Discussion:Éclusier (métier)

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Un concours d'entrée de plus en plus inadapté

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Ce métier, même sur les écluses manuelles, n'est pas physiquement très difficile, mais il peut être stressant lorsque l'agent a plusieurs ouvrages à gérer simultanément en "accompagnement dynamique", n'ayant souvent qu'un vélomoteur, voire une bicyclette, pour rejoindre des ouvrages distants de plusieurs kilomètres, tandis que des bateaux attendent à chacun d'eux. Ce métier est aujourd'hui surtout basé sur les relations humaines avec les bateliers. Malgré cela, le concours d'accès n'a guère évolué, les épreuves y sont encore essentiellement physiques et il n'est tenu aucun compte de l'aptitude du candidat à accueillir correctement son "client" batelier ou plaisancier, et encore moins à parler plusieurs langues ou à maitriser plus ou moins l'informatique. Quant à l'intérêt, voire la passion, que peut monter le candidat pour la voie d'eau, ne rêvons pas, ils ne sont purement et simplement pas compris, et l'on s'occupe vite de refroidir les ardeurs de l'apprenti-éclusier. Une évolution est plus que souhaitable. (transféré de l'article)

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