Discussion:Ève mitochondriale

Dernier commentaire : il y a 7 ans par 92.144.75.169 dans le sujet Transmission paternelle ?
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Traduction modifier

Bonjour

Cet article est donné sans source. C'est une traduction de la version anglaise, qui elle contient plein de sources. J'ai modifié le début pour me rapprocher de la version d'origine qui était plus claire, notament pour éviter la confusion avec l'Eve de la bible.

J'ai adopté l'article définit L’Eve mitochondriale car c'est un titre attribué à une femme qui remplit certaines conditions, ce n'est pas vraiment un nom. J'utilise femme plutôt que femelle car vu l'époque, c'est une Homo sapiens. voilà voilà...

Dunwich 19 décembre 2006 à 15:47 (CET)Répondre

Transmission paternelle ? modifier

Il faudrait notamment sourcer l'histoire de la transmission paternelle d'un ADN mitochondrial, cela va à l'encontre de tout ce qu'on enseigne (en tous cas au secondaire) donc le minimum est de ne pas le laisser comme une simple affirmation gratuite...

92.144.75.169 (discuter) 6 août 2016 à 20:31 (CEST)Répondre

Orthographe : Adam Y-chromosomal modifier

Je remplace "Adam Y-chromosomal" par "Adam Y-chromosomique", le premier terme étant anglais et non français.

est-il besoin de préciser "150 000 ans (148 000 av. J.-C.) " ? On est vraiment à 2000 ans près ?

Goulu 14 octobre 2009 à 17:33 (CEST)

A-t-on une idée du groupe sanguin... modifier

...probable de ces ancêtres ? Est-ce que par hasard ce serait AB, dont certains des descendants auraient ensuite perdu les gènes (par mutations régressives) ? Merci de vos lumières.

Plijno (d) 29 juin 2010 à 07:29 (CEST)Répondre

Les mutations régressives sont des phénomènes très rares et les groupes sanguins n'existaient pas forcément à l'époque, ils marquent les globules rouges en surface mais n'ont aucune utilité. Ce caractère est codé dans l'ADN du noyau, beaucoup plus fragile et devenu illisible après 150.000 ans... Le groupe AB n'est que l'addition du A et du B, 0 étant l'absence des deux, le plus fréquent dans le monde. Les cartes de répartition actuelles montrent un centrage très net du type B en plein milieu de l'Asie sur l'axe "Himalaya-Grand Nord". Il est quasi impossible qu'une mutation donnant un caractère (ici le B) soit apparu en Afrique il y a 150.000 ans puis ait presque disparu de cet immense territoire pour tout d'un coup réapparaitre en masse, à l'identique, par mutation régressive au milieu de l'Asie. Plus fréquemment, un gène peut exister (ou inversement disparaître) chez la totalité des individus d'une population quand elle est totalement isolée ET très réduite, par le mécanisme de la dérive génétique : si dans une population présentant A, B et 0 un couple est isolé et ne possède pas le B, aucun de leurs descendants ne l'aura plus, cela sans aucune pression par sélection naturelle. (Noter que c'est un complément logique aux théories de Darwin.) Il reste possible ensuite que les conditions favorables permettent l'expansion de cette population, puis enfin son mélange avec assez d'individus issus d'une autre population plus petite ayant conservé ce caractère perdu. C'est tout de même assez "acrobatique" et peu vraisemblable sur un territoire aussi immense que l'Asie : en science on privilégie toujours l'hypothèse qui demande le moins de constructions sans fondement, jusqu'à la preuve du contraire. Le caractère B semble le plus récent et apparu en Asie puis s'être dispersé dans toutes les directions, donnant le groupe AB par croisement avec des porteurs de A.

JeanPhir (d) 20 janvier 2013 à 18:50 (CET)Répondre

Unicité modifier

Dans l'article :

  • "Pourquoi la communauté d’Ève et de ses semblables aurait-elle été si petite ?"
  • "Le fait surprenant qu’aucune autre lignée féminine n’ait survécu depuis l’époque d’Ève semble un effet du hasard plutôt que de la sélection naturelle."

Il n'y a rien de surprenant dans tout ça puisqu'il s'agit de la définition. Si on trouve un groupe de femme vivant à la même époque et ayant un adn mitochondrial varié alors on remonte de une génération ou plus pour pouvoir trouver puisque c'est "l'ancêtre commune".

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