeil zum Förderturm. hrsg. v. Kurt Hoppstädter u. Hans-Walter Herrmann, Bandd 1 unter Mitwirkung von Erhard Dehnke, Saarbrücken 1960, S. 148–151.
• Armin Jost, Stefan Reuter: Dillingen im Zweiten Weltkrieg. Geschichtswerkstatt Dillingen/Saar, Dillingen 2002.
• Kath. Kirchengemeinde St. Josef Diefflen (Hrsg.): 100 Jahre Pfarrkirche St. Josef Diefflen 1900/2000. Dillingen 2000.
• Katholisches Pfarramt Heilig Sakrament (Hrsg.): „50 Jahre Saardom“, Dillingen 1963.
• Klaus Kell, Manfred Kunter: Das römische Brandgräberfeld von Dillingen-Pachten (Kreis Saarlouis). Staatliches Konservatoramt, Saarbrücken 1994.
• Walter Kiefer: Dillingen (Saar), Fotos von Gestern und Heute (1890–1980). Saarbrücker Druckerei und Verlag, 1983.
• Walter Kiefer: Pachten – Dillingen – Diefflen, Bilder von Gestern und Heute (1885–1985). Selbstverlag, o. J.
• Walter Kiefer: Dillingen, Hütten- und Gartenstadt – 100 Jahre Bilddokumente. Selbstverlag, 1996.
• Martin Klewitz: Burg und Schloss Dillingen/Saar. Dillingen 1974.
• Erich Labouvie: Studien zur Syntax der Mundart von Dillingen an der Saar. Marburg, Elwert'sche Verlagsbuchhandlung 1938.
• Aloys Lehnert: Festschrift aus Anlaß der Verleihung der Stadtrechte an die Gemeinde Dillingen-Saar zum 1. September 1949. Dillingen/Saar 1949.
• Aloys Lehnert: Festschrift aus Anlaß des 50-jährigen Bestehens des Dillinger Realgymnasiums und der Einweihung des Neubaus in der Dr.-Prior-Straße. Dillingen 1953.
• Aloys Lehnert: Geschichte der Stadt Dillingen Saar. Druckerei Krüger, Dillingen 1968.
• Willibrord Lithardt: Katharina Margaretha Kest aus Fechingen genannt Gänse-Gretel – Freifrau und Reichsgräfin von Ottweiler, Herzogin von Dillingen, Fürstin von Nassau-Saarbrücken. In: Brebach-Fechingen einst und jetzt. herausgegeben von der Gemeinde Brebach-Fechingen, 1973.
• Ulrich Meisser: Dillingen – Gesicht einer Stadt. Krüger Druck + Verlag GmbH, Dillingen 1987.
• Heinrich Meuren, Rolf A. Bauer: Der Sturm auf den Westwall 1944 – Die Brückenköpfe der US-Army in Saarlouis und Dillingen. Heft 2/80 der Reihe Unsere Heimat – Mitteilungsblatt des Landkreises Saarlouis für Kultur und Landschaft. Selbstverlag Landkreis Saarlouis, Saarlouis 1980.
• Nicolas Bernard Motte: Manuscrit tiré des archives mêmes de Sarrelouis et de ses environs par Nicolas Bernard Motte Seigneur d'Altvillers (1777–1860). Sarrelouis 1922/23.
• Franz-Josef Reichert: Mein Dillingen, Notizen und Erinnerungen von A-Z. mit Illustrationen von Karl Michaely; Stadt Dillingen, Krüger Druck + Verlag GmbH, Dillingen 1988.
• Reinhard Schindler: Bericht über die Forschungsgrabungen in Pachten 1960–1963. In: Beiträge zur saarländischen Archäologie und Kunstgeschichte. 11. Bericht der Staatlichen Denkmalpflege 1964. Saarbrücken 1964, S. 5 ff.
• Egon Scholl: Das römische Hakenkreuzmosaik von Dillingen-Pachten – Fundbericht sowie Versuch einer Datierung und Deutung. In: Saarheimat – Zeitschrift für Kultur, Landschaft, Volkstum. 20. Jahrgang, Heft 1/1976, Saarbrücken 1976, S. 4 ff.
• Egon Scholl: Die Grabung am Hylborn bei Dillingen-Pachten (2) – Eine verzierte Sigillata-Schüssel und vier Töpferstempel. In: Saarheimat – Zeitschrift für Kultur, Landschaft, Volkstum. 21. Jahrgang, Heft 11/1977, Saarbrücken 1977, S. 217 ff.
• Egon Scholl: Die Grabung am Hylborn bei Dillingen-Pachten (3) – Zwei Lederfunde. In: Saarheimat – Zeitschrift für Kultur, Landschaft, Volkstum. 22. Jahrgang, Heft 9/1978, Saarbrücken 1978, S. 267 ff.
• Alois Scherer: Straßen und Plätze in Dillingen, Pachten, Diefflen – Ursache und Bedeutung ihrer Benennung. herausgegeben von der Realschule Dillingen und der Stadt Dillingen, Nalbach 1990.
• Alois Scherer: Dieffler Geschichten. Diefflen, wie es einmal war in Dokumenten, Berichten, Erzählungen, Bildern. Dillingen/Saar 2009.
• Reinhard Schindler: Forschungsproblem Pachten. Sonderdruck aus Saarbrücker Hefte Nr. 14/1961, o. O., o. J.
• Gertrud Schmidt: Das Römische Pachten – Katalog zu der Ausstellung vom 22. August bis 27. September 1986. Krüger Druck + Verlag GmbH, Dillingen 1986.
• Philipp Schmitt: Der Kreis Saarlouis und seine Umgebung unter den Römern und Celten. Trier 1850.
• Philipp Schmitt: Geschichte von Dillingen. Urkundenbuch von Dillingen im Archiv der Pfarrei Hl. Sakrament, Dillingen.
• Johann Spurk: Diefflen – Die Entwicklung einer kleinen dörflichen Siedlung zu einer großen Arbeiter-Wohnsitzgemeinde. A. Krüger, Dillingen-Saar, 1964.
• Johann Spurk: 75 Jahre Pfarrgemeinde St. Josef Diefflen. Saarlouis 1975.
• Stadtwerke Dillingen/Saar GmbH (Hrsg.): Chronik Stadtwerke Dillingen/Saar GmbH. Dillingen 1993.
• Raimund Thomaser: Die Vorkriegs-, Kriegs- und Nachkriegsgeschichte der Freiwilligen Feuerwehr Dillingen/Saar 1935–1948. Dillingen 1997.
• Hermann Volk: Heimatgeschichtlicher Wegweiser zu Stätten des Widerstandes und der Verfolgung 1933–1945. Band 4, Saarland, Köln 1990, S. 115–119.
• Gerd Weisgerber: Zu den Terrakotten im Landesmuseum für Vor- und Frühgeschichte in Saarbrücken. In: Beiträge zur Archäologie und Kunstgeschichte, Abteilung Bodendenkmalpflege. 21. Bericht der Staatlichen Denkmalpflege im Saarland 1974. Saarbrücken 1974, S. 77 ff.
• Walter Zimmermann: Die Kunstdenkmäler der Kreise Saarlouis und Ottweiler. Düsseldorf 1934.

Lien externe

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