Discussion:Écluse à poissons
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En effet les écluses à poissons n'existent qu'en Charente-Maritime et un peu en Espagne, mais c'est une histoire et un patrimoine intéressants de l'humanité. Je suis dégoûté par cette évaluation par les ignorants (je l'était également avant 15 jours). lzj (d) 1 mai 2009 à 13:14 (CEST)
J'espère qu'on est un peu pro quand on modifie les textes écrits par les gens : le texte que j'ai écrit, a été pris comme plagia, alors la personne n'a pas du tout regardé ce qui est sur le site. Evidemment ma source était ces pages web et la présentation des gens et aussi ma visite personnelle. C'est incroyable quand même de vois un article que j'ai écrit toute une soirée supprimée d'un coup aussi léger !! lzj (d) 1 mai 2009 à 13:17 (CEST)
- Bonjour, inutile de vous énerver, quand des phrases entières sont copiées-collées texto de deux autres sites, ceci n'est pas acceptable sur Wikipédia, comme je vous l'ai expliqué sur votre pdd. — Droop [blabla] 1 mai 2009 à 18:01 (CEST)
J'ai vérifié, il y a en effet quelques phrases que je devais mettre entre paranthèses. J'ai fait des modifications, mais tout mon ajout a été supprimé. J'aurais voulu que ma contribution serve à un début de travail sur ce patrimoine français que j'ai pu découvrir. Je laisse tomber donc, face à des gens qui ne regardent même pas ce qui est écrit. merci de votre compréhension. lzj (d) 2 mai 2009 à 14:50 (CEST)
écluse à poissons sur rivière
modifierIl existe des ouvrages destinés à la pêche, fonctionnant de la même façon que les écluses de mer. On connaît celle en bois comme les barrages de palis entre lesquels étaient installés nasses et filets sur des ressauts de niveau du lit comme par exemple à Auxonne; cette pêche se réalise donc au fil de l'eau et des migrations de poissons, des dispositifs plus complets sont souvent mentionnés dans les plans terriers sur les étangs et les lacs, notamment à partir du XVIIIe siècle qui rationalise dans l'esprit des Lumières la gestion des potentialités du territoire, mais il ne reste que peu d'ouvrages maçonnés ayant résisté au temps. On travers celle du château de Torcy, Saône et Loire, installé entre 1835 et 1850, une des quatre sites protégés au titre des Monuments Historiques, on peut décrire ce type d'ouvrage comme un mur barrant la rivière, ou un bassin ou bief annexe, permettant de remplir de poissons la retenue d'eau, jusqu'à son vidage annuel ou saisonnier. Le système complet du vivier: La retenue d'eau est réalisée, avec une prise d'eau largement en amont pour offrir une différence de niveau suffisante à créer un flux suffisamment fort lors du vidage (rappelant ainsi le reflux de la marée pour leur équivalent maritime). Un bassin en deux parties permet de protéger les alevins des poissons adultes; le problème de la récolte de ces élevages et surtout le tri des prélèvement de population choisi, est de pêcher un poisson sain, dont les ouïes ne sont pas envasées, et donc d'éviter tout stress lors de la capture. l'ouvrage de la pêcherie: l'aspect général du dispositif se présente comme un bassin en pierre barrant l'extrémité aval du vivier, avec un tunnel resserré pour concentrer le passage des poissons, entre une des rives et le vivier de tri, une configuration de piège en eaux calmes avec un fond propre permet d'attraper à l'épuisette les poissons ayant franchi la pelle constituée de planche en bois, le bassin de piégeage est doté de mur courbe pour accompagner le flux de l'eau et se termine en pointe pour l'identification des poissons. le tunnel d'évacuation des eaux jusqu'à l'entrée du dispositif est en angle droit, sombre et fermée de grilles pour obliger les poissons à se réfugier dans le bassin en pointe, aux eaux plus calmes. Au delà du tunnel qui fait un deuxième coude à angle droit pour reprendre le cours de la rivière en aval, le premier mur de barrage est complété d'un bassin-vivier , le mur aval et les murs de refend entourant ce bassin, contrebutant par ailleurs le premier mur contre la poussée des eaux. La pêche des poissons piégés se fait donc dans le bassin en pointe depuis le sommet des murs de largeur de 50cm, à l'épuisette. Dans l'un de autres sites conservant une pêcherie (inscrit MH et illustré sur Mérimée -mot clé - pêcherie), c'est un bras mort après un moulin, qui forme un bassins d'eau calme et des systèmes de filets entre les piles des ponts plats (appelées "planches" même en pierre) qui assure la zone de prélèvement. On peut imaginer que de nombreux lacs, étangs, rivières à crue, ou biefs de moulins, étaient équipés de dispositifs semblables, mais en bois qui ne seraient pas parvenus jusqu'à notre époque.
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